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L'apparition de la vie sur terre a-t-elle une nécessité ?

Publié le 09/03/2004

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NÉCESSITÉ

Gén. Caractère de ce qui est nécessaire, non contingent. Épist. On distingue nécessité catégorique, ou Absolue, ou inconditionnelle, qui est celle des principes rationnels logiques ou mathématiques qui sont toujours vrais, de la nécessité hypothétique ou conditionnelle, qui est subordonnée à des présuppositions. « Si A alors B » exprime une nécessité hypothétique. Crit. Chez Kant, une des trois catégories de la modalité. Log. La nécessité logique régit une déduction telle que, les prémisses étant posées, la conclusion ne peut pas ne pas s'imposer. Mor. Si l'on entend par nécessité morale ce qu'exige le devoir, il vaut mieux parler d'obligation, car la nécessité désigne plutôt ce qui est tel qu'il est Absolument impossible à la volonté de s'y soustraire, tandis que l'acte moral est libre.

« La biologie nous enseigne l'objectivité, la •neutralité• t H •HI de la nature La nature est objective, c'est-à-dire qu'on ne saurait lui attribuer aucun ccprojet», conscient ou non.

Tel est le postulat de base de la méthode scientifique.

Le hasard est à La science s• oppo- La science donne l'origine du se aux croyances naissance monde humaines à une nou~lle R ie n n e pe rm et de La science no u s e n- philosophie prévo ir quell e se ra se ig n e qu e l'hom- o an s sa qu ête de vé- l ' évo lu ti o n d e la b io - me est le fruit du ha- rit é, la scien c e se sph ère dan s le futur , bien sard, qu 'auc un d es tin fonde sur une valeur qu e l'o n sac he à qu elles préa la b le n 'a prés idé à fondamentale et pre - ex ige nces elle r épo nd so n a pp ar ition sur Terr e mi ère , q u 'ell e se pro - •l:homrne Alt enfin qu'il et q u' il aurai t t o ut au ssi p ose de se rv ir e t d e - ....

dllns l'lmmensll9 bien pu n e p as ex is te r.

respec te r: ce lle de la co n- lndlff6rente de l'Univers Cec i d evra it no us ame- naissance vraie.

Te lle es t d'oil Il • 6merg6 par ha· ner à ro mp re avec l es l'éthique qui m oti ve la .-cl.• J6r6me Monod théo ries vitalis tes et ani - pen sée scientifiqu e e t mi stes (ai nsi q u 'avec les qui résulte d' un ch oix { e x igence de repro du c- re li gio n s).

En ch erc hant d é lib éré e t co nscie nt.

ti on , d 'adapt ati on ).

C e à ré p o ndr e a u sentim e nt Seule un e te ll e «philo- sont ces exi ge nces de la d'a n go isse et d e so litu - so p hie n a tur ell e» p e ut m a tière v iva nte, a lli ées d e de l'h o mm e, ces th éo- pe rm ettr e de dép asse r au prin cipe d' invaria n- ries crée nt u ne no uve l- la co ntr a di cti on e ntr e ce, q ui ord o nn ent la b i o- le ango isse, car e lles pro - no tre ex ige n ce de va- s ph è re e t do nn ent le vo gu ent un conflit e ntr e le urs e t n otre e xige nce sentiment d'une né - les croyances hu maines de co nn aissan ces.

cessité, d'une orien - et l es vé rit és sc ienti - tation de la nature.

figu es.

L'origine de la vie est due au hasard.

La science moderne se refuse à voir un quelconque cprojeb, un destin qui guiderait les hommes et la vie.. »

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