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Publié le 25/11/2014

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L'apôtre Saint Paul, Épître aux Romains, XIII, 1 : « Il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent sont constituées par Dieu si bien que celui qui résiste à l'autorité se rebelle contre l'ordre établi par Dieu » Jus commun ; Le droit commun désigne l'ensemble des règles juridiques applicables à toutes les situations qui ne font pas l'objet de règles spéciales ou particulières. Les droit savant on désigne par le droit savant des droits qui sont enseigner a l'université et dont la forme est l'écrit (droit romain et droit canonique) Le droit canonique ou droit canon (jus canonicum en latin), est l'ensemble des lois et des règlements adoptés ou acceptés par les autorités catholiques pour le gouvernement de l'Église et de ses fidèles. Le droit canonique est né depuis longtemps origine qui remonte à la reconnaissance officielle du christianisme par les empereurs romains, Edit de Théodose, 380). Ce droit canonique est un droit universel, puisqu'il concerne l'ensemble des peuples de la chrétienté. Ce droit canonique s'applique à certaines personnes (religieux et autres), et aussi à certaines matières (sur l'Eglise et la religion, mais aussi la vie laïque : droit du mariage, famille, testament?). Les sources du droit canoniques : Le droit canonique repose sur les canons conciliaires (règles : décisions des conciles = assemblées d'évêques ou de dignitaires ecclésiastiques). Mais aussi sur les décrétales pontificales (décisions du pape).Très tôt, ce droit canonique fut rassemblé dans des compilations privées dès le 4e s, et qui se multiplient jusqu'au 11e s. L'essor du droit canonique se situe donc à partir du 12e-13e s, en relation avec le réveil du droit civil. Le droit canonique va faire l'objet de questionnement, de commentaire, de réflexion (droit savant). C'est la réunion de ces deux droits savants (droit romain et droit canonique) qui constituent le droit commun de l'Europe chrétienne (jus commune)., le développement du droit canonique dans les universités sont autant de causes qui, par des voies diverses, donnent au droit canonique un essor jamais égalé. C'est le temps des grandes collections (Décret de Gratien, recueils de décrétales) qui seront à l'origine du Corpus Iuris Canonici. La papauté d'Avignon au XIVe siècle, puis la Réforme au XVIe siècle marquent cependant la fin de la Chrétienté médiévale. Des doctrines nouvelles affirment l'autonomie du pouvoir séculier. Le droit de l'Église n'échappe pas aux contrecoups de ces mutatio...
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« Les sources du droit canoniques : Le droit canonique repose sur les canons conciliaires (règles : décisions des conciles = assemblées d’évêques ou de dignitaires ecclésiastiques).

Mais aussi sur les décrétales pontificales (décisions du pape).Très tôt, ce droit canonique fut rassemblé dans des compilations privées dès le 4e s, et qui se multiplient jusqu’au 11e s.

L’essor du droit canonique se situe donc à partir du 12e-13e s, en relation avec le réveil du droit civil.

Le droit canonique va faire l’objet de questionnement, de commentaire, de réflexion (droit savant).

C’est la réunion de ces deux droits savants (droit romain et droit canonique) qui constituent le droit commun de l’Europe chrétienne (jus commune)., le développement du droit canonique dans les universités sont autant de causes qui, par des voies diverses, donnent au droit canonique un essor jamais égalé.

C’est le temps des grandes collections (Décret de Gratien, recueils de décrétales) qui seront à l’origine du Corpus Iuris Canonici.

La papauté d’Avignon au XIVe siècle, puis la Réforme au XVIe siècle marquent cependant la fin de la Chrétienté médiévale.

Des doctrines nouvelles affirment l’autonomie du pouvoir séculier.

Le droit de l’Église n’échappe pas aux contrecoups de ces mutations.

Du XVIe. »

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