L'art chez Aristote

« l'essence du mouvement et non plus l'âme.

Dans la nature, il y a identité de la cause finale et formelle.

La forme de l'objet naturel est parfaitement adéquate à sa fin.Finalité de l'organisme qui se maintien en état de marche.

On peut imaginer une prothèse qui serait beaucoup mieux qu'une jambe.

La nature est posée commeindépassable, elle est déjà un maximum.

La nature est plus complète et plus parfaite que lui.

L'art pour artiste est un fait strictement humain qui appartient au registrede la technique et vise à imiter la nature pour y chercher une perfection qu'il n'a pas.La Nature est finalisée par un instinct et de même l'art humain se donne une fin par l'intelligence.

L'instinct est à l'organisme naturel ce que l'intelligence est àl'homme.

Il consiste à déployer l'intelligence telle qu'elle soi au service de ses fins ext.

Il ne s'agit pas dans l'art de copier la nature.

L'imitation dans l'art porte sur laprocédure de réalisation d'une fin.

Procédure inconscient spontanée et instinctive, délibérée dans le cas de la production humaine.

Pour Hegel, Aristote considèrequ'elle doit être évaluée à l'aune de la perfection naturelle.

La délibération par les moyens u l'élaboration de la technique peut être complètement fausse.

L'habilitétechnique peut se révélée insuffisante.

Imperfection foncière dans l'art.

Le grammairien se trompe.

Il admet qu'il y ai des défauts dans la nature qui se sont perdusdans la division de production des genres et du coup ne fonctionne pas bien.

Il y a nettement moins d'erreurs dans la Nature que dans l'art néanmoins ! Il n'est pas question pour Aristote de condamner l'art mais de le réintégré progressivement. Qu'est ce qu'une bonne oeuvre d'art?. »