L’extrait commence par un constat de l’auteur, il n’y a
Publié le 10/02/2016
Extrait du document
«
suite de fantôme accentue le fait que ces souvenirs soient présents mais bien imperceptible dans la
réalité : tel des archives secrètes.
L'auteur met en avant la volonté de ces souvenirs fantomatique à s'exprimer « à la lumière »
c'est-à-dire dans la conscience et se révéler à nous comme si il avait encore quelque chose à nous dire
pourtant, il est bien exprimé qu'ils n'essaient même pas de remonter, quelque chose les en empêchent et
c'est bien nous « être vivant et agissant » qui les exclue de par nos occupations qui comme
précédemment évoquer, ne convoque que les élément nécessaire à notre activité.
Ils sont alors
automatiquement refouler et la trappe reliant les profondeurs dans lequel subsistent ces moments passés de
notre existence est close.
Mais alors, face à cette impossibilité presque évidente pour ces fantômes de s'échapper, l'auteur pose
une supposition introduite par « mais supposez » qui vient s'opposer et s'intercaler avec le reste de
l'extrait ou il était formellement démontrer que ces archines imperceptible, nous sont totalement
inaccessible car bloqué par notre conscience.
Il serait alors possible si l'on se « désintéresse de la
situation présente » c'est-à-dire que nous ne soyons pas perturbé par nos actions conscientes, puisque
c'est bien nos actions qui font que notre mémoire n'est concentrée que sur une activité précise et par
conséquent exclue tous les souvenirs n'ayant point de rapport avec nos agissements.
Face à ce constat, il
est proposé toujours comme une supposition un état de libération pour notre esprit et presque de
délivrance de notre mémoire puisque c'est dans cette condition que nous n'accomplissons rien : c'est
bien sur le sommeil.
Conséquemment, les souvenirs autrefois « immobiles » personnifiés dans le texte entrent en
mouvement puisque qu'il n'y a plus d'obstacle à leurs expression en effet la barrière entre le lieu qui les
contient et notre conscience est entrouverte, en effet celle-ci dans un état de repos ne garde plus la
« trappe » qui les gardait « dans le sous-sol de la conscience » c'est-à-dire d'une part en dessus
de celle-ci, ce qui rappelle les obscures profondeurs du début de l'extrait mais qui suggère aussi un lien
discret entre ces deux zones imaginaires.
Ainsi par opposition à « immobile » se trouve une multitude de verbes d'action « ils se.
»
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