14 résultats pour "monadologie"
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ANALYSE DE « LA MONADOLOGIE » DE LEIBNIZ ?
182 1 G. W. LEIBNIZ !~a Monadologie (Livre de Poche, 1990), rédigée en français en 1714, est un excel lent résumé de la métaphysique leibnizienne, et sans doute la meilleure introduction à cette métaphysique. Sa principale difficulté tient à son extrême concision et à l' excep tionne{{c densité du texte. La« monadologie »,ou théorie de la monade (terme provenant du grec monas, unité, qualité de ce qui est absolument simple et indécomposabl...
- Monadologie (la).
- La monadologie leibnizienne.
- Monadologie [Leibniz] - fiche de lecture.
- Leibniz, la Monadologie (extrait) - anthologie.
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Monadologie
Maison de Leibniz à Hanovre EXTRAITS La première page de la Monadologie définit la monade de façon claire et accessible à tous 1. La Monade, dont nous parlerons ici, n'est autre chose qu'une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c'est-à dire, sans parties. 2. Et il faut qu'il y ait des substances simples, puis qu'il y a des composés : car le composé n'est autre chose qu'un amas ou aggregatum des simples. 3. Or là...
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LEIBNIZ : LA MONADOLOGIE (Résumé & Analyse)
> Thèses essentielles t la monade, unité d'être La monade est la seule vraie substance qui assure l'unité et l'individualité de toute chose. Elle est indivisible, inaltérable, elle ne peut donc être un atome étendu, car l'étendue est divisible à l'infini. Par ailleurs, l'atome ne tire sa force que de chocs extérieurs ; la monade, au contraire, est une unité dynamique qui n'est soumise à aucune force extérieure, mais qui est mue par un principe...
- MONADOLOGIE (LA), Gottfried Wilhelm Leibniz - résumé de l'oeuvre
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LEIBNIZ (la monadologie, la théorie des petites perceptions, l'harmonie préétablie, le meilleur des mondes possibles)
6. Toute monade est « sans fenêtres », c'est-à-dire sans aucun moyen de communiquer efficacement avec lesautres monades dont elle a le sentiment plus ou moins clair suivant qu'il est éprouvé ou perçu ou compris. Mais toutce qui lui arrive, lui arrive en vertu d'une loi propre de développement et d'une causalité interne. De même queMalebranche ne pouvait concevoir l'action des corps entre eux puisque la loi physique possédait seule, dansl'étendue intelligible, la causalité effective...
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Leibniz, Monadologie, § 57. Voir.
Les perspectives de la ville 101 doucement jaunes. Du bateau qui glisse à mesure, le décor évolue encore au gré d'un mouvement continu, enchaîne ment de points de vue sous les arches de pierre. Les yeux suivent les métamorphoses silencieuses des objets. Ainsi vont les hommes, porteurs de perspectives qui changent. Quel lieu permettra d'observer la ville totale? Aucun sans doute. Un être au vol immobile, à l'aplomb du centre gé...
- MONADOLOGIE (La) de Gottfried Wilhelm Leibniz - résumé, analyse
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LEIBNIZ: Nouveaux Essais sur l'entendement humain, La Monadologie, Essais de Théodicée
lutte, restée célèbre, àpropos de la découverte du calcul infinitésimal,dont ils s'attribuaient l'un et l'autreiaprio rité. On sait que Leibniz prit pour juge la Société royale de Londres, dont il était membre depuis plusieursannées, et que cette société, moins juste que lapostérité, qui ne croit au plagiatni de l'un ni de l'autre, mais à une simple coïncidence, se prononça en faveur de Newton. Leibniz, après avoir visité l'Angleterre et la Hollande, revint en Allemagne, et se fixa définiti...
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LEIBNIZ : Nouveaux Essais sur l'entendement humain - Principes de la philosophie ou Monadologie
70 Leibniz va vieillir dans une impopularité grandissante, en particulier en raison de son universalisme politique . Au milieu de ces vicissitudes, il écrit ses grands chefs-d'œuvre: les Nouveaux Essais (1704), la Théodicée (1710) , la Monadologie (1714) . Évoluant vers une religion naturelle détachée des rites, il meurt abandonné et solitaire en novembre 1716 . Seule l'académie de Paris salue son génie. Il fut enterré« plutôt comme un...
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Leibniz Gottfried Wilhelm, 1646-1716, né à Leipzig, philosophe et mathématicien allemand.
calcul infinitésimal. Avec la publication de la Nova methodus pro maximis et minimis (Nouvelle méthode pour les maxima et les minima ) en 1684, il rendit public un algorithme de calcul particulièrement efficace. Sa méthode et sa notation différentielle furent reprises par les Bernoulli et exposées méthodiquement par le marquis de L'Hospital avant d'être universellement et définitivement adoptées, sinon justifiées. La controverse entre Leibniz et Newton au sujet de l'« invention » de ce calcul...