10 résultats pour "fourastié"
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Pourquoi travaillons nous ? - Jean Fourastié
facultés d'agir, à nos besoins. Elle satisfait libéralement et sans travail à un seul de nos besoins essentiels : la respiration. L'oxygène est le seul produit naturel qui satisfasse entièrement et parfaitement l'un des besoins de l'homme. Pour que l'humanité puisse subsister sans travail, il faudrait donc que la nature donne à l'homme tout ce dont il éprouve le besoin comme elle lui donne l'oxygène. (L'eau, il faut déjà la puiser, la pomper et souvent la filtrer.) Nous travaillons pour tran...
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Sujet : J. Fourastié écrit dans son livre, Le grand espoir du XXe siècle : Les machines modernes en prenant pour elles toutes les tâches serviles, qui sont du domaine de la répétition incons¬ciente, en libèrent l'homme, et lui laissent les seuls travaux qui ressortissent en propre à l'être vivant, intelligent et capable de prévision. Expliquez et discutez cette réflexion.
Introduction Proposition de plan (pour le sujet ci-dessus p. III) Bouleversement des structures sociales par le machinisme, se traduisant souvent par une dégradation des conditions de vie; d'où hésitations à suivre Fourastié lorsqu'il affirme· citation de la phrase à commenter. Première partie : examen de la thèse de Fourastié A. Refus d'un éloge sans réserves de la machine. Entamer dans l'absolu l'apologie de la machine libératrice relève...
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JEAN FOURASTIÉ, POURQUOI TRAVAILLONS-NOUS ?
nécessaires au groupe, mais certains se ulement, ce qui implique l'échange. Je produis des livres mais je n'en mange pas : je dois donc échanger mes livres contre des carottes et des biftecks. Cet échange n'est pas tellement facile à concevoir. Il n'a donc pas dû être si aisé de trouver le mécan isme permettant de le réaliser en fait. La science économique est ainsi la connaissance, conduite selon la méthode expérimentale,...
- J. Fourastié écrit dans son livre. Le grand espoir du XXe siècle : « Les machines modernes en prenant pour elles toutes les tâches serviles, qui sont du domaine de la répétition inconsciente, en libèrent l'homme, et lui laissent les seuls travaux qui ressortissent en propre à l'être vivant, intelligent et capable de prévision. » Expliquez et discutez cette réflexion. ?
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Le Grand Espoir du xxe siècle de Fourastié (Jean)
lisation et les troubles de notre temps, Il lui permet aussi de prévoir de nouveaux équilibres pour la fln du xx• siè cle. Selon ses estimations, les pays développés aborde ront la civilisation tertiaire où le genre de vie subira des modifications bénéfiques. La maison de l'avenir sera en contact avec la nature et pourvue d'un équipement satisfaisant le plus possible aux besoins de services ter tiaires. · Une nouvelle organisation du travai...
- Fourastié (Jean)
- « Les Trentes Glorieuses » par Jean Fourastié
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Jean Fourastié, Le grand espoir du XXe siècle. Commentaire
il avait évolué dans sa jeu nesse. Un père po uvait donner à son fils des règles générales de vie. On savait qu'il y avait des méthodes qui, depuis des centaines d'an nées étaient, sans conteste, les meilleur es, pour faire tel trav ail, pour aboutir à tel résu ltat prati que, par con sé quen t aussi pour ar river à tels résultats intellec tuels. Il y avait une trad ition. En période tr ansitoire 1, la trad ition cons erve évidemm ent une place dans la vie...
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- Fourastié Jean, 1907-1990, né à Saint-Benin-d'Azy (Nièvre), économiste français.
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Selon J. FOURASTIÉ, dans notre « comportement quotidien », nous avons tendance à donner le pas à l'imaginaire sur le réel ». Considérez-vous d'une part que cette opinion est confirmée par votre expérience personnelle et d'autre part que cette attitude constituerait un handicap dans l'approche de la vie ?
• La vérité de l'art est particulière. Elle brasse les données du quotidien, les remanie, les transpose.• Toute créature romanesque est d'un autre monde.• Le romancier qui veut faire vrai en effet ne fait ni vrai ni faux, sinon il est « chroniqueur du présent » comme lesGONCOURT.• Le romancier à part entière « fait » une vérité romanesque où le travail de l'imaginaire est essentiel.• Ainsi FLAUBERT part d'un fait divers authentique pour Madame Bovary. Mais Emma est loin d'être une simplet...