4 résultats pour "protéiforme"
-
Michel Palourat, « Jacques le Fataliste n'est pas un roman. C'est une oeuvre protéiforme sans queue ni tête. »
l'illusion dans le livre nous voyons qu'il y a une démultiplication des caprices de la part d' un auteur démiurge tout puissant qui nous manipule en coupant sans cesse les différentes histoires. Ces effets de réalité ou fiction nous mettent le doute. Puis viennent les nombreuses métalepses, quand l'auteur choisit de transgresser les frontières entre deux niveaux narratifs comme par exemple à la page 54: « Lorsque j'entendis l'hôte s'écrier de sa femme » L'auteur fait comme s'il entendait vraimen...
-
luxembourgeoise, littérature.
4. 2 La littérature germanophone Malgré le peu d’effervescence littéraire dans l’entre-deux-guerres, une poésie de langue allemande influencée par les courants européens (symbolisme, expressionnisme, surréalisme) voit le jour. Un lyrisme souvent voué à la Patrie s’exprime dans les œuvres d’Albert Hoefler et de Paul Henkes, deux des représentants de la génération de poètes lyriques d’expression allemande. Parmi les autres écrivains germanophones figurent le romancier Pierre Erpelding, le nouvell...
-
Le roman n’est pas facile à définir. Il s’agit d’un genre protéiforme dont l’aptitude
essentielle est de s’enrichir de tous...
Le roman n’est pas facile à définir. Il s’agit d’un genre protéiforme dont l’aptitude essentielle est de s’enrichir de tous les autres (épopée, chronique, théâtre, poésie, fable, histoire) en les greffant sur un processus narratif spécifique. En employant la plupart des procédés de l’écriture littéraire, il parvient à mimer l’existence sous toutes ses formes et à entraîner le lecteur vers une représentation vraisemblable du réel (L’éducation sentimentale, Flaubert) ou bien vers un univers fantas...
-
Le roman n’est pas facile à définir. Il s’agit d’un genre protéiforme dont l’aptitude
essentielle est de s’enrichir de tous...
Le roman n’est pas facile à définir. Il s’agit d’un genre protéiforme dont l’aptitude essentielle est de s’enrichir de tous les autres (épopée, chronique, théâtre, poésie, fable, histoire) en les greffant sur un processus narratif spécifique. En employant la plupart des procédés de l’écriture littéraire, il parvient à mimer l’existence sous toutes ses formes et à entraîner le lecteur vers une représentation vraisemblable du réel (L’éducation sentimentale, Flaubert) ou bien vers un univers fantas...