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SUJET : La constatation de la nécessité où nous sommes d’agir conformément à notre caractère s'oppose-t elle à la croyance en la liberté ?

Publié le 04/02/2016

Extrait du document

Conclusion. — L'éthologie, la science des caractères, ne

 

nous impose pas un absolu déterminisme. On peut admettre qu'il y a dans tout caractère des éléments déterminés et des données contingentes ; se résigner à ce qu’il y a d’inévitable chez les autres hommes, et tenter un énergique effort pour améliorer son propre caractère.

« B.

Le caractère détermine les décisions (ex.

: Stuar& Mill ) 1• C.

- Exem ples à l'a p l'u i.

2 e partie .

- Mais le caractère est -il aussi déterminl que le sou tien t le déterminisme ? Non.

A.

-L'homme, dès qu'il réfléchit, peut réagir con tre son hérédité et contre l'influence du milieu.

B.

- Il peut changer de milieu.

C.

- Il peut se donner de nouvelles habitudes.

Ain si le caractère est, au moins en partie, une création de la volonté hum ain e 2• se partie .

-Le caractère est-il aussi déterminant que le soutient le déterminisme ? Non.

A.

- Du cara ctèr e ne résultent pas des motus ayant une force calculable 3• B.

- Et nul ne connalt le caractère d'un autre assez parfa item ent pour pouvoir prévoi r les aetes qui en sor­ tiront '· Conclus ion.

-L'éthologie, la scie nce des caractères, ne nous impose pas un absolu déterminisme.

On peut admettre qu'il y a dans tout caractère des éléments déterminés et des données contingentes ; se ré�igner à ce qu'il y a d'in évitable chez les autres hommes, et tenter un énerg iq ue effort pour améliorer son propre caractère.

1.

Ps.

M., pp.

658 659 ;.

Ph.

S.

et M., pp.

298 -299 .

2.

Ps.

M., pp.

662 663 ; pp.

700 703 ; p.

706.

Ph· S.

et M., p.

301, 3.

Ps.

M., p.

662.

Ph.

S.

et M., p.

301.

4.

Ps.

M., p.

663.

Ph.

S.

P-t 11., pp.

301-302.. »

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