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Section I : Les différentes espèces de philosophie 2 moyens de

Publié le 27/02/2016

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Section I : Les différentes espèces de philosophie 2 moyens de traiter la philosophie morale :   Homme né pour l’action, Visée = vertu FACILE  Homme être raisonnable : former son entendement, source des distinctions de la vertu inefficace a priori Pur philosophie : peu acceptable dans le monde. Idem pour ignorant. Or, son avantage est – une utilité pour la 1ère, lui permettant d’affiner son exactitude + une diffusion de proche en proche qui amène de la précision au monde pratique + plaisir de découverte, bienfaisance pour l’Humanité.  MAIS problème, au-delà de la dimension fatigante pour métaphysique est qu’elle est source de beaucoup d’erreurs. Hume ainsi démarre son enquête pour percevoir les mécanismes qui nous régissent au-delà des effets (analogie forces régissant le système solaire). Section II : origine des idées Mise en évidence de la différence entre perception et réminiscence / anticipation de la perception (degré de force, de vivacité sont différents) DIFFERENCIE AINSI Pensées, idées // Impressions Pensée : liberté infinie, tout en demeurant quelque peu étroite aussi car copie les perceptions vives. 2 arguments : - idée vient toujours des représentations premières, quand l’on produit la perception vive - défaut d’un organe percepteur permet de mettre en évidence cela plus d’impression et pas d’idées se fondant dessus du coup. Généralise ainsi : quand on n’expérimente pas, pas d’idée de la chose.  Mais 1 exception : cas singulier, nuance d’une couleur que l’on a jamais perçue peut être facilement imaginée. Section 3 : L’association des idées Il existe une certaine méthode, régularité dans l’association d’idées. 3 types : Ressemblance (Ovide), Contiguïté temporelle ou spatiale (historien), relation de cause à effet (historien encore, elle est la plus forte domination des évènements passés, gouvernance de l’avenir) Cependant, pas de démonstration de cela, que des exemples effets sur passions, imagination On remarque la présence toujours d’un plan, d’une intention qui organise l’association Idée unité de l’action, chaîne de toute une vie. Cette unité : ++présente dans la poésie, - dans la biographie réaliste. En effet, la poésie proximité avec les objets, poètes avivent les images, etc (pas trop de descriptions, juste assez) Ecueil : remonter trop l...

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« imaginée. Section 3 : L'association des idées Il existe une certaine méthode, régularité dans l'association d'idées. 3 types : Ressemblance (Ovide), Contiguïté temporelle ou spatiale (historien), relation de cause à effet (historien encore, elle est la plus forte domination des évènements passés, gouvernance de l'avenir) Cependant, pas de démonstration de cela, que des exemples effets sur passions, imagination On remarque la présence toujours d'un plan, d'une intention qui organise l'association Idée unité de l'action, chaîne de toute une vie.

Cette unité : ++présente dans la poésie, - dans la biographie réaliste. En effet, la poésie proximité avec les objets, poètes avivent les images, etc (pas trop de descriptions, juste assez) Ecueil : remonter trop loin dans la série de cause, pas de connexion si forte qui permettrait la transition des passions (ne permet pas de garder la même intensité permise à la base pourtant par le genre poétique). Ainsi, dénigrement des scènes ou personnages qui s'intercalent sans véritable connexion. Dans ce cas, on est obligés de repartir de 0, de recommencer le processus d'éveil des passions.  Poésie # Histoire (car degrés de connexion diffèrent) Section IV : Doutes sceptiques sur les opérations de l'entendement Première partie Objets de la raison en 2 genres : - relations d'idées                                                            -faits Relations d'idées : tout ce qui est démontrable et certain (maths : propositions, théorèmes) Fait : pas la même nature de vérité, contraire reste toujours possible à imaginer.  D'où nature de vérité des faits repose sur des raisonnements sur les faits fondés sur relation de cause à effet = connexion entre les faits, un fait s'explique par un autre.  Comment arrivons-nous à la connaissance de la cause, de l'effet ? EXPERIENCE.

(Et PAS raisonnement, mais plutôt a priori par les sens). »

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