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Le mot "France" dans l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 29/07/2010

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descartes

 

LA DIOPTRIQUE, DISCOURS NEUVIEME, LA DESCRIPTION DES LUNETTES.

Et pour soutenir cet objet en l’endroit où il doit être posé pour être vu, je ne désapprouve pas ces petites fioles de verre ou de cristal fort transparent, dont l’usage est déjà en France assez commun.

  LES PASSIONS DE L’AME, LETTRE Ire A MONSIEUR DESCARTES.

Dinet, laquelle vous fites imprimer il y a sept ans, pendant qu’il était Provincial des Jésuites de France.

Et bien que notre France, qui est votre patrie, soit un État si puissant qu’il semble que vous pourriez obtenir d’elle seule tout ce qui est requis à cet effet, toutefois, à cause que les autres nations n’y ont pas moins d’intérêt qu’elle, je m’assure que plusieurs seraient assez généreuses pour ne lui pas céder cet office, et qu’il n’y en aurait aucune qui fût si barbare que de ne vouloir point y avoir part.

  Correspondance, année 1630, AU R. P. MERSENNE, 25 février 1630.

J’avais déjà fait provision d’un garçon qui sût faire la cuisine à la mode de France, et me résolvais de n’en changer de trois ans, et pendant ce temps-là qu’il aurait tout loisir d’exécuter le dessein des verres, et de s’y styler, en sorte qu’il en pourrait par après tirer de l’honneur et du profit.

que s’il pensait venir, encore que je n’y fusse pas, pensant y être mieux qu’à Paris (car ceux qui n’ont pas voyagé ont quelquefois de telles imaginations), vous le pourrez assurer qu’il y fait plus cher vivre qu’à Paris, et qu’il trouverait ici moins de personnes curieuses des choses qu’il peut faire qu’il n’y en a en la plus petite ville de France.

  Correspondance, année 1631, A Monsieur DE BALZAC, 15 mai 1631. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 5 mai 1631.).

Même vous devez pardonner à mon zèle, si je vous convie de choisir Amsterdam pour votre retraite et de le préférer, je ne vous dirai pas seulement à tous les couvents des Capucins et des Chartreux, où force honnêtes gens se retirent, mais aussi à toutes les plus belles demeures de France et d’Italie, même à ce célèbre Ermitage dans lequel vous étiez l’année passée.

  Correspondance, année 1634, Au R. P. MERSENNE, 15 mars 1634 (Les éditions contemporaines datent cette lettre de février 1634.).

Mais d’ailleurs la connaissance que j’ai de votre vertu me fait espérer que vous n’aurez que meilleure opinion de moi, de voir que j’ai voulu entièrement supprimer le Traité que j’en avais fait et perdre presque tout mon travail de quatre ans, pour rendre une entière obéissance à l’Église, en ce qu’elle a défendu l’opinion du mouvement de la terre, et toutefois, parce que je n’ai point encore vu que ni le Pape, ni le concile aient ratifié cette défense, faite seulement par la congrégation des cardinaux établie pour la censure des livres, je serais bien aise d’apprendre ce qu’on en tient maintenant en France, et si leur autorité a été suffisante pour en faire un article de foi.

  Correspondance, année 1637, A UN GENTILHOMME DE Monsieur LE PRINCE D’ORANGE (Huyghens de Zuytlichem), Juin 1637. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 12 juin 1637.).

J’ai enfin reçu le privilège de France que nous attendions, et qui a été cause que le libraire a tant tardé à imprimer la dernière feuille du livre que je vous envoie, et que je vous supplie de vouloir présenter à son altesse, je n’ose dire au nom de l’auteur, à cause que l’auteur n’y est pas nommé et que je ne présume point que mon nom mérite d’être connu d’elle, mais comme ayant été composé par une personne que vous connaissez, et qui est très dévouée et affectionnée à son service.

  Correspondance, année 1637, A Monsieur ***  (Huyghens de Zuitlichem), 15 juin 1637. Entre le 8 et le 12 juin 1637.

Et je reconnais en cela que la France est bien autrement et bien mieux gouvernée que n’était autrefois la ville d’Éphèse, en laquelle il était défendu d’exceller, vu qu’au contraire on y gratifie non seulement ceux qui excellent, au rang desquels je n’ose aspirer, mais même ceux qui font quelque effort pour bien faire, encore que ce soit par des voies extraordinaires, qui est une chose de laquelle je confesse qu’on aurait eu droit de m’accuser, si j’eusse vécu parmi les Éphésiens.

  Correspondance, année 1638, A MONSIEUR ***, 25 Août 1638.

et parce que toutes les muses de France auront part à la faveur que vous m’avez faite, d’intercéder pour elles envers celles de Leyde, touchant les livres arabes que Monsieur Hardy désire voir, je leur veux laisser le soin des paroles pour vous en rendre grâces, et me contenter de ressentir en effet que c’est moi qui vous en ai l’obligation.

  Correspondance, année 1639, Au R. P. MERSENNE, 20 février 1639.

Je n’ai aucune connaissance de ce géomètre dont vous m’écrivez, et je m’étonne de ce qu’il dit, que nous avons étudié ensemble Viète à Paris, car c’est un livre dont je ne me souviens pas avoir seulement jamais vu la couverture, pendant que j’ai été en France.

  Correspondance, année 1640, Au R. P. MERSENNE, 30 juillet 1640.

Et parce que j’ai eu dessein de faire un tour cet été en France, je me proposais d’en être moi-même le porteur, et ne les ai voulu faire imprimer que lorsque je me verrais sur le point de partir, de peur que le libraire en débitât cependant quelque exemplaire sans mon su.

  Correspondance, année 1640, A MONSIEUR ***, Sans date. (Les éditions contemporaines datent une partie de cette lettre du 14 novembre 1640).

Pour moi, avant que je vinsse en ce pays pour y chercher la solitude, je passai un hiver en France à la campagne où je fis mon apprentissage, et si j’étais engagé en quelque train de vie dans lequel mon indisposition ne me permit pas de persister longtemps, je ne voudrais point dissimuler cette indisposition, mais plutôt la faire paraître plus grande qu’elle ne serait, afin de me pouvoir dispenser honnêtement de toutes les actions qui lui pourraient nuire, et ainsi, prenant mes aises peu à peu, de parvenir par degrés à une entière liberté.

  Correspondance, année 1642, Au R. P. MERSENNE, 10 mars 1642. (Les éditions contemporaines datent cette lettre de mars 1642.).

et même je ne plaindrais pas d’aller faire un voyage en France tout exprès pour les pouvoir apprendre de sa bouche ;

  Correspondance, année 1644, A UN R. P. JÉSUITE, 15 MAI 1644 (Les éditions contemporaines retiennent comme date le 2 mai 1644).

Mais ce n’est pas avec tant de soin que j’eusse désiré, car je suis ici en un lieu où j’ai beaucoup de divertissements et peu de loisir, ayant depuis peu quitté ma demeure ordinaire, pour chercher la commodité de passer en France, où je me propose d’aller dans peu de temps.

  Correspondance, année 1644, Au P. MESLAND, 15 mai 1644. (Les éditions contemporaines retiennent comme date le 2 mai 1644).

Je ne voudrais pas vous donner la peine de m’envoyer ce qu’il vous a plu écrire sur le sujet de mes Méditations, parce que j’espère aller en France bientôt, où j’aurai, si je puis, l’honneur de vous voir.

  Correspondance, année 1644, AU R. P. CHARLET, JESUITE, 18 décembre 1644. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 9 février 1645.).

Car, ayant de très grandes obligations à ceux de votre compagnie, et particulièrement à vous, qui m’avez tenu lieu de père pendant tout le temps de ma jeunesse, je serais extrêmement marri d’être mal avec aucun des membres dont vous êtes le chef au regard de la France.

  Correspondance, année 1646, A Monsieur CHANUT, 6 mars 1646.

Ce qui me console, c’est que je sais qu’on a plus de préservatifs contre le froid en ces quartiers-là, qu’on n’en a pas en France, et je m’assure que vous ne les aurez pas négligés.

  Correspondance, année 1646, A UN R. P. JESUITE (P. NOËL), 14 décembre 1646.

Au reste, je vous dirai que, lorsque j’écrivis ci-devant au Révérend Père Charlet, je n’avais point encore appris qu’il fût provincial de France, je n’étais pas même assuré qu’il fût de retour de l’Amérique, et les choses dont je lui parlais ne venaient point de Paris, mais de Brabant, de Rome, de La Flèche et d’ailleurs.

Et parce que cela serait contraire à la probité, je n’ai garde d’imaginer rien de tel des Pères de votre compagnie, principalement de ceux de France, où j’ai le R.

  Correspondance, année 1647, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 12 mai 1647 (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 10 mai 1647.).

Encore que je pourrai trouver des occasions qui me convieront à demeurer en France, lorsque j’y serai, il n’y en aura toutefois aucune qui ait la force de m’empêcher que je ne revienne avant l’hiver, pourvu que la vie et la santé me demeurent, puisque la lettre que j’ai eu l’honneur de recevoir de votre altesse me fait espérer que vous retournerez à La Haye vers la fin de l’été.

Sur quoi on voudrait que j’employasse le crédit de Monsieur l’Ambassadeur de France, et l’autorité de Monsieur le prince d’Orange, non pas pour obtenir justice, mais pour intercéder et empêcher que mes ennemis ne passent outre.

  Correspondance, année 1647, A Monsieur CHANUT, 6 juin 1647.

Comme je passais par ici pour aller en France, j’ai appris de Monsieur Brasset qu’il m’avait envoyé de vos lettres à Egmond, et bien que mon voyage soit assez pressé, je me proposais de les attendre ;

  Correspondance, année 1647, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 6 juin 1647.

Passant par La Haye pour aller en France, puisque je ne puis y avoir l’honneur de recevoir vos commandements, et vous faire la révérence, il me semble que je suis obligé de tracer ces lignes, afin d’assurer votre altesse que mon zèle et ma dévotion ne changeront point, encore que je change de terre.

J’ai reçu depuis deux jours une lettre de Suède de Monsieur le résident de France qui est là, où il me propose une question de la part de la Reine, à laquelle il m’a fait connaître en lui montrant ma réponse à une autre lettre qu’il m’avait ci-devant envoyée.

  Correspondance, année 1648, A MADAME LA PRINCESSE PALATINE, 1er février (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 31 janvier 1648.).

La raison qui me fait craindre d’avoir ci-après moins de loisir, est que je suis obligé de retourner en France l’été prochain, et d’y passer l’hiver qui vient ;

  Correspondance, année 1648, MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 8 juin 1648.

et si ces orages ne se dissipent bientôt, je me propose de retourner vers Egmond dans six semaines ou deux mois, et de m’y arrêter jusques à ce que le ciel de France soit plus serein.

  Correspondance, année 1648, MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 1er octobre 1648.

Pour moi, grâces à Dieu, j’ai achevé celui qu’on m’avait obligé de faire en France, et je ne suis pas marri d’y être allé, mais je suis encore plus aise d’en être revenu.

  Correspondance, année 1649, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 20 février 1649. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 22 février 1649.).

Pour moi, qui ne suis attaché à la demeure d’aucun lieu, je ne ferais aucune difficulté de changer ces provinces, ou même la France, pour ce pays-là, si j’y pouvais trouver un repos aussi assuré, encore qu’aucune autre raison que la beauté du pays ne m’y fît aller ;

  Correspondance, année 1649, A Monsieur CHANUT, 31 mars 1649.

Je l’ai éprouvé en tous les trois voyages que j’ai faits en France, depuis que je suis retiré en ce pays, mais particulièrement au dernier, qui m avait été commandé comme de la part du Roi.

en sorte que j’ai sujet de croire, qu’ils me voulaient seulement avoir en France comme un éléphant ou une panthère, à cause de la rareté, et non point pour y être utile à quelque chose.

  Correspondance, année 1649, A Monsieur CHANUT, 4 avril 1649. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 23 avril 1649 et la considèrent comme étant adressée à Brasset.).

mais ma solitude ne produit pas à présent de meilleurs fruits, et l’aise que j’ai de savoir que la France a évité le naufrage en une très grande tempête, emporte tellement mon esprit, que je ne puis rien dire ici sérieusement, sinon que je suis, etc.

  Correspondance, année 1649, A Monsieur CHANUT, 25 mai 1649. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 31 mars 1649 et la considèrent comme étant adressée à Brasset.).

La philosophie que j’étudie ne m’enseigne point à rejeter l’usage des passions, et j’en ai d’aussi violentes pour souhaiter le calme et la dissipation des orages de France, qu’en saurait avoir aucun de ceux qui y sont le plus engagés ;

Je prie Dieu que la fortune de la France surmonte les efforts de tous ceux qui ont dessein de lui nuire.

  Correspondance, année 1649, A Monsieur FREINSHEMIUS, juin 1649.

supplie, non point de parler de ceci à sa Majesté, mais de prendre la peine de me mander, sur ce que vous jugerez de ses inclinations et de la conjoncture des temps, ce qu’il est à propos que je fasse, et je ne manquerai pas d’y obéir exactement, soit que vous ordonniez que j’attende le retour de Monsieur Chanut (car, quoi qu’il puisse dire, je ne crois pas qu’il ait laissé là Madame sa femme, afin qu’elle retourne en France toute seule), soit que vous aimiez mieux que je me mette en chemin, aussitôt après que j’aurai eu de vos nouvelles.

  Correspondance, année 1649, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 4 juin 1649. (Les éditions contemporaines datent cette lettre de juin 1649.).

Puisque votre Altesse désire savoir quelle est ma résolution touchant le voyage de Suède, je lui dirai que je persiste dans le dessein d’y aller, en cas que la Reine continue à témoigner qu’elle veut que j’y aille, et Monsieur Chanut, notre Résident en ce pays-là, étant passé ici, il y a huit jours, pour aller en France, m’a parlé si avantageusement de cette merveilleuse Reine, que le chemin ne me semble plus si long ni si fâcheux qu’il faisait auparavant ;

  Correspondance, année 1649, A Monsieur CHANUT, décembre 1649. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 26 février 1649.).

mais je supposais que Monsieur Clerselier vous l’écrirait, à cause qu’il me faisait souvent part de vos nouvelles, lorsque j’étais en France.

car j’ai peur que nos orages de France ne soient pas sitôt apaisés, et je deviens de jour à autre plus paresseux, en sorte qu’il serait difficile que je pusse derechef me résoudre à souffrir l’incommodité d’un voyage.

 

descartes

« il était défendu d'exceller, vu qu'au contraire on y gratifie non seulement ceux qui excellent, au rang desquels je n'ose aspirer, maismême ceux qui font quelque effort pour bien faire, encore que ce soit par des voies extraordinaires, qui est une chose de laquelleje confesse qu'on aurait eu droit de m'accuser, si j'eusse vécu parmi les Éphésiens. Correspondance, année 1638, A MONSIEUR ***, 25 Août 1638. et parce que toutes les muses de France auront part à la faveur que vous m'avez faite, d'intercéder pour elles envers celles deLeyde, touchant les livres arabes que Monsieur Hardy désire voir, je leur veux laisser le soin des paroles pour vous en rendregrâces, et me contenter de ressentir en effet que c'est moi qui vous en ai l'obligation. Correspondance, année 1639, Au R.

P.

MERSENNE, 20 février 1639. Je n'ai aucune connaissance de ce géomètre dont vous m'écrivez, et je m'étonne de ce qu'il dit, que nous avons étudié ensembleViète à Paris, car c'est un livre dont je ne me souviens pas avoir seulement jamais vu la couverture, pendant que j'ai été enFrance. Correspondance, année 1640, Au R.

P.

MERSENNE, 30 juillet 1640. Et parce que j'ai eu dessein de faire un tour cet été en France, je me proposais d'en être moi-même le porteur, et ne les ai voulufaire imprimer que lorsque je me verrais sur le point de partir, de peur que le libraire en débitât cependant quelque exemplairesans mon su. Correspondance, année 1640, A MONSIEUR ***, Sans date.

(Les éditions contemporaines datent une partie de cette lettre du 14 novembre 1640). Pour moi, avant que je vinsse en ce pays pour y chercher la solitude, je passai un hiver en France à la campagne où je fis monapprentissage, et si j'étais engagé en quelque train de vie dans lequel mon indisposition ne me permit pas de persister longtemps,je ne voudrais point dissimuler cette indisposition, mais plutôt la faire paraître plus grande qu'elle ne serait, afin de me pouvoirdispenser honnêtement de toutes les actions qui lui pourraient nuire, et ainsi, prenant mes aises peu à peu, de parvenir par degrésà une entière liberté. Correspondance, année 1642, Au R.

P.

MERSENNE, 10 mars 1642.

(Les éditions contemporaines datent cette lettre de mars 1642.). et même je ne plaindrais pas d'aller faire un voyage en France tout exprès pour les pouvoir apprendre de sa bouche ; Correspondance, année 1644, A UN R.

P.

JÉSUITE, 15 MAI 1644 (Les éditions contemporaines retiennent comme date le 2 mai 1644). Mais ce n'est pas avec tant de soin que j'eusse désiré, car je suis ici en un lieu où j'ai beaucoup de divertissements et peu deloisir, ayant depuis peu quitté ma demeure ordinaire, pour chercher la commodité de passer en France, où je me propose d'allerdans peu de temps. Correspondance, année 1644, Au P.

MESLAND, 15 mai 1644.

(Les éditions contemporaines retiennent comme date le 2 mai 1644). Je ne voudrais pas vous donner la peine de m'envoyer ce qu'il vous a plu écrire sur le sujet de mes Méditations, parce quej'espère aller en France bientôt, où j'aurai, si je puis, l'honneur de vous voir. Correspondance, année 1644, AU R.

P.

CHARLET, JESUITE, 18 décembre 1644.

(Les éditions contemporaines datent cette lettre du 9 février 1645.). Car, ayant de très grandes obligations à ceux de votre compagnie, et particulièrement à vous, qui m'avez tenu lieu de pèrependant tout le temps de ma jeunesse, je serais extrêmement marri d'être mal avec aucun des membres dont vous êtes le chef auregard de la France. Correspondance, année 1646, A Monsieur CHANUT, 6 mars 1646.. »

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