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Kardiner, psychanalyste des sociétés

Publié le 20/08/2013

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2,2 Les Zunis et les Kwakiutl

Les Zunis représente un autre peuple que l'auteur utilise pour mettre en avant la résolution du problème de l’agressivité non pas par un système de sanction puisque celui-ci n'a pas de représentant mais par la mise en place très tôt chez les jeunes de la discipline délibérée. Et pour eux le contrôle des pulsions se fait par l’intermédiaire de deux élément important :

-le moment de la vie où est institué les discipline

-les condition sociale qui rende ce contrôle acceptable

Il oppose donc les Zunis aux Kwakiutl qui est un peuple centré sur l’agressivité et dans laquelle , le dépendance mutuelle est réduite aux seuls besoins de subsistances. Ce peuple en particulier est parfaitement indifférent vis à vis de l’autorité.

Nous pouvons donc dire qu'il y a un rapport qui unis et oppose différentes tribu Tous d'abord nous pouvons rapprocher les Chuckchee et les kwakiult puis les zunis et les esquimaux pour les raison que si nous pouvond fair des groupe de deux c'est qu'ils ont en opposition un système de sécurité et un système de contrôle des pulsions.

« La personnalité de base est donc propre à chaque culture.

S’il y a une pluralité des sociétés, il y a une pluralité des cultures, et donc une pluralité despersonnalités de base.

Pour l’histoire, la principale critique que Kardiner fait à Freud, c'est de ne pas avoir vu cette pluralité des cultures.

Ainsi il affirmeque rien ne dit qu'il y a effectivement un complexe d'œdipe dans toutes les sociétés. 2 Différentes cultures étudiées par Kardiner Dans ce texte l'auteur met en avant les différentes pratiques, normes et valeurs de cultures opposées afin détailler son analyse.

Il nous explique et nousdonne les bases structurelles de certaine tribu afin de mettre en avant un type précis d'économie et de faire ressortir la structure de la personnalité debase. 2,1 Les Chuckchees et les Esquimaux Il nous décrit dans un premier temps les Chuckchee et plus particulièrement les Chuckchee de l'intérieur ceux que l'on appel les Chuckchee-Rennes.

Cepeuple subarctique vit au Nord de la Sibérie et représente douze milles individus divisées en douze unités territoriales et se répartissant en cent-cinquantescamps différents, ceux-ci composés d'une quinzaine d'individus chacun.Ce peuple ayant une économie de subsistance qui est donc basé sur l'élevage des rennes, animal imparfaitement domestiqués et qui migre vers le nord à larecherche de nouveaux pâturage.

Ce qui impose le nomadisme et un confort restreint à ce peuple(vivent dans des huttes ou dans des tentes secomposants dune seule pièce à vivre).

Selon l'importance du troupeau d'une tribu il y a des pauvre et des riches, les uns devenant les assistants desautres.

Les Chuckchee ont une structure familiale particulière qui est à la fois patriarcale et patrilinéaire.

Ces familles se constitues d'un mari, d'une ouplusieurs femmes et d'enfants sachant que les fils vivent derrière « la demeure paternelle » et ont la possibilité de quitter la famille lorsqu'ils le souhaite.Les pratiques sexuelle sont libérales du fait que le viol est toléré, que les femmes peuvent avoir des enfant illégitimes.Et surtout que les tabous de l'inceste sont présents mais sont souvent enfreints entre père-fille et frère-sœur du fait que les mariage sont fait très jeune etque le mari devant servir de père a sa femme durant quelque temps.Dans ces camps la division des taches y est sexuée avec toutes les taches difficiles donné aux femmes ( considérer comme des personnes inférieures).

Iln'y a pas de séparation du travail entre classe d'age et il arrive souvent que les « vieux parents »soit assassinés par leurs enfants.

Mais en dehors de lafamille le meurtre on beaucoup plus d'importance et nécessite un dédommagement pour calmé le conflit.Pour ce qui est de leur croyance, ils sont animistes et croient au chamanisme du fait qu'ils ont peur que les mort ne vienne posséder leur corps pour lesrendre malade.

Il faut également savoir que les Chuckchee n'ont pas de gouvernement ou encore de chef de camps.

C'est la loi du plus fort qui règne dansces camps il faut donc se servie des autres pour s'imposer.

Les plus respectés sont donc caractérisé par leur agressivité, leur violence et leur véhémence.L'auteur décrit à l'opposer les Esquimaux qui eux sont de nature respectueuse des autres et caractérisés par leur docilité envers leurs divinités.

Il met enavant le fait que sur le plan économique la situation est plus difficile pour eux même si il ont le m^me système que les Chuckchee.

Et qu'en cas d'urgence(famine) ils tuent leurs enfants et leurs vieux parents.

Il met également en avant le fait que le système de sécurité soit plus sûr chez les esquimaux.

Il nousdit encore que les relations amoureuse se font ressentir et sont donc plutôt b »n »fic pour ce peuple. 2,2 Les Zunis et les Kwakiutl Les Zunis représente un autre peuple que l'auteur utilise pour mettre en avant la résolution du problème de l’agressivité non pas par un système desanction puisque celui-ci n'a pas de représentant mais par la mise en place très tôt chez les jeunes de la discipline délibérée.

Et pour eux le contrôle despulsions se fait par l’intermédiaire de deux élément important :-le moment de la vie où est institué les discipline-les condition sociale qui rende ce contrôle acceptableIl oppose donc les Zunis aux Kwakiutl qui est un peuple centré sur l’agressivité et dans laquelle , le dépendance mutuelle est réduite aux seuls besoins desubsistances.

Ce peuple en particulier est parfaitement indifférent vis à vis de l’autorité. Nous pouvons donc dire qu'il y a un rapport qui unis et oppose différentes tribu Tous d'abord nous pouvons rapprocher les Chuckchee et les kwakiult puisles zunis et les esquimaux pour les raison que si nous pouvond fair des groupe de deux c'est qu'ils ont en opposition un système de sécurité et un systèmede contrôle des pulsions. Les limites de la méthode psychanalysante: Nous pouvons aujourd’hui nous demander dans quelle mesure le modèle de construction des institutions mis en place par Kardiner peut encore fonctionner.En effet, peut-on appliquer ce schéma d’institutions aux sociétés industrialisées ? Dans l’analyse de Kardiner, la culture est envisagée comme une espèce de « bloc » invariant qui expliquerait l’ensemble des comportements sociaux.

C’estce qu’on pourrait appeler du relativisme culturel « extrême » : chaque culture possèderait des particularités qui la distinguent durablement d’une autre, etpourtant, ne peut-on pas observer des régularités d’un code culturel à un autre (Comme montré par Levi-Strauss et ses « universaux »)?De plus, Kardiner surestime clairement l’unité culturelle d’une même société, quand bien même s’il s’agit de sociétés faiblement différenciées comme lessociétés traditionnelles, mais cela devient d’autant plus improbable à l’échelle des sociétés industrielles.

En effet, divers codes culturels peuvent se côtoyerau sein d’une même société et renvoyer à divers groupes qui composent la structure sociale d’une société.

Il faudrait prêter plus d’attention auxsignifications concrètes que donnent les individus à leurs actions (Weber).

De plus, que fait-il des distinctions faites entre strates sociales, qui font différergrandement les codes moraux, culturel, et donc modifie le « surmoi », puis par enchaînement le « moi », et donc au final, la personnalité de base.Dans d’autres de ces travaux, Kardiner passe aussi à côté d’une double culture, et double personnalité, comme nous l’avons vu avec Du Bois et« Philadelphia Negro ».

Par exemple, lorsqu’il fait une étude sur les Noirs aux États-Unis, dans The Mark of Oppression, l'environnement social de lapersonne Noire dans une société où se ressent une forte discrimination raciale, Kardiner pense que l'incidence de cet environnement sur les méthodesd'éducation et le destin de l'enfance pourrait conduire à certains traits de la personnalité du Noir, tels que la faible confiance en soi et l'agressivité, ouencore la criminalité.

Il a fait l’impasse, comme beaucoup de sociologues Blancs, d'une possible authentique culture afro-américaine. CONCLUSION En conclusion, nous pouvons dire que l'anthropologie culturelle est à sa manière une sociologie psychologique ou psychologisante, complémentaire d'unesociologie sociologisante (ne se vouant à n'expliquer le social que par le social) pour expliquer les comportements des individus d’une même culture.Kardiner a toujours condamner l'évolutionnisme et tenait à prouver que la psychanalyse permettait d'étudier les phénomènes d'adaptation qui à la foiséclairent la socialisation de l'individu et provoquent le devenir de la culture.

Malgré les reproches sur un mode explicatif trop simple et ne tenant pascompte des universaux, l’anthropologie psychanalytique de Kardiner permet une approche différente des faits sociaux, résultants d’un mécanismepsychique lié à l’éducation, aux codes déjà établis et à la culture de sa société.

On peut se demander également comment Kardiner expliquait alors lesphénomènes d’acculturation et de mondialisation des valeurs, puis qu’il ne voit pas de changement dans un modèle statique de codes des cultures.. »

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