4 résultats pour "sindarine"
- II L'ÉCRITURE Les graphies et les caractères utilisés au Troisième Âge étaient tous, en définitive, d'origine sindarine, et déjà à l'époque d'une vénérable ancienneté.
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Les noms des lettres.
Les noms des lettres. Dans tous les modes, chaque lettre ou signe possédait un nom : des noms conçus pour évoquer ou décrire les pratiques ph onétiques propres à un mode donné. Toutefois, on jugeait souvent souhaitable, surtout lorsqu’il s’agissait d’expliciter l’utilisation de lettres appartenant à d’autres modes, d’avoir un nom pour chaque lettre en elle -même, un nom la désignant selon sa form e. À cette fin on utilisait couramment les noms quenya dits « noms entiers » même lors...
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langage de ceux que les
C’est seulement au Pays de Dun que les Hommes de cette race avaient conservé leur ancien parler et leu rs coutumes d’autrefois : une peuplade mystérieuse, furtive, hostile aux Dúnedain et haïssant les Rohirrim. Dans ce livre, leur langue n’est point mentionnée, sauf pour le nom, Forgoil , dont ils désignaient les Rohirrim (et qui signifie, dit -on, Têtes -de -P aille). Les Rohirrim, eux, les appelaient gens du Pays de Dun , ou Ceux du Pays de Dun parce qu’ils avaient le teint basané...
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LES LETTRES FËANORIENNES
vocaliques utilisées en sindarin. On observera l’affectation du 30 au y vocalique, et aussi un procédé de dénotation des diphtongues qui consiste à inscrire le tehta venant après le y au - dessus de la voyelle. Le signe venant après le w (nécessaire à la prononciation des phonèmes au, aw ) était représenté, dans ce mode d’écriture, par la boucle du u ou par une variante de cette boucle. Mais les diphtongues étaient souvent orthographiées intégralement, comme c’est le cas dans la trans...