Les animaux et la philosophie

« -Être vivant non végétal ne possédant pas les caractéristiques de l’espèce humaine (langage articulé..

etc.) et qui se fie a ses instincts, il est incapable de réflexion. La compagnie des animaux est à l’origine d’opinions diverses chez les hommes. L’homme à en plusieurs fois démontrer sa volonté d’avoir une nature supérieur a celle de l’animal .L’exemple le plus complet est le phénomène de la domestication .C’est l’abus, l’excès de sa supériorité qui a forcé l’Homme à se poser des questions sur les droits Mais dans un certain coté, comment pouvons nous accorder des droits a des êtres qui ne peuvent mêmes pas les réclamer, qui n’ont aucune espèce d’idée de la notion d’injustice .La seule perception qu’ils ont est celle de la douleur, et de la souffrance. Devrait-on uniquement leur accorder le droit a la protection ? Ou devrions-nous leur accorder les mêmes droits que les hommes.

Existent –ils des animaux ayant différents statuts, dépendamment des coutumes et cultures ? D’après la définition de Descartes et la définition Cartésienne de l’animal, celui-ci ne devrait pas posséder les mêmes droits que ceux des hommes, les plaçant ainsi sur un piédestal par rapport à leur situation réelle. D’après la définition commune, les animaux sont des êtres vivants, tout comme l’Homme ce qui leur accorderait des droits semblables a ceux des hommes. Pour traiter ce sujet, nous verrons en tout premier lieu que les animaux doivent avoir des droits comme les hommes. Puis nous étudierons les différents statuts des animaux. Et nous finirons avec la nécessité de limiter les droits des animaux. Le statut complexe des animaux ne leur permet pas d’être considérer simplement comme des objets .Hors il s’avère que ceux-sont les objets qui n’ont pas de droits.. »