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la psychologie clinique

Publié le 02/03/2015

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Introduction La ? clinique s'intéresse à la fois au fonctionnement normal et à la fois au ftmt patho. Historique : ? REF : J.L PEDINIELLI, Introduction à la psychologie clinique ? REF : Part de l'autre Eric Emmanuel SCHMIDT Antiquité : la ? s'apparentait à l'intérêt pour la maladie de « l'âme » et donc du pathologique. Moyen -Age : la ? (toujours pas appelé ?), s'apparentait simplement à la maladie de la folie. Une partie de la pop était dite « folle », qu'on considérait comme « non-humaine ». Les gens diff ne partageaient pas les mêmes droits et devoirs (surtout les femmes). 16ème : Fous considérés comme des bêtes, comme des dangereux que l'on enferme dans des hôpitaux et que l'on battait. 18ème : On regarde les fous comme quelque chose d'étranger qui fascine, que l'on prend pour bête de spectacle. 19ème : les choses bougent radicalement à travers l'arrivée de la psychiatrie. On s'intéresse au fcmt de l'être humain, chargée de s'occuper du fonctionnement mental. ? Michel FOUCAUD 20 ème : On ne s'occupait pas des efts handicapés dits « inéducables », que l'on envoyait loin de la population. On ne partageait pas la même humanité qu'eux. Mais réellement apparait la psychologie clinique. Elle est liée à toutes les transformations de la société. Comment fonctionne l'être humain qui semble aller « bien » ? On s'intéresse désormais plus au pathologique mais le fonctionnement normal. -3663952730500Ne pas confondre psychologie clinique et psychopatho ! On a tous des zones d'ombres, et qui peuvent nous faire basculer dans la pathologie. Décompensation : on atteint sui te à elle un fonctionnement patho. On construit notre personnalité au fur et à mesure de nos expériences et de la façon dont on les gère. Personne n'est à la l'abri d'une décompensation. (ex : suite à une maladie, ..) Fin du 19ème et 20ème : La psychiatrie et le début de la ? clinique sont confrontés à l'hystérie. Et c'est possiblement de là qu'est née la psychanalyse. Freud commence à s'y intéressé, mais en parallèle la ? clinique apparait réellement aux E-U : Avec LIGHTNER WITMER. Il s'intéresse aux efts qui ont des difficultés en classe (d'apprentissage). Souvent, ceux qui ont des difficultés, ils ont un milieu familial qui leur pose prbl. Et c'est à partir de ce constat que ce sont ouvert des écoles où peuvent « soigner » ces efts tout en leur garantissant un apprentissage : « cliniques psychologiques ». A partir de cette époque, on va commencer à former les premiers psys pour s'occuper de ces efts. Encore plus après la 1 G-M et tous les évènements traumatiques qu'elle a généré. La psycho clinique a donc connu un grand essor avec la 1ère Guerre Mondial (naissance de courants de pensée). Grands noms de la psychologie clinique en France :&l...

« PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET PSYCHOPATHOLOGIE ?? - EDUQUER –GUERIR > logique médicale · Juliette FAVEZ-BOUTONNIER Psychanalyste volonté de démédicalisé le plus possible la psychologie clinique > indépendance de la psychologie clinique Intérêt pour les événements de vie des individus et leur façon de les traverser (impact …) Essor en 1960 : création de postes dans tous les secteurs 1985 : titre de psychologue clinicien validé par un master Définition de la psychologie clinique par SECHAUD : étude des processus de transformations psychiques dans la singularité de l’individu // histoire et son monde relationnel · JANET · FREUD La psychologie clinicien s’intéresse à la fois à l’individu, au social, au normal et au pathologique.

Elle concerne tous les âges de la vie. Objectifs de la psychologie clinique : ­ Mis sion d e rep ér a g e diagno stic (import ant e) ­ Fonction th ér a p e utiqu e > att ention a u tran sfert et contr e-tran sfert ­ Fonction d e rech erch e (énigm e du p atient + ré a ctu alis ation d e s o n s avoir) P s y c h a n aly s e e t p s y c h ol o gi e cliniqu e (m êm e th éorie s utilis é e s p ar le s d e ux disciplin e s) : Distinction a u nive a u pr atiqu e P sychologu e clinicien va s’appuy er s ur le tran sfert  utilis ation (p ar ex emple pour cr é er un e allianc e th ér a p e utiqu e av e c le p atient) P sych a n alyst e va non s e ul em e nt s’appuy er s ur le tran sf ert m ai s e n plu s il va l’interpr ét er (projection s ur le p sych a n alyst e d’un e figur e d e notre e nvironn e m e nt, d’un fant a s m e refoulé …)  Objet s d’ étud e d e la p s y c h ol o gi e c liniq u e : L’individu – la famille (dyn amiqu e glob al e d e la famille) = th érapi e s y s t é miq u e – le group e – l’institution  Fonctionn e m e nt du p sychism e hum ain. »

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