riches et pauvres

« Perception purement économique des riches et des pauvres, ils ne sont plus des individus concrets. A partir de là, nous entrons dans un monde et plus spécialement vers une vision de l'homme. Soucis de l'enrichissement, et de l'appauvrissement. II. Méconnaissance : existence d'un monde où il n'y a ni pauvre ni riche mais uniquement phénomène d'appauvrissement ou d'enrichissement. Il n'y a pas de situation acquise stationnaire dans l'économie aujourd'hui. Le jour où j'ai cessé de grandir, je me tasse.

Tout ce qui ne croit pas décroit. L'immobilité, l'absence de changement. Les pauvres sont comme les riches exclus. On doit faire disparaître, en les incitant à s'enrichir. Les riches sont exclus parce que l'on les met à part. On appelle richesse l'abondance de superflu. Pauvre absence de superflu miséreux = absence du nécessaire. Pauper : celui qui a peu de pouvoir.

=> Qui produit peu. Riche « puissant » qui produit beaucoup. L'économie d'avenir, gérer la décroissance. « La zona » Il vaut mieux être riche que pauvre. Il vaudrait mieux être pauvre que riche. La misère fait perdre la dignité aux hommes. Bosssuet « Sur l'éminente dignité des pauvres ». Respect d'établissement, posséder plus, = plus de respect que posséder moins. Eminence = qui dépasse.. »