Peut-on dire que la conscience est un juge infaillible?
Publié le 25/11/2012
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Sujet:Peut-on dire que la conscience est un juge infaillible ? INTRODUCTION La tradition rationnelle définie l'homme comme un être doué de conscience,faculté de connaître et de juger. La conscience se caractérise par sa clarté et sa transparence. Elle est le signe de la perfection de l'homme. Cependant, bien que la conscience soit le premier mode de connaissance de soi,bons nombres de phénomènes lui échappent. Dès lors, est-il possible de dire que la connaissance qu'à le sujet de ses actes et états est parfaite ? En quel sens peut-elle être saisie comme étant transparente à elle même ? Ne révèle-t-elle pas des limites ? DEVELOPPEMENT La conscience est commune à tous les hommes étant une fac...
«
par laquelle l'homme peut se saisir comme sujet connaissance que l'homme à de ses états et de
ses actes n'est pas parfaite.
Les faiblesses de la conscience montre ses limites à tout connaître.
En clair, la prétention de la conscience à connaître parfaitement ses états et ses actes est
illusoire..
»
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- La conscience peut-elle être appelée, comme le dit Rousseau, un Juge infaillible du bien et du mal ? PLAN.
- La conscience peut-elle être appelée, comme le dit Rousseau, un juge infaillible du bien et du mal ?
- Rousseau " Conscience, conscience, conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions. " (Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762, livre IV, GF-Flammarion, 1966, p. 378). Commentez cette citation.
- « Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions. » Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762. Commentez cette citation.
- Tout homme a une conscience et se trouve observé, menacé, de manière générale tenu en respect (respect lié à la crainte) par un juge intérieur et cette puissance qui veille en lui sur les lois n'est pas quelque chose de forgé (arbitrairement) par lui-même, mais elle est inhérente à son être.