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Texte de Nietzsche : Tout ce qu'on appelle amour (autrui)

Publié le 20/12/2011

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nietzsche

"Tout ce qu'on appelle amour. - Convoitise et amour : quelle différence dans ce que nous éprouvons en entendant chacun de ces deux mots ! - et cependant, il pourrait bien s'agir de la même pulsion, sous deux dénominations différentes, la première fois calomniée du point de vue de ceux qui possèdent déjà, chez qui la pulsion s'est quelque peu apaisée et qui craignent désormais pour leur « avoir « ;l'autre fois du point de vue de celui qui est insatisfait et assoiffé, et donc glorifiée sous la forme du « bien «. Notre amour du prochain - n'est-il pas une aspiration à une nouvelle possession? Et de même notre amour du savoir, de la vérité et de manière générale toute l'aspiration à des nouveautés? Nous nous lassons progressivement de l'ancien, de ce dont nous nous sommes déjà assuré la possession et recommençons à tendre les mains ; même le plus beau des paysages, une fois que l'on y a vécu trois mois, n'est plus certain de notre amour, et n'importe quelle côte lointaine excite notre convoitise : la possession rétrécit le plus souvent l'objet possédé. Le plaisir que nous prenons à nous-mêmes veut tellement se maintenir qu'il ne cesse de métamorphoser quelque chose de nouveau en nous-mêmes, - c'est cela même que l'on appelle posséder.

La thèse principal proposé par Nietzsche est que Amour et Convoitise sont deux terme différent ayant pour objectif de posséder. Nous allons faire une étude pas à pas du texte de Nietzsche.

 

Parlons de la convoitise, nous somme dans un monde où le désir de convoité est mal. Car celle-ci est un désir avide de posséder, ce qui est moralement condamnée comme le signal Nietzsche. Mais si on n’y réfléchie elle fait partie de nous, comme défini plus haut, il s’agit d’un fort désir de possession, lorsque l’objet de notre désir entre en notre possession, nous devenons possédé par cette objet, c’est à dire, un désir avide de le gardé à tout pris, une dépendance, et l’homme a peur que autrui lui vole, aussi il ne faut pas oublié que la convoitise, c’est l’envi de prendre l’objet d’un autre, on convoite principalement ce qui ne nous appartient pas. Si on possède nous savons que si autrui convoite notre bien on risque de le perdre, la convoitise provoquerais donc un comportement d’égoïsme.

nietzsche

« 2 comme le signal Nietzsche.

Mais si on n’y réfléchie elle fait partie de nous, comme défini plus haut , il s’agit d’un fort désir de possession, lorsque l’objet de notre désir entre en notre possession, nous devenons possédé par cette objet, c’est à dire, un désir avide de le gardé à tout pris, une dépendance, et l’homme a peur que autrui lui vole, aussi il ne faut pas oublié que la convoitise, c’est l’envi de prendre l’objet d’un autre, on convoite principalement ce qui ne nous appartient pas.

Si on poss ède nous savons que si autrui convoite notre bien on risque de le perdre, la convoitise provoquerais donc un comportement d’égoïsme.

C’est ce qu’ explique l’auteur , l’homme ne veux pas partager s a possession .

En effet, après que ce désir fut apaisé, par peur de perdre s es biens, par défense, il va bannir la convoitise des autres, c’est à dire que l’individu qu i possède vas pointé du doigt la convoitise d’un autre en affirmant qu’il s’agit de quelque chose de mal.

C’est dans cette optique que l’on peut ce demander si l’Homme qui possède toute les connaissance serais t’il capable de la céder ou de la partager ?.

Par la suite Nietzsche dit que l’amour est gl orifié, ce n’est pas par hasard.

Révélateur d’u n manque, ce désir appelle à l’assouvissement, ensuite fini, l’humain connaît le manque.

L’amour (eros) apparaît initialement comme un désir pa rmi d’autres ; mais sa nature, étant liée à la conservation de l’espèce et à l’instinct de reproduction, l’élève au -dessus de tous les autres désirs, et le rapproche des passions.

Dans le Banquet de Platon, Aristophane explique cette puissance de l'amour par un célèbre m ythe dit "de l'androgyne" (189e -193a).

Au début des temps, raconte le poète, les humains possédaient quatre bras, quatre jambes et deux visages.

Ils possédaient deux sexes, et ressemblaient, à tous points de vue, à des siamois attachés par le dos.

Ces créa tures fabuleuses, hélas, péchèrent par leur orgueil : elles prétendaient rivaliser avec les dieux.

Aussi Zeus les frappa -t- il de sa foudre, les coupant toutes en deux.

Depuis lors, chaque humain cherche, éperdument, sa moitié.

Ce n’est pas un hasard si l’ amour fournit tant de matière à l’art ; et si Epicure accorde une grande place à l'amitié (philein) dans ses écrits, on s'étonne beaucoup de ne pas trouver l'amour au nombre des désirs nécessaires, tant il est vrai que, sans amour, la vie paraît s'affadir, perdre tout sens et, pire, toute valeur.

Tous ceux et celles qui ont un jour essuyé un refus ou connu une rupture en ont fait l'amère expérience.

Plus que de pain et d'eau, alors, nous avons besoin d'amour ; et ce besoin universel, cette soif cosmique d'a ffection, présente une portée si immense qu'il atteint le divin.

Le christianisme le proclame : Dieu est amour ; Dieu n'est qu'amour ; et le but le plus noble de l'existence humaine consiste à accueillir toutes les créatures, bonnes ou mauvaises, belles ou laides, dans un même amour universel (agapê).

Ensuite l’auteur parle de l ’amour du prochain, en référence aux paroles de. »

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