3092 résultats pour "corps"
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Ai-je un corps ou suis-je un corps?
de mon corps mais je ne le peux pas de ma pensée. Le cogito, c'est la pensée se pensant elle-même. Par le procès même de la pensée, le sujet se positionne donc de telle sorte que tout ce qu'il saisit est objectivé. Le corps, à l'égal de tout ce qui a un statut de chose, est exposé à cela. Il s'offre au regard, il a une extériorité qui lui confère la dimension d'un objet. Pour le biologiste, le corps est une réalité matérielle caractérisée par une structure et un fonctionnement. Ses lois sont...
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Mon corps n'est il qu'un corps ?
a) il n'y a pas de « fantôme dans la machine » [1] Dans La Notion d'esprit , Ryle émet une analogie pour faire comprendre les implications du dualisme cartésien et donc, pour montrer qu'il faut renoncer à la nation d'une âme existant par-delà le corps. Ryle nous dit donc qu'il fautse figurer la démarche de Descartes comme celle d'un touriste qui, après avoir visité les divers bâtiments quicomposent l'université d'Oxford (les amphis, la bibliothèque, la salle de sport ...) demand...
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Ai-je un corps ou suis-je mon corps ?
Le corps humain, comme le corps de l'animal, est une machineperfectionnée créée par Dieu. Bien qu'infiniment plus complexe que nosmachines, son fonctionnement se laisse expliquer de la même manière.Les corps sont composés de nerfs et de muscles, comparables à despetits tuyaux, dans lesquels circule une matière subtile : les espritsanimaux. Lorsque nous touchons un objet par exemple, nous en prenonsune conscience tactile par l'effet de ces esprits animaux qui remontentjusqu'au cerveau...
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Ai-je un corps ou suis-je un corps ?
La liberté doit se conquérir contre ce qui est vulnérable. Le corps représente la vulnérabilité par excellence, car c’est par lui que l’on souffre, et que nos sens fonctionnent, être limité. On parle souvent de limites physiques. Etre libre, c’est ne pas s’écouter, ne pas écouter sa raison ou sa conscience, c’est maitriser son corps. Si l’on maîtrise totalement son corps, alors l’expression « j’ai un corps » devient totalement légitime, car ce que je possède, je le maitrise...
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Doit-on dire "je suis un corps" ou "j'ai un corps" ?
Le corps humain, comme le corps de l'animal, est une machineperfectionnée créée par Dieu. Bien qu'infiniment plus complexe que nosmachines, son fonctionnement se laisse expliquer de la même manière.Les corps sont composés de nerfs et de muscles, comparables à despetits tuyaux, dans lesquels circule une matière subtile : les espritsanimaux. Lorsque nous touchons un objet par exemple, nous en prenonsune conscience tactile par l'effet de ces esprits animaux qui remontentjusqu'au cerveau...
- Ai-Je Un Corps Ou Suis-Je Un Corps ?
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Est-il préférable de dire: J'AI UN CORPS ou bien JE SUIS MON CORPS ?
Le corps humain, comme le corps de l'animal, est une machineperfectionnée créée par Dieu. Bien qu'infiniment plus complexe que nosmachines, son fonctionnement se laisse expliquer de la même manière.Les corps sont composés de nerfs et de muscles, comparables à despetits tuyaux, dans lesquels circule une matière subtile : les espritsanimaux. Lorsque nous touchons un objet par exemple, nous en prenonsune conscience tactile par l'effet de ces esprits animaux qui remontentjusqu'au cerveau...
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Comment distinguons-nous notre corps des corps étrangers ?
II. La conscience de son corps dans ses limites et par son « autre » La conscience de soi passe certes par l'épreuve d'un ensemble de sensations diverses. Mais que ce soit laphilosophie, la psychanalyse, la neurophysiologie, la sociologie... toutes ces démarches reconnaissent d'autresconditions fondatrices de cette prise de conscience : les catégories primordiales d'espace et de temps, laconscience comme faculté, mais également le rôle fondamental de la relation à son aut...
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- Ai-je un corps ou suis-je un corps
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Suis-je mon corps?
[On doit donc dire: «J'ai un corps». Avant de sentir le corps, la conscience se saisit elle-même. Elle estdonc distincte du corps. Ce qui, en moi, dit «je suis» ne se confond pas avec mon corps. On doit donc dire «j'ai un corps».] Je ne suis pas mon corpsPour Descartes, la conscience, bien qu'étroitement unie au corps, est radicalement distincte de lui. «Je nesuis pas seulement logé dans mon corps, ainsi qu'un pilote en son navire, mais, outre cela, (...) je suisconjoint très étroit...
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Quelle différence y a-t-il entre un corps vivant et un corps mort ?
"principe vital", distinct à la fois de l'âme pensante et des propriétés physico-chimiques du corps, et gouvernant lesphénomènes de la vie. Le vitalisme est bien différent du mécanisme de Descartes. Barthez en est le principal initiateur. Levitalisme met en lumière ce à quoi le mécanisme était aveugle, l'originalité des phénomènes biologiques. Cesphénomènes sont par exemple l'auto-régulation de la glycémie dans le corps humain par les hormones insuline et leglucagon. Dans le...
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corps.
les groupes sociaux ne portent pas leur corps de la même manière, même si, de plus en plus, la publicité projette sur eux un schéma unique d'excellence corporelle (le corps mince, svelte, proportionné, lisse, bronzé...). Ce modèle est incontestablement plus proche des manières d'être des classes supérieures et des nouvelles classes moyennes que de celles des classes populaires, plus attachées au corps fort, large et solide, inégalement musclé. La consécration de ce schéma d'excellence voue certa...
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Pourquoi peut-on dire que l'âme domine le corps aussi bien que le corps la domine ?
l'attelage. L'âme humaine est tripartite, il y a trois instances symbolisées par un cocher et deux chevaux. Lepremier cheval représente la force impétueuse des désirs et des pulsions, le second, l'énergie vitale et levouloir-vivre et le cocher incarne la partie rationnelle, l'esprit : il réfléchit et décide. Son rôle est de est decanaliser l'impétuosité des chevaux.Enfin, le corps est au service de l'âme, il est un moyen pour elle de s'exprimer. 2- Cependant, on s'aperçoit que d'une certa...
- BRAS(-)LE(-)CORPS (À), (À BRAS LE CORPS, À BRAS-LE-CORPS) locution adverbiale.
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Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, I, VI. « L'usage qu'un homme fera de son corps est transcendant à l'égard de ce corps comme être simplement biologique. »
Introduction L'anthropologie contemporaine distingue dans les comportements humains le naturel du culturel pour expliquer le rapport de l' un à l'autre, pour Merleau-Ponty, une telle distinction est impossible de faire. S’ap puyant sur des exemples qui, de prime abord, relèvent de l'affectivité la plus natu relle, il en conclura à son caractère institutionnel. C'est par cette thèse paradoxale, f ondée sur l'équivoque du naturel et du culturel saisie au...
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SYSTÈME SOLAIREGÉNÉRALITÉSOn entend par « Système solaire » une famille de corps célestes formée par l'étoileSoleil et par une multitude de corps distribués autour d'elle.
2 auraient échappé jusqu'ici à nos observations. La génération actuelle d'instruments astronomiques n'est pas en mesure d'identifier des corps de dimensions planétaires aux confins du domaine gravitationnel du Soleil. Les astronomes pensent que, s'il y avait une autre planète au-delà des orbites de Neptune et de Pluton, celle-ci pourrait être découverte grâce aux perturbations induites par sa force d'attraction. Vers la fin des années 80, analysant les trajectoires des sondes interplanét...
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Le corps est-il méprisable ?
L'intérêt philosophique de ce texte est double : d'une part, il s'agit d'une discussion métaphysique sur la mortet, d'autre part, d'une question d'épistémologie sur notre faculté à atteindre le vrai. Et de ces deux points devue, le corps est dévalorisé : mourir n'est pas le malheur absolu, puisque c'est seulement se séparer d'un corpsgênant; connaître la vérité est impossible par l'intermédiaire du corps. Le corps nous rive à la sensation. Or dela sensation, nulle connaissance est possible.On sa...
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Dissertation: Ne suis-je qu'un corps ?
toutes les possibilités, pour nous expliquer que l'Homme est principalement une âme et que le corps occupe donc une place inférieure aussi appelé « corps-tombeau ». Nous pouvons de cette façon comprendre que le corps a une position qui handicape le sujet car il le réduit à l'esclavage. Par exemple, nous avons besoin de nous alimenter pour survivre. Ainsi, notre corps peut réduire l'âme à assouvir ce désir, c'est à dire manger. L'âme peut donc commettre des...
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L'imagination et l'image Baruch Spinoza, L'Ethique, II, XVII, scolie. « Or ces affections du corps humain, dont les idées nous représentent les corps extérieurs … »
Introduction A partir de la définition de l'image, Spinoza va examiner le pouvoir de l'imagination et la valeur de ses représentations. « Considérée en elle-même », comme faculté de représentation de la corporéité, l 'imagination peut-elle être légitimement accusée de « puissance trompeuse » (Pa scal) ou encore de « folle du logis » (Malebranche) ? Invalidant cette disqualification classique de l'im agination, Spinoza semble réhabiliter l'imagination comme...
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Ostéologie du thorax et du rachis
23 octobre 2010
Position anatomique de référence :
- Talons joints,
- bras le long du corps,
- paume des mains le long du corps dirigées vers l'avant,
- regard vers l'avant.
Ostéologie du thorax et du rachis 23 octobre 2010 2 Haut avant Courbures physiologiques chez le sujet adulte. Concavité dorsale à l’étage cervical : lordose cervicale Concavité ventrale à l’étage thoracique : cyphose Concavité dorsale à l’étage lombal : lordose Puis prolongements du sacrum et du coccyx. L’articulation entre la partie mobile et la partie fixe n’est pas dans un plan horizontal mais orientée vers le bas. La surface articulaire du sacrum regarde donc vers le haut et l’avant....
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Ostéologie du thorax et du rachis
23 octobre 2010
Position anatomique de référence :
- Talons joints,
- bras le long du corps,
- paume des mains le long du corps dirigées vers l'avant,
- regard vers l'avant.
Ostéologie du thorax et du rachis 23 0 octobre 201 2 Haut avant Courbures physiologiques chez le sujet a lord dulte. Concavité dorsale à l’étage cervical : ose cervicale Concavité ventrale à l’étage thoracique : cyphose Concavité dorsale à l’étage lombal : lordose Puis prolongements du sacrum et du coccyx. L’articulation entre la partie mobile et la artie fixe n’est pas dans un plan horizontal mais orientée ver s le bas. La surface rum regarde donc vers le haut et l’avant. p...
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Le corps est il un ennemi?
qui a quelque chose "en travers de la gorge"). (Freud) III Le corps a ses raisons que la raison ne connaît pas 1. L'altérité Le corps est notre première donnée, notre première ouverture sur le monde. C'est lui et non l'esprit qui nous permet de rentrer en contact et de développer des relations avec d'autres êtres. (Husserl) Si je me demande comment des corps étrangers comme tels, c'est-à- dire des animaux et d'autres hommes en tant que tels, sont donnés dans monexpérience et comment ils peuv...
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Mon corps n'appartient-il qu'à moi ?
L'analyse de Rothbard des relations entre les parents et les enfants repose sur ce même droit de propriété : « lesparents deviennent, en tant que créateurs du bébé, ses propriétaires ». Bien que ce droit de propriété soit limitédans le temps, le parent, parce que créateur de l'enfant, en est propriétaire. Il poursuit logiquement sonraisonnement, et c'est là que nous voyons qu'il réside un risque dans le fait de considérer que l'Homme est lepropriétaire exclusif de son corps. Il...
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Suis-je l'esclave de mon corps ?
- Le dualisme en philosophie remonte à Socrate et consiste en l'idée de la division dumonde en un monde visible et en un monde intelligible. Dans le monde visible, le corpsest en proie aux besoins non nécessaires et superflus, et aux désirs les plus insatiables.C'est pourquoi la mort ne fait pas peur au philosophe socratique. Le corps est le symbolemême de la finitude. La mort est ainsi conçue comme une libération de l'âme qui sedéfait de son corps et peut alors graviter dans les sphères intelli...
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Le corps est-il du domaine de l'être ou de l'avoir ?
que je suis deviens donc un sujet à part entière .Par exemple quand je suis malade, je sais au travers de mon corpsque c'est moi qui est malade et non mon corps .Je peut donc dire que ‘‘je suis mon corps''. En effectivement il nefaut pas confondre l'organisme que j'ai et le corps que je suis comme le montre Nietzsche: L'organisme que jepossède est mon corps mais uniquement sous la forme d'une enveloppe charnelle .Cette dernière permet à autrui dem'identifier, mon corps est donc un objet pour...
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Y a-t-il une pensée sans corps ?
Puis aussi je considère que nous ne remarquons point qu'il y ait aucunsujet qui agisse plus immédiatement contre notre âme que le corpsauquel elle est jointe, et que par conséquent nous devons penser quece qui est en elle une passion est communément en lui une action ; ensorte qu'il n'y a point de meilleur chemin pour venir à la connaissance denos passions que d'examiner la différence qui est entre l'âme et le corps,afin de connaître auquel des deux on doit attribuer chacune desfonctions...
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Qu'est ce qu'un corps normal?
une force motrice. C'est-à-dire qu'il n'a pas besoin d'une première impulsion pour se mouvoir, et qu'il se produit lui-même. " Un tel être organisé et s'organisant lui-même peut être appelé une fin naturelle " CFJ, téléologique, § 65. Cette caractéristique fondamentale – la force formatrice – définit un corps normal, parce qu'elle implique de nombreuses autres actions, comme celle de réparation des lésions. En effet, un corps normal répare lui-même sespropres blessures, ce que ne fait pas une ma...
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Y a-t-il une sagesse du corps ?
Par sagesse, nous entendons l'idéal du philosophe, ce mode d'être de l'homme qui est parvenu a l'ataraxie (paix del'âme, absence de troubles) et a l'ataraxie (indépendance intérieure) par la pratique de la vertu. Pour les Stoïciens,par exemple, la sagesse réside dans la compréhension et dans l'acceptation de l'ordre divin, c'est-à-dire dans laliberté de notre jugement ainsi que dans l'indifférence a tout ce qui ne dépend pas de nous. Par « corps », nous entendons toute substance matérielle qui p...
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Peut-on penser sans son corps?
Notre âme est liée au corps et est donc directement influencée par ses états et ses mouvements. Ce qui pourl'âme est une passion résulte ainsi d'une action qui se produit dans le corps. De la compréhension de cesmécanismes dépend donc l'analyse et la maîtrise des passions. Enjeux La psychologie moderne a confirmé ce jugement de Descartes, en recherchant les causes neuro-biologiquesdes passions. Cela dit, la psychanalyse a montré que ce qu'on appelle traditionnellement passion est aussicau...
- « Le corps est la source de l'horreur chez les êtres humains. C'est le corps qui vieillit, c'est le corps qui meurt. » David Cronenberg
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Y a-t-il un langage du corps?
propre au langage nous éloignent d'une conception d'un langage-code qui repose sur un principe d'économie etconvient mieux au monde cybernétique qu'au monde du langage humain. Pour Merleau-Ponty c'est l'expressivité quiest la première caractéristique de la langue « Quand à la puissance de signification du langage, il est impossible del'évaluer par le moyen de structures combinatoires (...) Le code n'est pas plus une langue que l'automate n'est lavie ». III-Le corps est au fondement du langa...
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LE CORPS ET L ESPRIT
Introduction : Selon Descartes, l’homme est caractérisé par son corps et son esprit. Il écrit d’ailleurs « Je pense donc je suis ». Ainsi, les scientifiques et les philosophes se demandent à partir du XVIIème siècle où se situent la pensée et l’esprit dans le corps humain. Dans les Pensées , Pascal, un physicien et philosophe reconnu de ce siècle, estime que la pensée se situe au niveau de la tête. Les relations entre l’esprit et le corps font l’objet d’une réflexion dans...
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Est-on propriétaire de son corps ?
Certains sociologues estiment que le corps humain est avant tout une idée historique, le produit d'une constructionculturelle (Foucault). Le corps serait « une instance symbolique enveloppante, qui insère les individus d'une sociétéou d'un groupe dans des réseaux de significations, pratiques et croyances ; c'est à la fois une instanced'identification, de reconnaissance et une instance de classement, de distinction (Le Breton). Dès lors, l'hommen'est pas réellement le possesseur de s...
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Comment la conscience habite-t-elle son corps ?
La conscience est abstraiteLorsque je pense «je suis», ma conscience se saisit elle-même comme conscience, en faisant abstraction demon corps . La conscience du corps ne vient qu'ensuite. Le corps n'est donc qu'un des objets parmi d'autres qui peuvent occuper la conscience; il est donc juste de dire «j'ai un corps », comme on dit «j'ai les yeux bleus» ou «j'ai les cheveux châtains». Mon moi ne dépend pas de mon corps Il est de nombreux moments dans la vie où l'on n'a pas du tout conscie...
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Le corps fait-il mon malheur ?
Le corps n'est pas le malheur de la conscience Le corps et la conscience ne forment qu'un tout inséparable. Ce qui est bon pour le corps est bon pour la conscienc e. La conscience ne peut pas atteindre la plénitude, penser correctement, si le corps est méprisé. Corps et esprit sont la même substance P our Spinoza, il n'y a pas de dualité entre la conscience et le corps. L ' esprit et le corps ne constituent qu'une seule réa...
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Mon corps fait-il obstacle à ma liberté ?
Selon Descartes, bien que l'on puisse douter de l'existence du corps, la nature enseigne, par ces sentiments de douleur, de faim, de soif, etc, que l'on n'est pas seulement logé dans son corps, ainsi qu'un pilote en son navire, mais, outre cela, que l'on lui est conjoint très étroitement et tellement confondu et mêlé, que l'on compose comme un seul tout avec lui. De ce fait, le corps, est -il un intermédiaire, un outil à notre libre-arbitre, ou au contraire un empêchement...
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L'âme est-elle prisonnière du corps ?
suivante : « L'esprit de l'homme est tellement situé entre Dieu et les corps qu'il ne peut quitter les corps sanss'approcher de Dieu, de même qu'il ne peut courir après eux sans s'éloigner de Lui. » Bien vite on arriverait, danscette direction, à proposer une morale ascétique pour laquelle âme est synonyme de bien, corps synonyme de mal.On retrouverait l'inspiration platonicienne (elle-même empruntée aux sectes pythagoriciennes mystiques). L'union del'âme et du corps ne serait pas naturelle,...
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L'âme est-elle distincte du corps ?
des sens et des besoins. Par le corps, je suis en contact concret et direct avec le monde.Pour Nietzsche, la morale judéo-chrétienne est répressive. En considérant l'âme comme immortelle et distinctedu corps, elle trouve un prétexte pour tyranniser ce dernier, l'instrumentaliser, brider son énergie et l'empêcherde s'épanouir. Morale de la haine de la vie. Il dénonce les contempteurs du corps qui illustre l'état d'espritgénérale de la société : la faiblesse, le manque d'énergie vitale, de volont...
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Mon corps m'appartient-il ?
son image, que nous modifions couramment. Comment la société contrôle-t-elle mon corps, et comment puis-je retrouver de la souveraineté dessus ? La sociétécontrôle nos corps par l'importance qu'elle lui donne : il est notre seul moyen d'exister dans cette société, nos qualités morales n'ayant que peu d'importance à côté.Notre seul moyen de retrouver une maîtrise de notre corps est de contrôler l'image qu'il renvoie aux autres.
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Penser requiert-il un corps ?
Par conséquent, la pensée, liée à la conscience humaine, dépend d'abord de conditions physiques. L'homme doitêtre dans un état de veille et de conscience pour pouvoir penser. Au niveau personnel, nous éprouvons à chaqueinstant la dépendance de notre conscience par rapport au corps. Les états physiques de bonne santé et demaladie, de repos ou de fatigue, de veille ou de sommeil induisent des états psychiques évidemment contrastés, quiinfluence notre faculté de pensée. Ex : la pensée...
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La conscience est-elle réductible à un état du corps ?
-Peut-être alors doit-on tenter de réduire la conscience à un état du corps, afin de comprendre cette influenceréciproque. En effet, celle-ci constituerait ainsi une influence d'un corps sur un autre, explicable dans le cadre de laphysique mécaniste. Cependant, si nous réduisons la conscience à un état du corps, ses mouvements sont alors régis par la mêmenécessité que ceux des corps. La conscience perd alors son rôle d'agent actif de la maîtrise de soi et del'autonomie. =Doit-on a...
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La philosophie pourrait-elle ignorer le corps ?
conséquences néfastes sur la possibilité de connaître. Car l'opposition âme-corps, fonde explicitement deuxmodes opposés de connaître. Un mode, supposé, de connaître les réalités qui passe par le crible des sens («les barreaux de la prison ») — et qui échoue totalement puisqu'il ne débouche que sur l'ignorance (« [l'âme] sevautrait dans une ignorance absolue »). Un mode véritable de connaître, qui exclut le corps, où l'âme,autonome, agit « par ses propres moyens », et « à travers elle-mêm...
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Le corps est-il un fardeau pour l'Homme ? (Ou le corps comme prison ?)
n'a pas voulue. b) le rôle positif du corps De plus, le corps, via les passions dispose l'âme à vouloir certaines choses (la dispose sans la contraindre). Ainsi la mécanique du corps est utile à la vie. L'échauffement et l'accélération des battements cardiaque face audangers peuvent disposer l'âme à dicter au corps de prendre la fuite. De même, la sécheresse du gosier disposel'âme à boire mais ne lui dicte rien : le corps ne veut pas, il signale. L'âme a toujours la possibilité de « cha...
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Descartes:corps et navire
La conscience n'est pas distincte du corps • n ·l� • Le sujet et le corps ne sont pas seulement associés, ils sont confondus et mêlés. Ce qui arrive au corps affecte directe ment le sujet de l'intérieur , au lieu d'être sim plement perçu comme un évé nement extérieur . Mon corps n'est blessure par mon seul plus intime que celle pas pour moi entendement , comme qui unit le pilote à son un simple objet un pilote aperçoit par la na...
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Ma conscience est-elle séparable de mon corps ?
On doit dire «j'ai un corps » l ___ ~ J 4 ~ [.]~• Avant de sentir le corps, la conscience se saisit elle-même. Elle est donc distincte du corps. Ce qui, en moi, dit «je suis » ne se confond pas avec mon corps. On doit donc dire «j'ai un corps». Je ne suis pas seul t out avec lui» (Mé- Mon moi mon corps ditations métaphysiques). ne dépend pas po ur Desca rtes , la Ainsi, je s uis «moi » e t de mon corps consc ie n ce , bien...
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Que faut-il faire de son corps pour être heureux ?
malheur. C'est ce ue l'on peut soutenir avec Epicure dans sa Lettre à Ménécée : « ce n'est pas une suite ininterrompue de jours passés à boire et à manger, ce n'est pas la jouissance des garçons et des femmes, ce n'estpas la saveur des poissons et des autres mets que porte une table somptueuse qui engendrent la vie heureuse ».Puisque l'intempérance ne nous amène pas au bonheur, c'est que tous les désirs ne doivent pas être satisfaits,mais seulement ceux que dont le jugement connaît l...
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Le corps est il un fardeau pour l'Homme ?
dysfonctionnements entre l'homme et son esprit et si l'homme sait les analyser il peut alors en tirer profit. En cesens il apparaît que le corps est un allié pour l'homme et qu'il a la faculté de magnifier la vie et ses possibilités. Lecorps humain est, certes, un objet mais il fait partie intégrante de nous. Nous pouvons l'observer de l'extérieur entant qu'objet et le mettre ainsi " à distance ". C'est le corps d'autrui : un corps parmi d'autres, composé de la mêmematière que les autres, mais q...
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Faut-il se méfier du corps ?
d'humain et dépasser le statut animal. On oppose alors le travail, c'est-à-dire l'usage du corps dans le labeur,à la contemplation, qui est une réflexion désintéressée. C'est pour cela que Platon a pu écrire dans le Phédon que le corps était le tombeau de l'âme : lorsqu'elle est dans notre corps, l'âmeest sans cesse ramenée à des préoccupations triviales, elle est attachée auxplaisirs des sens, elle considère le sensible comme étant la forme de réalité laplus haute, alors que ce qui est...
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La conscience est-elle distincte du corps ?
perçois. Sartre le désigne, dans L'Être et le Néant, comme «le point de vue sur lequel il ne saurait y avoir de point de vue» (3e partie, ch. Il, I). En effet, c'est toujours depuis mon corps que jeperçois quelque chose : on ne peut pas se reculer pour «prendre du champ»sur son propre corps, à moins de s'identifier illusoirement à son image sur unephotographie. Mon propre corps est ainsi semblable à ma conscience, c'est unpoint de vue absolu dont je ne saurais sortir.• Pour Alain, «il n'y a poi...
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Définition du terme:
CORPS, substantif masculin.
? 3.... le corps de l'homme poss?de non-seulement un squelette articul?, mais encore celui de tous qui est le plus complet et le plus perfectionn? dans toutes ses parties. Ce squelette affermit son corps, fournit de nombreux points d'attache pour ses muscles, et lui permet de varier ses mouvemens presqu'? l'infini. JEAN-BAPTISTE LAMARCK, Philosophie zoologique, tome 1, 1809, page 138. SYNTAXE?: Corps bien/mal constitu?, proportionn?; corps difforme, disgraci?; corps mince, svelte; corps de lia...