Qu'est ce que la Philosophie ?
Publié le 22/02/2012
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«
intellectuellement il ya 1 rapport de soumission et de domination.
La démarche de Socrate va remettre en Question un tel schéma de la connaissance.
D'abord Socrate montre qu'il ya différentes forme de degré de non savoir :- L'inconscience animale : privé totalement de savoir.- Chez l'humain : on peut avoir acquis des savoirs et pourtant ne rien penser qui ne vaille.
Le doute peut permettre de montrer que ce que l'on croyait savoir ne relevait que du domaine de l'opinion de lacroyance et du préjugé.
Tout ce que l'on a appris doit être vérifié.
Le doute nous met sur le chemin d'1 véritablequestionnement, d'1 réflexion personnelle.
Toute connaissance doit être soumis à l'examen d'une réflexion critique età l'effort de jugement posé → c'est ça philosopher pour Socrate.
III.
La conscience de soi et le sujet en question :
1.
Mise au point terminologique et travail de définition :
C'est à partir du XVIIIe qu'on trouvera une philosophie de la conscience.
Mais en définissant la pensée comme «intériorité » Platon a déjà les bases d'1 philosophie du sujet.
1.a) Mise L'intériorité de la pensée : « La pensée est 1 dialogue intérieur et silencieux de l'âme avec elle même :
L'être humain est représenté par 1 corps ce qui nous permet d'être reconnue par les autres.
L'H est lié au monde parla naissance naturelle et biologique.
Cette dimension corporelle et matérielle de cette existence conditionne notrevie d''H.
D'1 autre côté, en nous même nous découvrons 1 capacité de penser de vouloir et d'agir pour nous mêmeen notre nom propre « je ».
Penser pour l'H, c'est se savoir exister.
Cette conscience de soi, se donne à nous dansl'évidence intérieure.
Par la conscience nous faisons l'expérience intérieure de cette présence à soit.
Notre penséeet âme parvient à se saisir elle-même et à se concentrer sur elle-même quand elle se coupe un peu du monde etqu'elle se détache des sollicitation du corps.
Il peut y avoir 1 vie mentale → vie de la pensée.
Par laconscience, l'H peut entrevoir qu'il est doté d'1 raison et de penser et que par la même, il peut être appelé versd'autres horizons intellectuels, moral et spirituel.
1.b) La notion de « sujet » et la conscience de soi :
« sujet » = latin sub-jectum = placé / jeté.• Au sens classique, le mot désigne l'ind soumis à l'autorité → celui qui s'impose à 1 obligation ouencore tous les citoyens sont sujets de la loi.• Au sens moderne, le mot « sujet » caractérise l'existant conscient de soi capable de saisie son existenceet de se désigner lui-même, « je ».
La notion de sujet renvoie à cette être qui pense et qui en même tps se pensepensant.
A ce stade de réflexion, 1 série de question se présentent : Qui est le « je » ? L'ind conscient qui porte savie à « je » est-il vraiment la cause libre et autonome de ses action ? Est-il en mesure de déterminer pour lui-mêmese qu'il pense ?
Penser désigne l'ens d'activité et d'opération intellectuelles et scientifiques = opération de la connaissance quetoute intelligence peut effectuer.
Penser c'est aussi réfléchir par soi même et de se désirer de se voir soit même entrain de penser.
L'acte de penser est 1 activité intérieur et silencieuse qui implique la mobilisation du corps →Méditation.→ La conscience (latin : cum-scientià) désigne la connaissance et par soi.
Elle est la condition deconnaissance de toute chose hors de moi.
C'est elle qui nous donne les moyens de penser et de connaître qlqchose.Quel est donc cet être qui pense, qui veut, qui agit ? En disant « je » il parle de soi, pour René Descartes, c'estl'évidence de la conscience de soi.
Je suis 1 chose qui pense, « je pense », « j'existe » est considéré comme la 1erevérité indubitable.
La 1ere vérité indubitable est celle d'1 sujet pensant, d'1 être conscient de soi qui dis «je » enparlant de soi et qui se pose dans l'existence à ce titre de sujet.
L'H est 1 être de raison, 1 être capable deraisonnement et de réflexion, 1 être raisonnable.
2.
Le cas Eichmann et la banalité du mal : Mise en question de la relation de soi :
Quand 1 pers se voit soi même, il est dans 1 distance à soi même, il fait l'épreuve qu'il est double en lui.
Moi et moi-même → il ya dans mon identité même un 1 dédoublement comme le dira Hannah Arendt.
Dans la présence àsoi, il ya 1 distance à soi.
Peut être que cette expérience du 2 en 1, que le remord, le doute, la honte, l'angoisserenvoient finalement à 1 dialogue intérieur et silencieux de l'âme avec elle-même = racine de la conscience et de lapensée.
Analyse de la pensée d'Hannah Arendt dans le texte sur le cas d'Eichmann et la banalité du mal :
Hannah Arendt , philosophe juif allemande, publie 1 ouvrage intitulé Eichmann à Jérusalem est sous titré rapport à la.
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