La veritée n'est elle qu'une affaire de point de vue

« scientifique) ou des cas étaient vrais, qu'ils le sont tous forcément.

Il fut démontrer par exemple dans les mathématiques que les choses dont nous savons absolument qu'elles sont vrais peuvent se révéler ne pas l'être entièrement.

Comme la droite infini en autre dont on ne fera jamais l'expérience.

L'expérience mathématique ne suffit donc pas toujours á fournir la vérité. Gaston Bachelard qui fut un philosophe français du 20eme siècle qualifiait la science de d'être l'esthétique de l'intelligence dans son oeuvre de La Formation de l'esprit scientifique de1938, donc quelque chose qui essaye de rendre l'invisible, l'incertitude aussi réaliste que possible.

Il souligne également que “l'esprit scientifique nous interdit d'avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement.

Et quoi qu'on dise, dans la vie scientifique les problèmes ne se posent pas d'eux mêmes.

C'est précisément ce sens du problème qui donne la marque du véritable esprit scientifique (…) Rien ne va de soi.

Rien n'est donné.

Tout est construit".

La raison de l'homme joue donc un rôle dans cette certitude que l'on ne peut pas prouver.

« La vérité scientifique sera toujours plus belle que les créations de notre imagination et que les illusions de notre ignorance.

» Claude Bernard b) Derrière la vérité se cache le mensonge, la fausseté d'un individu.

Quand une personne A ment à une personne B alors A dit être vrai une information que B sait lui être fausse.

Ainsi mentir c’est cacher une vérité qu’on sait être vérité au profit d’un mensonge qu’on sait être faux.

On peut dire que c’est refuser de regarder la vérité en face ou dissimuler la vérité à autrui.

La vérité devient donc notre mensonge donc l'illusion. "La vérité existe.

On n’invente que le mensonge." Georges Braque (1882-1963) "Je suis un mensonge qui dit toujours la vérité." Jean Cocteau (1889-1963) c) Que penser du relativisme qui est un mouvement de pensé, qui dénie à la vérité tout caractère universel ? Ne faut-il pas, à sa suite, reconnaître "à chacun sa vérité".

Le faire reviendrait, sous couvert de tolérance, à dissoudre la vérité dans une pluralité d' opinions , relatives aux points de vue particuliers de ceux qui les énoncent. La question de la vérité des religions émerge donc.

Ainsi comme la question de la vérité des mondes intermédiaires.

Avant de traiter de la vérité des diverses images du monde intermédiaire il faut savoir si oui ou non un tel monde existe ou qu'il peut exister.

Un monde spirituel, un. »