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Le Pluralisme en matière de méthode

Publié le 07/05/2011

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   Etymologiquement, le mot méthode vient du grec ancien « methodos « qui signifie cheminer vers. Cela se ramène à l'image du chemin à emprunter. La méthode est donc le chemin par lequel on est arrivé à un certain résultat, alors même que ce chemin n'avait pas été fixé d'avance de façon voulue et réfléchie. La méthode est l'action de l'esprit par laquelle, ayant sur un même sujet diverses idées, divers jugements et divers raisonnements, il les dispose en la matière la plus propre pour faire connaître le sujet. Nous allons ici examiner le pluralisme en ce qui concerne la méthode. Fondamentalement, et considéré du point de vue de la distinction philosophique classique entre l'unique et le multiple, le pluralisme est simplement le multiple par opposition à l'unique. En d'autres termes, le pluralisme est le contraire de l'unité. Ainsi, une méthode peut-elle être déterminée à priori, indépendamment de son application, être formulée par avance et servir de programme à des opérations qui ne commencent qu'après que les règles de la méthode ont été formulées ? Comment s'opère la méthode ? Y a-t-il une méthode unique pour parvenir, par le biais d'un discours et d'actions cohérents, a la vérité ? Les philosophes ne définissent pas de la même manière la méthode. Descartes, Spinoza et Wittgenstein ont ainsi un point de vue différent sur la méthode.

« éprouver les bornes de ceux-ci.

Une expérience de pensée est un essai pour résoudre un problème en utilisant laseule puissance de l'imagination humaine.

Cette méthode remonte initialement à Galilée qui en faisait la clé de sesrecherches scientifiques.

La démarche générale qui préside aux expériences de pensée se formule par la question :que se passerait-il si...

? De nombreuses expériences de pensée portent sur les paradoxes de notre connaissance :elles portent sur des situations réelles, possibles physiquement (d'après ce que nous comprenons des lois de lanature), ou possibles dans le temps (c'est à dire possible tant que nous n'en savons pas plus sur les lois de lanature) ou possibles logiquement.

Une expérience de pensée est généralement composée de trois étapes : uneformulation de l'hypothèse théorique, une description d'une situation contrefactuelle et pour finir, un test del'hypothèse.

On peut citer comme exemples d'expériences de pensées, en philosophie, la caverne de Platon , leparadoxe de Zénon ou encore la chambre chinoise.

Nous avons donc ici trois conceptions totalement différentes del'idée de méthode. Nous pouvons donc en conclure qu'il n'existe pas une seule et unique méthode pour parvenir à la vérité.

Lepluralisme en matière de méthode est donc conséquent.

Descartes, Spinoza et Wittgenstein envisagent trois façonsdifférentes afin d'aboutir dans leur quête de savoir et de vérité, leur but étant commun. Le pluralisme est l'existence au sein d'un même système d'opinions, de courants d'idées et de comportements divers,en matière politique, économique, sociale, religieuse...

En philosophie, le pluralisme est une doctrine qui admet unepluralité des êtres qui sont multiples, indépendants et qui ne peuvent être réduits à une substance unique.

L'unitédans la diversité résume bien l'idée pluraliste.

Pluralisme = diversité.

Fondamentalement, et considéré du point devue de la distinction philosophique classique entre l'unique et le multiple, le pluralisme est simplement « le multiple »par opposition à « l'unique ».

En d'autres termes, le pluralisme est le contraire de l'unité. Le mot méthode vient du grec ancien methodos qui signifie cheminer vers : se ramène à l'image du chemin àemprunter.

Mais il faut nécessairement s'engager dans ce chemin pour atteindre une vérité dans l'ordre théorique. Sujet désiré en échange : Le contrat social comme fondement de la société civile et de l'Etat ?. »

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