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l'ame et le corps

Publié le 21/05/2013

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L'Âme et le Corps Nature métaphysique de la vérité. Comment atteint on la vérité ? « Le Mythe de la Caverne «, Platon Extrait de La République, où il souhaite décrire un état idéal, pensant que la société existante est imparfaite. Question de l'éducation d'un chef d'Etat. Qu'est-ce que l'éducation ? La culture ? Un homme cultivé ? Dialogue entre Socrate et Glaucon. Description d'une scène imaginaire, appelée souvent Le Mythe/Allégorie de la caverne. Sorte de symbole. Le mythe étant qqch de collectif, on utiliserait plutôt le terme d'allégorie. -635-317500Grotte : grande salle sous la terre, reliée à la l'air libre par la route. Le feu est la seule lumière régnant dans la caverne, devant lui un chemin moins haut longé d'un muret, où des hommes circulent, portent des statues représentant le monde extérieur (arbre, homme, animaux). On voit les statues sans les hommes qui les portent. Les prisonniers, au fond de la caverne, sont assis et enchaînés. Ils ne peuvent se voir les uns les autres : face au mur. Ici depuis l'enfance, n'ont pas connu d'autres situations. Le feu projette les ombres des figurines sur la paroi du fond : formes confuses. Mythologie grecque : Enfer : monde souterrain, prisonniers de celui-ci. Description des conséquences sur les prisonniers eux-mêmes Ils voient uniquement des ombres et croient que ce qu'ils voient est le vrai. Comme une vieille habitude qu'on ne compare pas. On ne pourra sortir d'une telle illusion. Ils peuvent parler ensemble, et voyant tous la même chose : aucun ne peut douter de ce qu'il voit. Libération : on leur rend et montre la vérité pour les guérir de leur ignorance. On doit les tenir car non habitués à la lumière : douleur et désir de retourner à leur ancienne condition. Aveuglement, incapacité à voir la liberté : car c'est plus sombre dans la caverne. Il va penser que ce qu'il voyait avant est plus clair et vrai que maintenant. On besoin de temps pour s'habituer. Vérité : n'acceptent pas de la recevoir, d'où le recours à la violence. Le prisonnier libéré ne voit rien en plein jour et veut retourner la caverne. Fin de l'ascension - Image de l'éducation On comprend qu'il met du temps à voir le Soleil. Progressivement cela devient de moins en moins douloureux. Comme l'éducation d'un homme qui se fait par étapes progressives, mais il y a un moment où l'on doit faire violence : qqch d'inhabituel. Bonne attitude : par étapes. Soleil : point culminant, finalité de voir la lumière. Important particulièrement chez les Grecs car représente le Beau (dieu du soleil : Apollon = beauté et lumière). C'est justement de regarder le Beau et ce qu'il y a de plus vrai, il permet de tout voir ; c'est la cause de tout ce qui existe. Vie, saisons : rien n'existerait sans lui, cause de lui-même et explique tout, l'homme à tout compris à ce stade. L'individu veut contempler cette beauté, on ne veut plus de changement. On ne peut le voir sans lunette, oui, mais dehors il y a les couleurs, des contours nets, claire : aucune envie de voir des choses nettes et grises. Finalement l'homme libre se souvient de la caverne. Jeu des prisonniers, intelligence et mémoire. Homme libre ressent de la pitié pour les autres prisonniers, mais aussi du mépris quant à leur moyen d'occupation dans la caverne. Jeu, compétition : anticipation de la prochaine ombre, cela demande de la mémoire, car il y a une régularité dans leur passage, en outre bonne vision nocturne (nyctalope) et surtout l'esprit de compétition (aimer dominer autrui, pour gagner), i.e. il ne faut pas être spécialement doué. Ce jeu n'a aucun intérêt, aucune répercussion : juste être le meilleur. Cite Homère : "être un valet de ferme au service d'un paysan pauvre". Plutôt que de se livrer à ce jeu-là et être le roi parmi les autres, autant être le dernier en haut, plutôt que d'avoir du pouvoir au fond de la caverne. « Etre borgne au pays des aveugles «. Juste besoin de mémoire, un animal en a aussi, ici les hommes tels des animaux n'ont pas la capacité d'hiérarchiser leurs souvenirs. Les gens malades ont aussi une mémoire prodigieuse, mais ne sont pas intelligents (ne sélectionnent pas leurs souvenirs). Aucune compréhension de ce qui se passe : A suit B, sans le comprendre, ils le retiennent. Le Bonheur est-il relatif ? A-t-il raison de plaindre ses ex-compagnons ? Est-ce une forme de bonheur ? Il est clair pour le ressortissant que non, car il a connu autre chose. Tout dépend en effet du point de vue, eux pensent être heureux. En changeant de situation, parfois on se rend compte qu'on n'a pas été bien. Les...

« Fin de l’ascension – Image de l’éducation On comprend qu’il met du temps à voir le Soleil.

Progressivement cela devient de moins en moins douloureux.

Comme l’éducation d’un homme qui se fait par étapes progressives, mais il y a un moment où l’on doit faire violence : qqch d’inhabituel.

Bonne attitude : par étapes. Soleil : point culminant, finalité de voir la lumière.

Important particulièrement chez les Grecs car représente le Beau (dieu du soleil : Apollon = beauté et lumière).

C’est justement de regarder le Beau et ce qu’il y a de plus vrai, il permet de tout voir ; c’est la cause de tout ce qui existe.

Vie, saisons : rien n’existerait sans lui, cause de lui-même et explique tout, l’homme à tout compris à ce stade.

L’individu veut contempler cette beauté, on ne veut plus de changement.

On ne peut le voir sans lunette, oui, mais dehors il y a les couleurs, des contours nets, claire : aucune envie de voir des choses nettes et grises.

Finalement l’homme libre se souvient de la caverne. Jeu des prisonniers, intelligence et mémoire. Homme libre ressent de la pitié pour les autres prisonniers, mais aussi du mépris quant à leur moyen d’occupation dans la caverne.

Jeu, compétition : anticipation de la prochaine ombre, cela demande de la mémoire, car il y a une régularité dans leur passage, en outre bonne vision nocturne (nyctalope) et surtout l’esprit de compétition (aimer dominer autrui, pour gagner), i.e.

il ne faut pas être spécialement doué.

Ce jeu n’a aucun intérêt, aucune répercussion : juste être le meilleur.

Cite Homère : "être un valet de ferme au service d'un paysan pauvre". Plutôt que de se livrer à ce jeu-là et être le roi parmi les autres, autant être le dernier en haut, plutôt que d’avoir du pouvoir au fond de la caverne.

« Etre borgne au pays des aveugles ». Juste besoin de mémoire, un animal en a aussi, ici les hommes tels des animaux n’ont pas la capacité d’hiérarchiser leurs souvenirs.

Les gens malades ont aussi une mémoire prodigieuse, mais ne sont pas intelligents (ne sélectionnent pas leurs souvenirs).

Aucune compréhension de ce qui se passe : A suit B, sans le comprendre, ils le retiennent. Le Bonheur est-il relatif ? A-t-il raison de plaindre ses ex-compagnons ? Est-ce une forme de bonheur ? Il est clair pour le ressortissant que non, car il a connu autre chose.

Tout dépend en effet du point de vue, eux pensent être heureux. En changeant de situation, parfois on se rend compte qu’on n’a pas été bien.

Les prisonniers ne peuvent s’imaginer autre chose que ce qu’ils vivent. Compétition : on est moins malheureux que les autres, ce qui nous rend heureux.

Bonheur de comparaison.

L’autre possède moins que moi, ce qui me rend mieux.

Si les ombres étaient belles : pas de telle compétition.

=> Schadenfreude Bonheur chez les Grecs Sans activité physique, l’homme ne pourrait être heureux, très importante pour les grecs.

Prisonnier « couch-potato » : si il fait du sport par hasard, se rendra compte que le critère du bonheur c’est notre nature.

On a en nous même le critère et mesure de notre bonheur.

Les jeux des prisonniers servent juste à passer le temps.

Dans notre société actuelle, on insiste sur la compétition, aimée par les grecs également, mais désapprouvée par Platon, qui joue sur l’amour de la lumière et du corps libre, la compétition étant une sorte de cache-misère.

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