22 résultats pour "scolie"
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Commentaire: Éthique, V, 18, démonstration, corollaire et scolie.
Textes commentés 49 Contempler Dieu, c'est nécessairement l'aimer. Parole mystique ? On a pu : dire qu'avec la dernière partie de !'Éthique, Spinoza ne tenait pas jusqu'au bout 1 sa pensée de l'immanence absolue, sa pensée dans l'immanence absolue. En 1 vérité, Spinoza, dans la partie V, tire les conséquences de l'idée de Dieu telle qu'elle a été saisie dans la première partie : Dieu comme puissance absolument infinie, cause libre de lui-même et de...
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Éthique, IV, 17, démonstration et scolie.
Textes commentés 39 Cette proposition et son scolie montrent les limites de la puissance de la 1 Raison sur les passions. Un désir né d'une connaissance vraie du bien et du mal 1 (c'est-à-dire de l'utile et du nuisible) peut en effet être impuissant face au désir d'un plaisir immédiat. Je peux connaître par exemple le danger qu'il y a à j fumer : à terme, fumer peut me faire perdre certaines aptitudes corporelles et ! spirituelles, donc...
- Scola, Ettore - réalisateur de cinéma.
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Commentaire d’un texte de Spinoza, Ethique, I, proposition XVII, scolie
Dans cette première partie (lignes 1 à 5 : « …ce qui est absurde »), Spinoza nous montre pourquoi il est absurde et contradictoire de comprendre par « Dieu est cause libre » que Dieu est cause efficiente. Dieu est cause libre parce que son existence enveloppe son essence (il appartient à la nature même de Dieu d’exister). Mais certains, comme Descartes, entendent par « Dieu est cause libre » que Dieu est volonté, transcendance, qu’il peut agir sur les choses et qu’il les a créées. D’...
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SPINOZA, Éthique, Ve partie, scolie de la proposition XLI
Paris-Créteil-Versailles pas éternel ou immortel, préfère être dément et vivre sans la Raison : absurdité telle qu'elle mérite à peine d'être relevée. • Corrigé SPINOZA, Éthique, V' partie, scolie de la proposition XLI, Garnier-Flammarion, p. 339-340. CONSEILS PRATIQUES • Un admirable texte de SPINOZA qui se trouve dans les dernières pages de l' Éthique mais qui constitue, pour vous, candidats, un nœud de difficultés et de malentendus. Que...
- Une journée particulière [Ettore Scola] - analyse du film.
- UNE JOURNÉE PARTICULIÈRE ETTORE SCOLA/ITALIE/1977 (analyse du film).
- UNE JOURNÉE PARTICULIÈRE d'ETTORE SCOLA
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- NOUS NOUS SOMMES TANT AIMÉS d'ETTORE SCOLA
- LA NUIT DE VARENNES de ETTORE SCOLA
- Ettore Scola
- ETTORE SCOLA
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Baruch Spinoza, L'Ethique, II, XVII, scolie.
Introduction A partir de la définition de l'image, Spinoza va examiner le pouvoir de l'imagination et la valeur de ses représentations. « Considérée en elle-même », comme faculté de représentation de la corporéité, l 'imagination peut-elle être légitimement accusée de « puissance trompeuse » (Pa scal) ou encore de « folle du logis » (Malebranche) ? Invalidant cette disqualification classique de l'im agination, Spinoza semble réhabiliter l'imagination comme...
- LIVRE DE SCOLIES (Le).
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Éthique, IV, proposition 20, démonstration et scolie. Aristote
Textes commentés 43 Comment expliquer les comportements auto-destructeurs, et principalement le suicide, dans la mesure où toute chose fait nécessairement effort pour persévérer dans son être ? Avec IV, 20, Spinoza commence une explication de ce que signifie être vertueux, et montre que ce n'est pas autre chose que vivre selon son propre conatus (cf. IV, 20 à 24). Mais avant même de développer cette thèse, il traite une objection qui ne peut manqu...
- LE BAL ETTORE SCOLA
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miracle du monde animal
dépos é ; quand il est éclos la nourriture est pr ête, la jeune scolie se met à d évorer sa proie vivante et son festin doit se prolonger une quinzaine de jours. Mais ici un danger se pr ésente : si la chenille paralys ée meurt avant ce terme, la scolie est perdue, son aliment se changeant en un poison mortel. La scolie sait éviter ce danger ; malgr é sa voracit é, elle n’attaque aucun des organes n écessaires à la vie, elle avance avec une ...
- Scola Ettore, né en 1931 à Trevico, cinéaste italien.
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Eude de texte: Baruch Spinoza, Ethique, II, Proposition 47, Scolie ?
d'un pays et paraissent claires à tous. Il semble donc difficile de soutenir qu'à un nombre donné, deux hommes ontdes réalités différentes dans la tête. Il semble plutôt ici que l'erreur provienne d'une mauvaise notation sur le papier.Ainsi, si l'homme écrit « 3 + 2 = 6 », ce qu'il a écrit « sur le papier » est en effet une erreur mais c'est parce qu'ilavait d'autres chiffres dans la tête comme « 3 + 3 = 6 » et qu'il n'a pas écrit ce qu'il avait dans sa pensée. Il n'yaurait donc pas d'erreur de...
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Spinoza (Éthique-IV-Scolie prop. XLV, tome 2, p. 93, Garnier)
Éthique-Textes choisis (N.R.F.). Gilles Deleuze Spinoza, philosophie pratique, (p. 37 sq) (Éditions de Minuit). Sylvain Zac La morale de Spinoza (P.U.F.). III. COMMENTAIRE DE TEXTE Introduction Quelle est l'idée générale du texte? Seule une grossière superstition, ensemble de préjugés (religieux généralementou, plus exactement naissant d'une dégénérescence de la religion) contraires à la raison, peut nous éloigner desplaisirs corporels et de la joie, plaisirs et joie qui manifestent notre puissa...
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L'imagination et l'image Baruch Spinoza, L'Ethique, II, XVII, scolie. « Or ces affections du corps humain, dont les idées nous représentent les corps extérieurs … »
Introduction A partir de la définition de l'image, Spinoza va examiner le pouvoir de l'imagination et la valeur de ses représentations. « Considérée en elle-même », comme faculté de représentation de la corporéité, l 'imagination peut-elle être légitimement accusée de « puissance trompeuse » (Pa scal) ou encore de « folle du logis » (Malebranche) ? Invalidant cette disqualification classique de l'im agination, Spinoza semble réhabiliter l'imagination comme...
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Spinoza Peut-on dire que la liberté est d'abord la reconnaissance de la nécessité ?
Spinoza: J'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ; contrainte, celle qui est déterminée par une autre àexister et à agir d'une certaine façon déterminée. Dieu, par exemple, existelibrement bien que nécessairement parce qu'il existe par la seule nécessité desa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même librement parce qu'ilexiste par la seule nécessité de sa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même et connaît toutes choses lib...