L'art et la technique

« « Analytique du jugement esthétique.

» 4 moments permettent de déduire 4 définitions du beau. « Le gout est la faculté de juger d’un objet ou d’un objet de représentation sans aucun intérêt par une satisfactionou une insatisfaction.

On appelle l’objet d’une telle satisfaction » c’est tjrs un jugement singulier. Le plaisir esthétique est désintéressé il n’obéît pas directement à un intérêt. Intérêt moral : bien bon en soi Intérêt utilitaire : bon à quelque chose = utile.

L’intérêt lié à « l’agrément des sens, l’intérêt physique.

Idée d’un but qui détermine mon action qui détermine strictement mon comportement. **Suite Cours du Jeudi 9 février 12-** Il renvoie à l’expérience vécue de chacun.

Cela pourrait être illustré par l’art contemporain, Marcel Duchamp (lié aumouvement DADA art contemporain) chez ce peintre il y a un geste destructeur.

Il l’a fait avec une grandeinfluence, dans les 1915.

Exemple de la roue de bicyclette –le porte bouteille à partir du moment où je l’enlève de sa fonction devient une œuvre d’art.

Intérêt suppose recherche d’une satisfaction liée à quelque chose d’existant.

La satisfaction est liée au désir. D’après Kant, on nomme intérêt la satisfaction que nos lions avec la représentation de l’existence d’un objet . Un plaisir contemplatif qui n’est pas lié à la satisfaction directe d’un désir, plaisir contemplatif lié à la réflexion aujeu de vos facultés. Bon en soi= bien Bon à quelque chose = design, utile L’agréable – intérêt à l’agrément des sens (exemple : poulet) Deuxième définition du beau : « Est beau ce qui plait universellement sans concept » (individuelle) quand je dis c’est beau en un sens je prétends cela .C’est une prétention.

Je prétends à un assentiment universel.

On ne prétend pas que les gouts et lescouleurs ne se ressemblent pas, on aime et on croit que tout le monde aime.

L’autre n’a pas vraiment compris… **SUITE DU COURS vendredi 10 février 12** Pour Hume, le plaisir que je prends est toujours en réponse à mon utilité.

(Exemple : ce cheval noir est beau, ilcourt très vite, peut m’emmener loin) Ce n’est pas lié à l’intérêt individuel mais ça conduit à penser que c’est universalisable.

Cela est lié au fait que lebeau est distinct de l’agréable. L’idée que le beau est ressenti comme un sentiment universalisable. Beau est diffèrent de l’agréable. L’agréable pris à des sensations. Le vin des canaries est agréable… il ne faut pas dire ça sinon on pourrait croire que tout le monde l’aime à la place =« le vin des canaries (exemple de Kant) m’est agréable » à ce niveau des sens c’est vraiment à chacun son gout,cela est vrai. Le jugement de gout renvoie bien au vécu individuel de chacun. Le plaisir ressenti est un plaisir qui met en jeu l’entendement et ses concepts et l’imagination qui fait la synthèse des sensations. Exemple : tableau de Kandinsky je regarde ces chaos il ya mon imagination qui synthétise et je vois apparaître pleins de chose .

Jeu libre entre la raison (entendement= faculté des concepts) et l’imagination et après cela signifie que je peux conceptualiser.

Si il ya des concepts en jeu dans mon plaisir, il ya qqchose d’universalisable.

Donc la manière dont le jeu entrefacultés s’effectue, la manière doit cette activité suscite du plaisirè donc effectivement qu’on prétende que notreplaisir soit universalisable.

En même temps, il y a en effet une mise en jeu des concepts dans cette activité, bienqu’elle ne se réduise pas à la dimension conceptuelle. Cela pose un problème – une bonne façon d’approcher l’art contemporain, c’est un art qui passe sont temps àdéconstruire l’art classique en essayant de les pousser jusqu’au bout - dans l’art contemporain, il ya aussi un artconceptuel.

On peut prendre du plaisir.. »