116 résultats pour "brusque"
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tendu a marqué comme impur en pleine Assemblée nationale, s'insinue dans le sanctuaire, dans le saint des
aints de la Révolution, au Club des Jacobins, et y obtient par ses intrigues la plus haute dignité qui puisse être
onférée à un patriote !
Maintenant JosephFouché estmarqué pourlaguillotine, commeunarbre pourlahache. L’exclusion duClub des Jacobins équivautàune marque d’infamie, etune accusation delapart deRobespierre, surtoutquandelle est aussi acharnée quecelle-ci, est,leplus souvent, lesigne d’une condamnation certaine.Fouchéporte désormais enplein joursachemise mortuaire. Chacunattendàtout instant sonarrestation, etlui-même plus que lesautres. Ilya longtemps qu’ilnecouche pluschez lui,par crainte que,lanuit, lesgendarmes nevien...
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Définition du terme:
CRIÉE, substantif féminin.
voix grêle (ÉMILE ZOLA, L'Argent, 1891, page 133 ). 2. [Le sujet désigne un animal] Les oies qui crient dans les étaules (JULES RENARD, Journal, 1889, page 28) : Ø 2. C'est ce qu'exprimait Jules Payot disant : « On ne sait pas ce que c'est que barrir, si l'on n'a jamais entendu crier un éléphant ». LOUIS COUFFIGNAL, Les Machines à penser, 1964, page 88. 3. Par analogie. a) [Le sujet désigne un instrument de musique au timbre aigu] On entendait crier les trompettes (JEAN GIONO, Le Bonheur fou,...
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Définition du terme:
CRIANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
fou, un perdu, un putois, un sourd, un veau. — Par extension. [Le sujet désigne une sensation, un sentiment, etc.] Le chagrin de sa solitude criait dans sa voix grêle (ÉMILE ZOLA, L'Argent, 1891, page 133 ). 2. [Le sujet désigne un animal] Les oies qui crient dans les étaules (JULES RENARD, Journal, 1889, page 28) : Ø 2. C'est ce qu'exprimait Jules Payot disant : « On ne sait pas ce que c'est que barrir, si l'on n'a jamais entendu crier un éléphant ». LOUIS COUFFIGNAL, Les Machines à penser, 1...
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sur le plan de la connaissance, celle dont Colomb avait
VII LE COUCHER DUSOLEILVoilà desconsidérations bienlongues etbien inutiles, pouramener àcette matinée defévrier 1935oùj’arrivai à Marseille prêtàembarquer àdestination deSantos. Parlasuite, j’aiconnu d’autres départsettous seconfondent dans mon souvenir oùquelques imagesseulement sontpréservées : d’abordcettegaieté particulière del’hiver dansleMidi de la France ; sousunciel bleu trèsclair, plusimmatériel encorequedecoutume, unair mordant offraitleplaisir àpeine supportable quedonne àl’assoiffé u...
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qu'elles étaient inhabitées.
écrit d'une encresihorrible quec'était maintenant deslettres defeu, etGwynplaine voyaitflamboyer aufond desa pensée cesparoles énigmatiques, aujourd'huiexpliquées: Le destin n'ouvre pasune porte sansenfermer uneautre. Tout était consommé. Lesdernières ombresétaientsurlui.Tout homme peutavoir danssadestinée unefindumonde pour luiseul. Celas'appelle ledésespoir. L'âmeestpleine d'étoiles tombantes. Voilà doncoùilen était! Une fumée avaitpassé. Ilavait étémêlé àcette fumée. Elles'était épaissie surs...
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avait une rampe de velours rouge, s'ouvrait en deux branches, légèrement tordues, et entre lesquelles se trouvait, au fond, la
porte du grand salon.
adorables, au-dessusdeces jupes d’une ampleur royaleetd’une richesse unpeu chargée. Décolletée jusqu’àlapointe des seins, lesbras découverts avecdestouffes deviolettes surlesépaules, lajeune femme semblait sortirtoute nuedesagaine de tulle etde satin, pareille àune deces nymphes dontlebuste sedégage deschênes sacrés ; etsa gorge blanche, soncorps souple, étaitdéjàsiheureux desademi-liberté, queleregard s’attendait toujoursàvoir peuàpeu lecorsage etles jupes glisser, comme levêtement d’unebaigneu...
- FERME1, adjectif, adverbe et interjection.
- Zola - Au bonheur des dames
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- nommer
- Pierre et Jean
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Etude détaillée de l'oeuvre Une Vie, de Maupassant « Une vie » de Maupassant
infinie l'envahit. Elle découvrit brusquement la figure de l'enfant qu'elle n'avait pas encore vue : la fille de son fils. Etcomme la frêle créature, frappée par la lumière vive, ouvrait ses yeux bleus et remuant la bouche, Jeanne se mit àl'embrasser furieusement, la soulevant dans ses bras, la criblant de baisers. Mais Rosalie, contente et bourrue,l'arrêta. « Voyons, voyons, madame Jeanne, finnissez ; vous allez la faire crier. » Puis elle ajouta, répondant sansdoute à sa propre pensée : «...
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
- la nuit des temps de rené barjavel
- Bel Ami (Intégrale)
- Notre-dame de paris