les hommes sont ils seulement le produit de leurs culture

« raisonnable sensiblement affecté, qui fait parti du déterminisme naturel, lorsque l'on nait, l'on nait homme sans culture.

Par exemple, on peut citer les hommes de la préhistoire, vivant de par leurs instincts de survie.

Puis pour vivre ensemble les hommes ont dût se socialiser et adopter une éducation pour vivre ensemble et les différentes cultures ont commencées à s'introduire afin de créer une société qui définie les normes comportementales et introduit l'individu type.

« L'homme est la seule créature qui doit être éduquée » Kant, selon lui, l'homme devient homme grâce à l 'éducation afin de donner l' habitude à accepter les contraintes.

Emile Durkheim, fondateur de la sociologie, étudie le deuil et le défini comme l 'expression du rituel collectif et comme contraintes sociales ainsi différent de naturel et de quelque chose de spontané.

La spécificité de l'homme se réduit à de simples facultés, alors la culture est à comprendre comme la seule méthode de développer l'accomplissement de ces facultés.

On parle d'être civilisé d'un être dont on a réussit à développer tous les potentiels humains et ne négligeant aucune aptitude. La culture nie donc les lois de la nature, par des règles imposant la discipline et la contrainte.

Si l'on entend par culture l'exercice d'une intelligence et de l'imagination, ne trouve-t-on pas des exemples dans le règne animal comme le singe qui créer des outils, quelle est la part de naturel et de culturel chez l'homme ?     Lorsqu'on invoque la nature humaine, on suggère par là que l'homme naît homme et qu'il a en lui de façon innée, tout ce qui caractérise un être humain.

L'homme apparaît comme un être naturel, sans avoir besoin d'une intervention extérieur pour vivre comme les comportements instinctifs comme se nourrir, dormir...

On peut cependant remettre en cause cette conception de l'homme, les études réalisées sur les enfants sauvages, montre que un être humain privé d' éducation et de toute culture, n'accède pas à l'humanité.

« L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il ce fait », ici Sartre résume l'idée qu'il n'y à pas de nature humaine, on ne peut attribuer à l'homme une essence prédéfinie car l'homme possède une liberté de se définir lui même, il a toujours la liberté de devenir ce qu'il n'est pas car il n'y a pas de comportement invariable.

il y a des millions de façon d'être homme.

Ainsi la culture élève l'homme à l'humanité afin d'en maitriser la sauvagerie en effet, les cultures humaines peuvent être très différentes, comme le montre Margarette Mead en étudiant les différentes société. »