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Le rêve philo

Publié le 30/10/2013

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    Le rêve    Définitions.   Etymologie incertaine, probablement de gallo-roman esvo, vagabond, venant lui-même de l'adjectif latin vagus. A. Activité psychique avec suites d'images, se produisant pendant le sommeil. B.  Chez Freud : réalisation imaginaire d'un désir pendant le sommeil (le rêve est une production psychique ayant une signification).   Définition particulières de philosophes.   Hobbes  “ Ce sont les imaginations conçues par les hommes endormis qu'on appelle rêves.”  Freud   “ Le rêve est en quelque sorte la décharge psychique d'un désir en état de refoulement, puisqu'il présente se désir comme réalisé.”      Jung    “ Le rêve est ...

« l'évoquons le matin, vague au point que nous avons souvent da le peine à le raconter, a le traduire en mots: c'est ce que nous appelons le contenu manifeste du rêve.

D'autres par nous avons l'ensembles des idées oniriques latentes que nous supposons présider au rêve du fond même de l'inconscient.

»   Freud « Interpréter un rêve consiste a remplacer son contenu manifeste par ses idées latentes, en d'autres termes, a défaire la trame qui a été ourdie par le travaille de rêve.

»   Rêver                                                                                                                                                                                                                                                                                  Leibniz « Rêver paraît n'être autre chose que suivre certaines pensées par le plaisir qu'on y prend, sans y avoir d'autre but.

»   Rêverie   A l'état de veille, activité mentale où la pensée, non dirigée par l'attention, suit un cours spontané, caractérisé par son naturel et son abondons a lui-même.     Le rêve c'est comme une hallucination, mais qu'on aurait au sens propre que pendant le sommeille.

Cela suffit pourtant a faire peser un doute sur notre état de veille.

C'est l'argument de Descartes, dans la première Méditation : “Je vois si manifestement qu'il n'y a point d'indice concluant, ni de marques assez certaines par où l'on puisse distinguer nettement la veille avec le sommeil, que j'en suis étonné; et mon étonnement est tel, qu'il est presque capable de me persuader que je dors.”                 Pascal lui s'interroge : “Qui sait si cette autre moitié de la vie, ou nous pensons éveiller, n'est pas un autre sommeil, un peu différent, du premier ?.

” Pourquoi différent ?  Par la continuité, a quoi nous reconnaissons le réel, ou ce que nous prenons pour tel.

“Si nous rêvions. »

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