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Les Idées et les Ages d'Alain

Publié le 26/10/2011

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Ce texte est intitulé Les Idées et les Âges d’ALAIN, de son vrai nom Emile-Auguste Chartier, philosophe et ancien professeur de français du fin XVIII ème siècle, début XIX ème. Cet extrait de texte a pour thème l’importance du travail dans la société et étudie ainsi, plus particulièrement l’effet qu’il produit sur l’homme. La thèse de ce texte semble être que pour l’auteur, le travail est vital pour que l’homme s’incorpore dans la société et qu’il n’a que des points positifs pour l’homme. Il y parle également de la paresse, en nous expliquant ce qu’est pour lui un paresseux, en nous informant que pour lui le paresseux et quelqu’un qui n’a pas de poste ou qui crois ne pas en avoir. . 

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« Ce texte est intitulé Les Idées et les Âges d’ALAIN, de son vrai nom Emile-Auguste Chartier, philosophe et ancien professeur de français du fin XVIII ème siècle, début XIX ème. Cet extrait de texte a pour thème l’importance du travail dans la société et étudie ainsi, plus particulièrementl’effet qu’il produit sur l’homme. La thèse de ce texte semble être que pour l’auteur, le travail est vital pour que l’homme s’incorpore dans lasociété et qu’il n’a que des points positifs pour l’homme.

Il y parle également de la paresse, en nous expliquant cequ’est pour lui un paresseux, en nous informant que pour lui le paresseux et quelqu’un qui n’a pas de poste ou quicrois ne pas en avoir. . Des la première phrase, l’auteur nous indique que selon lui tout homme à sa place dans la vie active, aussi ditsociété.

La notion de société désigne tout groupement d’individus, dépendant les uns des autres et agissant selondes structures communes et caractérisée par leur dynamisme, leur capacité à changer, à évoluer.

Tout homme àsa place y comprit ceux qui n’aiment pas l’effort et le travail, les paresseux, qu’il définit comme quelqu’un qui nese sent pas utile à la société et donc ne prends pas la peine de travailler, alors qu’ils le devraient.

Le travail estun effort individuel ou collectif qui a pour but la concrétisation d’un projet. Kant dans son texte « réponse à la question, qu’est ce que la lumière » définit la paresse comme un défaut, « paresse et lâcheté » l.11). Alain dans sa phrase « Chose remarquable, c’est toujours parce qu’il sait ou croit qu’on ne compte point sur lui,qu’il ne se presse point » le paresseux parce qu’il ne travaille pas, croit que la société n’a pas besoins de lui,donc il ne va probablement pas chercher à trouver du travail, alors qu’il le devrait pour ne s’exclure.

Suivant cettephrase, la prochaine nous suggère le contraire de cette situation.

En effet, l’auteur nous demande de nousimaginer que dans l’idée de l’homme il est indispensable à la société, on le verra alors allez travaillerautomatiquement.

En prenant conscience de cela il irait alors chercher de lui-même un travail, et se donnerait lesmoyens de se faire embaucher pour se rendre utile. Qu’il l’apprécie ou pas, l’homme se doit de travailler pour vivre.

Sans ça il ne gagnerait pas d’argent et serait donccontrait à vivre misérablement ce qui de nos jours et le cas malheuresement de beaucoup de personnes dans lemonde.

Certains aimerait mais ne trouve pas, et pour d’autre cela tient d’un choix personnel.

Néanmoins, dans letexte il est dit que « c’est trop peu dire de dire que l’homme aime son travail », on peu donc en déduire quel’homme aurait besoin de son travail, en plus de l’argent, car il découvre et trouve une place dans la société.

Etcette société le protège tel un bouclier humain des dangers extérieurs auxquels l’homme pourrait êtreéventuellement sujet.

En travaillant, nous sommes en sécurités, car nous sommes entourés et donc les dangerssont minimisés.

C’est ce que Alain confirme, en disant que « la prise du travail est bien plus sur ».

En effetpuisque l’homme travail, il s’implique dans une société et y est donc plus en sécurité contrairement à un ermite oùla paresse est présente. De plus, travailler pour les autres et plus gratifiants, pour soi même et pour les autres.

Nous contribuons d’unequelconque manière forcément au bien être des autres.

Comme le reprends la définition de la société, noussommes tous dépendants des autres.

Que l’on travaille à une caisse de supermarché ou bien en tant qu’infirmiernous serons aussi utile, pas pour la même tâche certes, mais nous sommes chacun un maillon d’une immensechaîne humaine. Mais de nos jours, travailler et devenu quelque chose de naturel, quelque chose qu’il faudra de toute façon faire.Nous avons été éduqué comme cela, et retransmettront cette idée à nos enfants.

Comme c’est si bien ditdans les Idées et les Âges la « grande machine », qui est une sorte de pseudo pour dire la société, « ne demande point permission ».

La société nous emmène dès le plus jeune âge dans le monde du travail.. »

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