le travail est il une malediction
Publié le 03/01/2013
Extrait du document


«
Marx lui, voit le travail humain comme une contribution à transformer l´Homme tout autant que la
Nature car en effet, contrairement à l´animal qui agit par instinct, l´Homme lui détermine son but
avant de le réaliser, il écrit : « Une araignée fait des opérations qui ressemblent à celle du tisserand et
l'abeille confond par la structure de ses cellules de cire, l'habileté de plus d'un architecte.
Mais ce qui
distingue le plus mauvais architecte de l'abeille la plus experte, c'est qu'il a construit la cellule dans sa
tête avant de la construire dans la ruche »
N´oublions cependant pas que le communisme a tué avec ses idéaux, étant porté sur le rejet du
capitalisme qui a finalement amené à l´exploitation dans les camps de travail.
Après cela, le machinisme, issu de la révolution industrielle, n’a démontré qu’un abrutissement du
travail chez les ouvriers, la création de machines pourtant supposées faciliter le travail de l´Homme ne
l’a rendu que plus difficile car celui-ci ne se contente que de suivre le rythme de la machine, l´Homme
fonctionne alors lui-même machinalement, il n´ y aucun plaisir derrière cela, tout y est considérer en
rendement productif.
Pour Nietzsche que je souhaiterai citer car sa vision s´approche au plus près de notre réalité, le travail
salarié constitue la meilleure des polices car elle tient chacun en bride et s´entend à entraver
puissamment le développement de la raison, des désirs ainsi ce celui du gout de l´indépendance.
En effet travail n´est pas seulement effort physique et douleur, cela va de soi, nous devons quel qu’il
soit accomplir une tache au but de ce travail, mais cela ne peut-il pas procurer de plaisir ?
Avancer comme nous le souhaitons, a titre individualiste, maitre de sa propre existence, sans
contrainte réelle si ce n’est le temps que l´avancement prend, l´envie d´aller encore plus loin, d
´atteindre son but, s´ arracher les connaissances et le développement personnel, car à force d
´expériences, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, nous évoluons en tant personne, cela serait donc un
aspect positif du travail, cumuler les expériences pour n en ressortir que plus expérimenté.
N´est-ce pas là la preuve que le travail peut également être une chance pour l´Homme, chance de se découvrir et de devenir? Celui-ci ne serait alors pas malédiction et uniquement synonyme de douleur, mais plutôt une opportunité offerte à chacun d’entre nous pour devenir celui/celle que nous souhaitons. Nous ne devons évidemment pas nier, qu´aujourd´hui encore, l´Homme est dans quelques régions du Monde dépourvu de ses propres droits, et forcé au travail. Ceci étant, replaçant la question dans un contexte élargie, l´Homme est aujourd’hui disposer à faire ses propres choix, son ambition personnelle est donc plus forte que la quo notation de douleur supposé être inflige par le travail. 3 ; Malédiction ou potentielle source de plaisir ? En conclusion, l´existence même de l´Homme repose sur la création et le renouvellement. Il a toujours eu à créer ce qui n´existait pas encore afin de faciliter sa vie.. »
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