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La Parure de Maupassant (Fiche de lecture)

Publié le 22/02/2012

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maupassant
La nouvelle présentée ici s'intitule «La Parure» et son auteur est Guy de Maupassant.  Ce récit parut pour la 1ère fois dans Le Gaulois du 17 février 1884, et fut ensuite repris dans Contes du jour et de la nuit. cette oeuvre relate est mets en scène la vie de Mathilde Loisel, qui bascule le jour où elle emprunte un collier pour se rendre à une soirée mondaine. This essay will discuss about what happens to the personnage of mathilde, how and why did it happens, and de la morale de fin mettant en relief les mauvais choix du personnage principale. Le caractère principal de l'histoire est Mathilde Loisel, une femme de la classe moyenne très concernée par son apparence et par le regard des autres. Un jour son mari, un petit commis de l'Instruction publique. lui rapporta une invitation de la part du ministre de l'Instruction publique pour une soirée. Refusant d'abord avec tristesse, n'ayant rien à se mettre, Mme Loisel reprit sa bonne humeur lorsque son époux consentit à lui donner 400F pour qu'elle puisse s'acheter une toilette convenable. Cependant, le jour de la fête approchait et Mathilde semblait triste. Sa toilette était prête, mais elle n'avait pas de bijoux. Son époux lui suggéra d'aller voir Mme Forestier, une amie riche et une camarade de couvent de Mathilde. Celle-ci lui prêta une rivière de diamants. À la fête, Mathilde obtint beaucoup de succès.Tout le monde la remarquait. Puis, de retour dans son appartement, Mathilde remarqua qu'elle n'avait plus la rivière de diamants. Mathilde achètera un collier identique pour dédommager son amie, identique et ce geste fera ainsi la ruine de sa vie; puisqu'elle travaillera durement dans le seul but de le rembourser. Guy de Maupassant met en scène et dramatise l'opposition entre les rêves et la réalité du personnage. La parure met en parallèle deux mondes sociaux et culturels différents, celui des employés et celui des bourgeois parisien. De nombreuses oppositions apparaissent «luxe richesse ; simplicité», «dysphorie et euphorie », la recherche à tout prix du standing social et les risques de vouloir vivre une vie qui n'est pas la sienne. Mme Loisel voulait, avant tout, que les gens l'admirent, l'envient. De l'envie de paraître de Mme Loisel est né son malheur. De son orgueil est né l'absurde. Un simple bijou fait la catastrophe de deux existences, un bijou qui finalement ne valait pas grand chose. Mais la soif du paraître et de l'admiration, qui flatte l'amour-propre, qui met en valeur, a dirigé leur vie. Si elle avait été sincère dès le début en avouant la perte du collier à son amie, elle aurait évité toute cette comédie triste qui s'est terminée par une ironie tragique. La chute de cette nouvelle, est aussi bien inattendue qu'ingrate. Son rêve orgueilleux de richesse, de grandeur, lui fera perdre la notion des vraies valeurs de la vie. «La Parure« est un conte moral. En réalité, le collier ne valait presque rien et si Mme Loisel avait avoué à son amie, elle aurait su, dès le début, qu'il n'était pas nécessaire qu'ils le remplacent. En étant si fière, la vie de Mme Loisel a été gâchée, et aussi celle de son mari. Bien que Mme Loisel soit contente que son amie n'avait pas aperçu la différence entre les deux colliers, elle souffrait sans cesse pendant dix ans à cause de son avarice. Ce qui mène a la recherche à tout prix du standing social et les risques de vouloir vivre une vie qui n'est pas la vôtre. Mme Loisel voulait, avant tout, que les gens l'admirent, l'envient, et c'est pour cela, en fait, qu'elle gaspille sa vie. Maupassant a écrit à propos de la pauvreté, de la jalousie, de l'ambition,  de la responsabilité et de l'ironie. Il fixe son attention sur l'expérience et les méandres d'un couple qui vit une vie très simple et pauvre et leur expérience quand ils reçoivent une invitation à une fonction sociale avec plusieurs de gens très importants et riches.

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