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L'homme s' accomplit dans le travail ?

Publié le 20/03/2011

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La question des droits d'exécution dans le travail ne fait que refaire surface plus fréquemment dans une société qui fonde la valeur des individus dans un groupe, ce que la société, par le travail. Si nous pouvons combiner le travail et l'ennui, il peut également se lier à l'amusement. L'homme dans la société se sent obligé d'accomplir un travail pour subvenir à ses besoins. C'est cette ambivalence dans des termes qui sont associés aux travaux qui justifie le bien-fondé de la question, l'homme qu'il a accompli dans le travail? Cela revient à se demander si l'homme comme être doué de raison se développe, en substance, est réalisée, développée au travail? D'abord, il va montrer comment le travail peut permettre la réalisation de l'homme. Il serait intéressant de voir ensuite comment le travail peut faire l'homme "fou" ou de la fatigue, et ce travail n'est pas la seule solution pour l'homme accompli. Ensuite, il montre enfin que si le travail permet à l'Homme de l'accomplissement de son état, comment inverser cela lui permet d'aspirer au bonheur et à la culture de l'esprit.

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« mais plutôt à une usine dont il ne connaît pas le jouer il a aidé à assembler.

Comme le dit Marx dans les manuscritsde 1844, le travail comme une activité culturelle, car elle suppose que la pensée rationnelle de base et unchangement dans cette façon de penser, ne devient une activité lucrative, devient une série de gestes répétésd'un instinct presque aussi les animaux.

Le travailleur perd la notion du travail comme un accomplissement de sonhumanité, et surtout le travail devient une contrainte et non une activité qui découle d'un choix personnel.L'exemple de l'ancien monde où le système en vigueur de l'esclavage soulève la question de savoir pourquoi lesMaîtres est de ne travailler que de laisser cette tâche aux esclaves.

Est-ce que le travail est exécuté de la mêmemanière chez les animaux, peut être assimilée à une activité dégradante pour l'être humain, parce que ce seraconsidéré comme un animal.

Ainsi, comme l'explique Hannah Arendt dans La Condition de l'homme moderne, l'esclaven'est pas considéré comme un homme parce que sa vie est faite de la même ½uvre, qui est associé à l'animal.

Enfait, juste comme les abeilles, par exemple, répète les mêmes gestes chaque jour au nom de son maître.Il est intéressant de se demander pourquoi le travail est aussi associé avec le malheur, une vie terne et triste.Le travail est d'abord disposé à remplir une tâche contraignante, comme Kant explique dans le Traité sur lapédagogie.

Quand il se met au travail, l'homme accepte plus ou moins malgré lui de renoncer à d'autres activités quipeuvent être beaucoup plus agréable.

C'est précisément cette contrainte qui affecte les humains, dont le butprincipal est d'aspirer au bonheur, le bonheur bientôt atteint! Donc, ne fonctionne pas, c'est avoir du temps àconsacrer à des distractions, à l'oisiveté.La paresse, la distraction, le plaisir d'effectuer des actions, non destinés à l'homme comme "consommé [ant]" lepassage du temps et effrayant pour les humains, comme Baudrillard explique la consommation de la société.

Quandl'homme prend conscience du temps qui passe, c'est qu'il est en difficulté.

Le problème, c'est ce qui est pire pourl'homme parce qu'il risquait de plein fouet sa condition mortelle, la fuite du temps qui est âgée et inexorablementdévore.

Donc, s'offrir des loisirs, l'oisiveté est de «tuer» cette fois.

Le travail, considéré comme un acte decontrainte pour les bénéfices dans les sociétés humaines, est considéré comme une «perte de temps" parce qu'il estréparti sur plusieurs heures de la journée, et que l'homme ne jouit pas du fait qu'il pourrait prendre en se distrayant.Les travaux en cours alors à la fin d'une privation de liberté, la liberté de divertir, de ne pas signaler le passage dutemps en s'amusant.Nous allons maintenant voir ce qui pourrait permettre à l'homme de la réalisation en dehors du travail.

Le travailexige un intérêt dans la nature, un but.

Quand l'homme ne vit plus dans le besoin, il peut cultiver sa raison d'unemanière différente, la pratique de l'art.

Ce qui peut sembler se développer comme un homme en dehors du travail estla création artistique.

En essence, la création artistique n'est pas un but lucratif.

Art est un plaisir pour l'homme,l'expression de ses pensées, émotions, non-finale si elle est un plaisir pour les sens.

Lorsque le travail est vendu,modifié, la création artistique, elle est infinie.

Il permet à l'homme de développer son intelligence, car elle nécessiteune réflexion.

L'art implique une technique, mais cette technique n'est pas un bénéfice final, mais l'amélioration desémotions véhiculées par l'art.

La technique sert le plaisir de l'art.

D'autre part, l'art par son côté plus léger ne signifiepas que nous ne devrions pas être nécessairement un temps libre et temps de repos en parallèle.

L'homme quipratique l'art, se distingue de besoin, et rend son esprit pour être heureux, contrairement à l'homme qui travaille etqui a aussi son esprit sous contrainte, mais acceptée.

Et même si l'½uvre d'art implique aussi, ce n'est pas unecontrainte parce que sa simple exercice comporte l'exercice amusant pour elle.

Enfin, la création artistique impliqueque l'artiste prend part à sa culture artistique du début à la fin.

Il ne peut être aliénant, parce que c'est un voyagepersonnel d'un homme qui crée son art sur ses propres idées et selon ses sensibilités.

La création artistique sembleêtre une alternative à l'accomplissement de l'homme.Le travail peut aliéner l'homme ou de la fatigue, parce que si cela se fait automatiquement, il retire son caractèreculturel.

Travail chez les humains peut être associé à cet animal en apparence, car rien ne les différencie.

Leshommes qui cherchent du travail fuir l'oisiveté et la perte de temps pour qu'ils associent.

Il est donc compréhensibleque l'homme n'est pas dans l'acceptation directe du travail, car il implique la contrainte et la privation de l'oisiveté. Mais nous allons voir comment cette contrainte est assez légitime et ce que le travail peut conduire l'homme au lieude se réaliser en tant qu'êtres doués de raison. Nous l'avons vu, travailler sous pression conduit souvent à l'aliénation de l'homme qui se tient pour le travail qu'ileffectue n'est pas pour elle-même mais pour d'autres.

La première condition pour le permis de travail serait que lebonheur n'est pas une contrainte, ou du moins il ne reste pas tout.

Car l'homme est heureux de travailler il fautexercer une activité avec un certain plaisir, et pour cela il est nécessaire que cette activité lui permet de concevoirun objet ou une idée du début à la fin de sa réalisation.

Il est donc nécessaire pour son travail si propre, et ne sedétache pas de lui-même que le travail à la chaîne.D'autre part, si le travail n'est plus une contrainte aliénante de l'homme reviendra ensuite à l'application de base detravail humain.

Son travail permettra de développer sa raison, de cultiver son esprit et donc aspirer au bonheur parla culture, à travers le développement des connaissances.Mais que le travail est un plaisir et non une contrainte constante, il doit être modéré.

L'homme doit également avoirun temps de divertir, de s'engager dans des activités à l'extérieur et ont donc le «temps libre», comme Baudrillarddit, le temps de faire ce qu'il souhaite, d'avoir également le droit de ne pas s il le souhaite.C'est la même chose pour le reste, qui devrait être proportionnelle au travail effectué, sans laquelle l'homme seraitune constamment fatigué et ne pouvait pas vivre correctement.Un aspect très important du travail est également l'aspect de la société humaine universelle.

La société a construitsur le principe que chaque homme par son travail contribue au bien commun.

Même si le travail peut être aliénant outout simplement ennuyeux, ou plutôt un vrai bonheur, il ya un besoin dans la société pour apporter sa proprecontribution à l'état auquel l'homme appartient.

Le travail est de contribuer à un bien commun, l'évolution dubonheur d'un peuple fait partie d'une unité.

C'est pourquoi les hommes qui ne travaillent pas pour une raison ou une. »

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