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MÉMENTO DE PHILOSOPHIE

Publié le 22/01/2020

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philosophie

2. — L’image : reproduction ou création ?

Imagination et liberté.

Imagination et préfiguration du futur : comment envisager la réalisa-

tion de l’imaginaire (poser cette question dans les domaines politique ou social, notamment) ? [Cf sujet 16.]

L’idée, le jugement

1. — L’origine des idées : rationalisme cartésien (les idées innées) et empirisme (Hume).

Définition kantienne du noumène.

Relations entre les idées ou représentations et le monde matériel : idéalisme (Platon, Hegel) et matérialisme (cf. Marx : L’Idéologie allemande).

Influence de la collectivité (société, classes) sur les idées de l’individu. Définition de l’idéologie selon Marx.

Définition du jugement (S est P). Classification des jugements : analytiques et synthétiques.

Qu’est-ce, selon Kant, qu’un jugement synthétique a priori ?

2. — Qu’est-ce que bien juger ?

Le jugement est-il toujours une affaire de stricte logique ? (Cf. sujet 17.)

Le concept scientifique

1. — La loi des trois états chez Auguste Comte (Cours de philosophie positive) : caractéristiques de chaque état, modification progressive des questions posées relativement à la nature (cf. sujet 18).

Concept philosophique et concept scientifique.

Définition de l’obstacle épistémologique (en retenir les principales catégories).

Evolution d’un concept scientifique particulier (par exemple, le

2. — Notre perception de l’espace est-elle naturelle ou sociale ?

L’expérience quotidienne de l’espace est-elle unifiée ou diversifiée ?

« La perception

1. — Différence classique entre la sensation (définition) et la perception.

Le « morceau de cire » chez Descartes.

Lois fondamentales de la psychologie de la forme (simplicité, symétrie, etc.). Qu’est-ce qu’une « bonne forme » ? (Cf. P. Guillaume, La Psychologie de la forme.)

Perception et signification (cf Merleau-Ponty : Phénoménologie de la perception).

Perception et connaissance : critique traditionnelle de la perception depuis Platon (les quatre modes et domaines de la connaissance de La République) et chez Descartes. Rôle de la perception et de la raison dans le rationalisme critique de Kant. La perception comme obstacle épistémologique (Bachelard).

2. — La perception est-elle liée à un intérêt du sujet ?

La perception constitue-t-elle le début de toute connaissance ?

La mémoire

1. — Définitions : souvenir conscient, souvenir dans l’inconscient, refoulement, symptôme, retour du refoulé.

L’oubli : phénomène normal, sélectif (Freud), accident pathologique (cf. Jean Delay : Les Maladies de la mémoire). Sa nécessité chez Nietzsche.

Les « cadres sociaux de la mémoire » (cf. Halbwachs).

Relations entre mémoire individuelle et mémoire collective.

Théorie de la réminiscence chez Platon (cf. Ménon).

2. — Que pourrait être un homme sans passé ?

Pourquoi une société doit-elle connaître son passé ?

Existe-t-il un « devoir de mémoire » ?

Le temps

1. — Temps cyclique (la « grande année » chez Platon et le Quetzalcoatl des Aztèques) et temps linéaire (influence du christianisme et de sa théorie de la création initiale).

L’« étemel retour de l’identique » chez Nietzsche.

Le temps comme forme a priori de l’intuition chez Kant (Critique de la raison pure, « Analytique transcendantale »).

La technique

1. — Définitions : outil (cf. Leroi-Gourhan), machine, homo faber et homo sapiens selon Bergson, monde « technoscientifîque ».

Relations entre sciences et techniques.

Technique et « maîtrise de la nature » : rôle historique de Descartes dans la définition d’une raison technicienne.

Classification des techniques (cf. M. Mauss).

Ambiguïté de la technique : libératrice ou dangereuse (élaborer une définition stricte de l’écologie) ? [Cf. sujet 29.]

2. — Relations concevables entre progrès techniques et progrès moral.

Savoir-faire et savoir.

La technique doit-elle être un moyen, ou peut-elle devenir une fin en elle-même (cf. sujet 19)1

La société

1. — Différences entre sociétés « primitives » et sociétés « développées » ; la question de leur hiérarchisation (cf. Lévi-Strauss).

L’homme comme être social : la vie en société pensée comme « naturelle » (Aristote) ou comme historiquement acquise (Rousseau) [Cf. sujet 25.]

Société et moralité ; opposition entre hétéronomie de la volonté (la société engendre les exigences morales, cf. Durkheim) et autonomie de la volonté (Kant).

La sanction sociale, ses différents niveaux selon Durkheim.

Définitions : marginalité, anomie.

2. — Peut-on concevoir une existence humaine en dehors de toute société ?

La famille comme modèle, « si l’on veut » (Rousseau), de la société.

La société est-elle contraignante ou libératrice pour l’individu ?

L’État

1. — Bien repérer ses différentes formes historiques — de la cité antique (est-ce déjà un État ?) au totalitarisme (cf. Arendt).

Définitions : État, nation, patrie, citoyen (ses droits et ses devoirs).

Définition de l’« appareil idéologique d’État » (quelques exemples).

Rapports entre l’État et la liberté : opposition entre les théoriciens de l’État (Spinoza, Hegel) et les théoriciens anarchistes (Stimer, Bakounine).

L’État comme représentant l’ensemble des citoyens (Rousseau, Contrat social) ou comme représentant d’une seule classe (Marx).

La question de l’État « idéal » : quelques exemples classiques d’utopies (de La République à Campanella ou Thomas More).

philosophie

« • Les passions 1.

Rapports entre raison et passion: l'opposition classique (cf.

Platon).

La passion dans l'histoire (cf.

les «ruses de la raison» chez Hegel).

La réestimation des passions dans le romantisme.

- Évolution historique des passions (cf., par exemple, Denis de Rouge­ ment, L'Amour et l'Occident).

2.

- La passion cherche-t-elle à échapper au temps (cf.

Alquié: Le Désir d'étemite)? Peut-on concevoir une maîtrise des passions ? • L'illusion 1.

- Différence entre illusion et erreur (cf.

sujet 5).

Illusion et désir (cf.

sujet 5).

- Critique de l'illusion dans la philosophie classique (allégorie de la caverne).

Qu'est-ce que l'idéologie selon Marx? (Cf.

sujet 5.) 2.

Peut-il exister des illusions positives (cf l'art selon Nietzsche)? - Que pourrait être une existence totalement débarrassée de ses illusions ? • Autrui 1.

- Définition et signification du dialogue : le refus de la violence, la respectabilité attribuée au discours de l'autre (cf sujet 35).

- Différentes relations possibles avec l'autre (ou les autres : faut-il dis­ tinguer les deux cas ?) : conflits (exemples historiques), assimilation, sen­ timents (l'amitié chez Aristote), passions (cf.

sujet 6).

- L'anonymat du« on» (Heidegger).

- Autrui comme corps dans son propre monde (Husserl), comme injonction éthique par son visage (Levinas).

2.

Autrui m'aide-t-il à me connaître? ou constitue-t-il un obstacle pour la connaissance de moi-même ? Le totalitarisme est-il la négation d'autrui en tant que tel? (Cf Arendt.) • L'espace 1.

Comme forme a priori de l'intuition chez Kant (cf Critique de la raison pure, « Analytique transcendantale ») [cf sujet 7].

Diversité des cultures et pluralité des espaces vécus (espace religieux, espace des déplacements collectifs, espace du travail, espace sacré et espace profane ...

).

Élaboration de la perspective dans l'art de la Renaissance : est-elle obligatoire ? Que remplace-t-elle ? Comment est-elle mise en cause dans 1208 i. »

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