Progrès et Liberté

« La tec hni q ue do m ine l'homm e ~~[.]a Si la technique permet bien de dominer la nature, elle peut tout auss i bien permettre de domine r l' homme lui -même.

En suivan t sa propre logique , elle échappe à l' homme tout en l'empr isonnant.

Le mythe de La machine gne nt q ue la technique l'apprenti sorcier asservit l'homme peut ê tre un autr e moy en L e développement des M arx prévoit les dan - de domination de l'hom - ma chin es a fait naîtr e, gers du m ac hini s- m e par l'homme.

surtout au :XX e s iècle , la me qui sépare le travail La technique crainte que la tec hniqu e intellectuel du tra vai l appauvrit l'homme ne domine l'h o mm e au manuel , alors qu e le t ra- au lieu de l'enrichir lieu de le lib é rer.

Ce tte va il de l 'ar tisan les te- crainte se manif este déjà nait intimement liés.

G eorges Friedmann, IIannah Arendt cr i- pour sa part, dé- • Plus le n iv ea u d e la tec h- tique les «chaîn es de pro- non ce l'en vir o nnement nique est éle vé , plus les duction » industrielles artificiel et inhumain que avantages que peuvent ap- porter des p r ogr ès nou - dans lesq uell es l'h om - crée la civili sa tion tec h- veau x dim inuent par rap- me doit se plier au ryth- nicienne.

Ce lle-c i dé- port au x inconv énients.

• me de la ma chin e.

Quant pouille l'h omme de ses S imone We il à l'automa tisat ion ou rythmes na tur els sa ns dan s les myth es roman- l 'informatiqu e, e lle s up - lui apporter d'autr es tiques del ' «app re nti so r- prime des postes de tra - points de repè res , d'autres cier» (Fau st, Franken- vai l e t provoque du chô- va leurs , une autre cul- s tein).

Les fabuleuses in-mage.

Les philosophes tur e.

Elle le plonge a insi ven tions de l'esprit de d e l 'éco le de Francfort dans un v id e s pirituel.

l'h omme se retournent (Adorno, IIabermas) Sans cesse assisté par la con tre lui , échappent à mettent en garde cont re te c hniqu e, l'ho mm e e n son contrô le.

la t ec hn ocra tie e t so uli - devient dépendant.

L a techniq u e dépasse l'hom m e, le so ume t à ses exige nces.

E lle lui retire plus q ue ce qu 'elle l ui donne .

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