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Le temps

Publié le 07/10/2012

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temps
Chapitre   : L’existence et le temps   I – Comment définir le temps ?   Le temps est intimement lié aux sentiments de notre existence puisque nous naissons, devenons adulte, vieillissons et mourons. Nous sommes en permanence avec le temps.   → Le temps peut avoir pour nous une relation objective (il est 8h) ou subjective (perception => le temps me parait long, il s’étire de manière interminable ; à l’inverse quand je suis concentré sur une action e temps me parait cours il semble se contracter).   Bref, nous pouvons voir plus ou moins subjectivement le temps, d’autre part, le temps auquel nous cessons de nous référer, nous en avons beaucoup de mal à le définir ; j’ai l’impression de savoir spontanément ce qu’est le temps, j’en ai une impression familière mais j’ai du mal à le définir car toutes les propositions du temps contiennent un terme qui est déjà synonyme du temps : toutes les définitions du temps semblent relever de pléonasme.   Nous avons une intuition immédiate du temps, mais nous avons du mal à le définir, nous pouvons donc chercher pour commencer, non pas à définir le temps, mais à définir ces caractéristiques essentielles.                 1. Les deux caractéristiques du temps :   Il y a premièrement l’irréversibilité du temps : cela signifie très simplement, que ce qui a eu lieux fait partie pour toujours du passé et ne pourra être modifié. On ne peut jamais revenir en arrière, on ne peut effacer ce qui a eu lieux.   Seuls les films de science-fiction peuvent s’amuser à contredire ce principe de l’irréversibilité du temps, c’est le terme de voyage dans le temps. Dans les poèmes ou la littérature en générale, la métaphore classique pour évoquer le temps qui passe est la « fuite du temps, de l’écoulement du temps «.   Certaines expériences viennent rendre particulièrement douloureuse cette irréversibilité du temps : l’expérience du remord, du regret, de la vieillesse et même du deuil. Parfois, il me semble que je pourrais tout donner pour effacer une parole ou un acte que je regrette, mais on ne peut rebrousser chemin.   Le retour en arrière n’est pas un sens interdit mais un pur non-sens. Cette irréversibilité est extrêmement importante en ce qui concerne nos engagement et notre responsabilité envers autrui. Si nous ne pouvons effacer nos actes et nos gestes, nous devons faire attention car nous ne pouvons pas faire n’importe quoi.   Certes, nous ne pouvons pas revenir en arrière, mais seul se signifie pas pour autant que nous soyons prisonnier ou esclave du temps qui passe.   Nous ne pouvons effacer l’acte passé mais nous pouvons toujours agir autrement : notre passé n’est pas figé, il s’écrit et se construit progressivement (éclairer le passé par le présent).   Bref, le temps n’est pas une prison pour nous, il est au contraire, ce qui nous permet d’agir, je ne peux agir qu’en me projettent dans un avenir ouvert indéterminé et en me remémorent mon passé, mon histoire.   Le temps est facteur de changement d’imprévisibilité, il est ...
temps

«   Il y a premièrement l'irréversibilité du temps : cela signifie très simplement, que ce qui a eu lieux fait partie pour toujours du passé et ne pourra être modifié.

On ne peut jamais revenir en arrière, on ne peut effacer ce qui a eu lieux.   Seuls les films de science-fiction peuvent s'amuser à contredire ce principe de l'irréversibilité du temps, c'est le terme de voyage dans le temps.

Dans les poèmes ou la littérature en générale, la métaphore classique pour évoquer le temps qui passe est la « fuite du temps, de l'écoulement du temps ».   Certaines expériences viennent rendre particulièrement douloureuse cette irréversibilité du temps : l'expérience du remord, du regret, de la vieillesse et même du deuil.

Parfois, il me semble que je pourrais tout donner pour effacer une parole ou un acte que je regrette, mais on ne peut rebrousser chemin.   Le retour en arrière n'est pas un sens interdit mais un pur non-sens.

Cette irréversibilité est extrêmement importante en ce qui concerne nos engagement et notre responsabilité envers autrui.

Si nous ne pouvons effacer nos actes et nos gestes, nous devons faire attention car nous ne pouvons pas faire n'importe quoi.   Certes, nous ne pouvons pas revenir en arrière, mais seul se signifie pas pour autant que nous soyons prisonnier ou esclave du temps qui passe.   Nous ne pouvons effacer l'acte passé mais nous pouvons toujours agir autrement : notre passé n'est pas figé, il s'écrit et se construit progressivement (éclairer le passé par le présent).   Bref, le temps n'est pas une prison pour nous, il est au contraire, ce qui nous permet d'agir, je ne peux agir qu'en me projettent dans un avenir ouvert indéterminé et en me remémorent mon passé, mon histoire.. »

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