Devoir de Philosophie

L'oeuvre de Leibniz

Publié le 25/07/2012

Extrait du document

leibniz

Il n’existe pas d’édition complète de l’œuvre de Leibniz. La moins incomplète est celle de Gerhart pour les Ecrits philosophiques (7 tomes) et mathématiques (7 tomes en 8 volumes) ; celle de O.Klopp, pour les Ecrits d’histoire politique et de jurisprudence (11 tomes). Lorsque le titre d’une œuvre est suivi de deux dates, la deuxième est celle de la publication.

 

ŒUVRES PHILOSOPHIQUES PRINCIPALES

 

DISSERTATIO DE ARTE COMBINATORIA (1666)

(DISSERTATION SUR L’ART COMBINATOIRE)

 

NOVA METHODUS DISCENDÆ DOCENDÆQUE JURISPRUDENTIÆ (1668)

(MÉTHODE NOUVELLE POUR APPRENDRE ET POUR ENSEIGNER LA JURISPRUDENCE)

 

CONFESSIO NATURÆ CONTRA ATHEISTAS (1668) (1669)

(CONFESSION DE LA NATURE CONTRE LES ATHÉES)

 

HYPOTHESIS PHYSICA NOVA (1671)

(NOUVELLE HYPOTHESE DE PHYSIQUE)

 

NOVA METHODUS PRO MAXIMIS ET MINIMIS (1684)

(NOUVELLE MÉTHODE POUR LA RECHERCHE DES MAXIMA ET MINIMA)

 

MEDITATIONES DE COGNITIONE, VERITATE ET IDEIS (1684)

(MÉDITATIONS SUR LA CONNAISSANCE, LA VÉRITÉ ET LES IDÉES)

 

DISCOURS DE MÉTAPHYSIQUE (1685) (1846)

 

CORRESPONDANCE AVEC ARNAULD (1686-1690) (à partir de 1729)

 

CORRESPONDANCE AVEC BAYLE (1687-1702)

 

BREVIS DEMONSTRATION ERRORIS MEMORABILIS CARTESII… (1686)

(BRÊVE DÉMONSTRATION D’UNE MÉMORABLE ERREUR DE DESCARTES…)

 

DE PRIMÆ PHILOSOPHÆ EMENDATIONE, ET DE NOTIONE SUBSTANTIÆ (1694)

(SUR LA RÉFORME DE LA PHILOSOPHIE PREMIÈRE ET SUR LA NOTION DE SUBSTANCE)

 

DE IPSA NATURA, SIVE DE VI INSITA… (1698)

(DE LA NATURE EN ELLE-MÊME)

 

CORRESPONDANCE AVEC DE VOLDER (1698-1706) (à partir de 1752)

 

NOUVEAUX ESSAIS SUR L’ENTENDEMENT HUMAIN (1700-1709) (1765)

 

CORRESPONDANCE AVEC LE P. DES BOSSES (1706-1716) (à partir de 1718)

 

ESSAIS DE THÉODICÉE SUR LA BONTÉ DE DIEU, LA LIBERTÉ DE L’HOMME ET L’ORIGINE DU MAL (1710)

 

MONADOLOGIE (1714) (1721 en  latin, 1840 en français selon l’original)

 

PRINCIPES DE LA NATURE ET DE LA GRÂCE (1714) (1718)

 

CORRESPONDANCE AVEC CLARKE (1714-1716) (1717)

leibniz

« • Les monades nues (la matière inanimée) dont les percep­ tions sont inconscientes.

• Les monades sensitives, âmes des plantes et animaux, douées de perceptions conscientes et d'appétitions spon­ tanées ; les monades raisonnables, qui orit la conscience réfléchie de leurs perceptions et la liberté de leurs appé­ titions.

• La monade suprême ou Dieu.

L'HARMONLE PRÉÉTABLLE DANS LE MELLLEUR DES MONDES POSSlBLES Si chaque monade constitue un point de vue sur le monde, il en est une qui possède un point de vue omniscient : Dieu, qui a créé le monde de telle manière que les monades coexistent et s'accordent entre elles malgré leur fermeture sur elles-mêmes.

Ayant une connaissance infinie et une volonté inséparable de l'action, il a créé le meilleur des mondes possibles, dans lequel une harmonie préétablie régit les relations entre les monades, les rendant compossibles (c'est-à-dire possibles entre elles).

L'infinité des notions individuelles forme ainsi un tableau cohérent et continu dont chaque partie contient en elle l'image du tout.

40. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles