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Possibilité de la conscience de soi ?

Publié le 20/08/2013

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conscience

On dit donc qu'il transforme nos désirs latents (=inconscient par exemple la peur ...) en manifestes (représentation par les objets, les images...). Cet inconscient n'est tout de même pas libre de faire ce qu'il désire et d'influer selon son bon vouloir sur nous. Il est en effet, lui aussi structuré par le monde extérieur et notamment au cours de processus de socialisation de la plus tendre enfance jusqu'à notre mort et permet de réguler certains besoins primitifs conformément à notre propre culture. L'exemple le plus pertinent est celui de la sexualité, et surtout sa sustentation évitant certains déboires comme les relations incestueuses ou la pédophilie, désirs primitifs que possède chaque sujet conscient humain. C'est notamment pour ces mêmes études que Freud fit scandale à l'époque, avec un reproche principale, celui de tous ramener à la question du sexe. Or, le philosophe n'a pas la même conception de l'hormone du désir, puisque pour lui la libido reste une composante de notre inconscient qui permet de s'investir émotionnellement dans tous les aspects de notre existence et nous donne « Notre Capacité à Aimer «. C'est pourquoi l'on peut en conclure qu'il existe un déterminisme en chacun de nous dont nous ne pouvons avoir conscience de par la présence d'une partie de notre esprit que nous ne pouvons contrôler malgré le refus et l'obstacle qui oppose notre propre conscience.

conscience

« sens et ne sont qu'une extériorisation d'une surcharge nerveuse) et le psychologique traitant avec notre sujet qu'est l'inconscient et selon lequel notreesprit réalise nos désirs refoulés.

Dans ce cas, les rêves appelaient selon Freud « La Voie Royale qui mène à l'inconscient » auraient une significationparticulière en fonction des personnes et des désirs de chacun, même si quelques archétypes découlent dans une majorité de cas.

Cette recherched'analyse du rêve passe par des mécanismes de l'inconscient et notamment la condensation et le déplacement qui donne une signification à tout objet,détails, couleurs, mots que le rêve introduit dans un décor parfois étranger mais qui ne sert que d'enveloppe au rêve en lui-même.

On dit donc qu'iltransforme nos désirs latents (=inconscient par exemple la peur …) en manifestes (représentation par les objets, les images…).

Cet inconscient n'est toutde même pas libre de faire ce qu'il désire et d'influer selon son bon vouloir sur nous.

Il est en effet, lui aussi structuré par le monde extérieur etnotamment au cours de processus de socialisation de la plus tendre enfance jusqu'à notre mort et permet de réguler certains besoins primitifsconformément à notre propre culture.

L'exemple le plus pertinent est celui de la sexualité, et surtout sa sustentation évitant certains déboires comme lesrelations incestueuses ou la pédophilie, désirs primitifs que possède chaque sujet conscient humain.

C'est notamment pour ces mêmes études que Freud fitscandale à l'époque, avec un reproche principale, celui de tous ramener à la question du sexe.

Or, le philosophe n'a pas la même conception de l'hormonedu désir, puisque pour lui la libido reste une composante de notre inconscient qui permet de s'investir émotionnellement dans tous les aspects de notreexistence et nous donne « Notre Capacité à Aimer ».

C'est pourquoi l'on peut en conclure qu'il existe un déterminisme en chacun de nous dont nous nepouvons avoir conscience de par la présence d'une partie de notre esprit que nous ne pouvons contrôler malgré le refus et l'obstacle qui oppose notrepropre conscience.

Je ne puis donc pas savoir totalement ce que j'ai conscience d'être et la conscience, la connaissance de soi par soi n'est donc pas totale,connu ou déterminée de façon définitive. En résumé, il semblerait que je ne puisse pas avoir totalement conscience de moi-même malgré le fonctionnement de ma conscience morale.

Celle-ci étant,notre étude nous a montré que notre conscience de ce que nous somme peut être trompée par un environnement, par elle-même et par autrui et mêmedevenir impersonnelle.

Cela étant dit, il nous est obligé d'admettre la présence d'un inconscient psychique au sein de notre esprit que nous ne pouvonscontrôler et qui influe de manière intentionnelle sur nos comportements et émotions puisqu'il est normal pour un sujet humain d'avoir des désirs refoulésque nous devons exprimés de manière explicite à travers notamment nos rêves, nos pensées incontrôlées… Il semblerait, malgré tout qu'il soit possible de reconnaître la méprise de ce que j'ai conscience d'être.

En effet, malgré notre part d'inconscience, certainsde ses contenus psychique peuvent comme nous l'avons dit passer les sépare de notre conscience.

C'est pourquoi, en langage moderne on pourrait direque nous prenons conscience de ne pas être ce dont nous avions conscience d'être à condition d'admettre certaines limites au déterminisme del'inconscient.

Ainsi, un individu peut tout au long du cycle de la vie en approfondir sa connaissance de soi, par soi et en soi.

La part d'illusion sur lui-mêmeest alors réduite mais pas détruite.

En effet, la part « d'inconscient Freudien » est immuable de notre esprit et doit pour le bien-être du sujet, le rester.

Ensoi, la recherche de la connaissance de soi est l'aventure de toute une vie, inlassablement continue et notamment au cours de l'adolescence où le sujet estsoumis à véritable quête identitaire, pour lui permettre d'apprendre qui il est et tenter de faire des choix qui déterminerons son futur, son avenir et sa vietout entière.

La méprise sur soi peut aussi amener un sujet à découvrir des instincts, des aspects de lui-même qu'il ne pensait pas connaître et luipermettre d'augmenter la conscience de son être.

Chacune de ses expériences vont l'amener à faire des bilans sur ce qu'il est, n'est pas, doit être (ou pas)et ne cesse d'en intérioriser les conséquences.

Le monde extérieur, bien qu'il puisse rendre notre conscience morale impersonnelle peut avoir desexternalités positives sur la conscience de soi d'un individu.

Il permet selon l'expression de « prendre conscience » selon René Daumal, soit accepter notreresponsabilité, notre engagement (physique ou émotionnel), de notre propre existence en tant qu'être conscient.

La conscience se connaît donc elle-mêmechaque jour un peu mieux que le précèdent. On a pu voir que la problématique de notre sujet sur la conscience nous a amené a réflexion, contradiction et formulation d'hypothèses.

Or il n'en est pasune plus vérace que l'autre.

La thèse la plus exacte serait donc qu'un être humain se compose d'un esprit où inconscient et conscience s'entremêle pournous amener à se représenter tels qu'ils le désirent avec des aspects purement idéalistes et illusoires de notre personnes et d'autres, véritablesdéterminants de notre identité.

Chacun possède donc une conscience de soi, a conscience d'être ce qu'il est mais peut quand même garder une partd'obscurité.

Le « soi » de l'être vivant est donc individuel mais ouvert sur autrui et sur l'environnement social qui l'entoure.

Un sujet, veut donc comprendrele « moi » qui le compose pour en découvrir sa nature, ses goûts, désirs mais ne peut le faire qu'avec une patience et une ouverture d'esprit suffisante touten sachant qu'il ne pourra le faire dans son intégralité.

Le bien le plus précieux d'un individu reste son identité mais faut-il encore la connaître de l'intérieurpour s'y assimiler et devenir un sujet à part entière.

Mais la connaissance de soi, du sujet par le sujet, doit être véritablement recherchée par leconformisme de nos sociétés contemporaines entraîne la formation d'identité culturelle propre à chaque nation voir continents.

C'est pourquoi pour sedistinguer il faut aujourd'hui non pas s'apparenter à une nationalité ou croyance mais à la conscience de « soi » que nous avons de nous-mêmes. On peut donc en conclure que la notion de « conscience de soi » est complexe et amène véritablement à débat.

Aujourd'hui, on ne peut tout de même passe refuser à admettre la présence d'un inconscient car on ne pourrait expliquer grand nombre de comportement individuel sur des sujets pourtant conscientmais altérer par une méprise sur eux même croyant être ce que leur conscience leur renvoie et devenant étranger à ce qu'ils sont réellement.

Les Sociétéspostindustrielles du XXIème siècle ont malgré le développement de l'individualisme amené d'autres formes de conformismes, certes plus modernes maistout aussi dangereux pour le sujet humain.

Est-il vraiment responsable de sa méprise ou est-ce une intention particulière et extérieure ? Défaut ?. »

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