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Sujet : Difficile liberté ?

Publié le 22/07/2010

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Le concept de liberté présente un paradoxe fondamental : bien que nous sentions confusément que nous sommes à l'origine de nos actes, tout semble prouver le contraire et plus l'on essaye de prouver cette liberté, plus la nécessité de se rendre au déterminisme le plus absolu semble évidente. En effet, même si la contingence semble demeurer parfois, nous pouvons attribuer cette impression au fait que nous ne sommes pas omniscients. A quel niveau se situe donc la difficulté du concept de liberté et pour qui cette difficulté se présente-t-elle ? Est-ce au niveau de l'agent des actes ? En effet, la volonté est une faculté au pouvoir infini selon Descartes et lorsqu'elle n'est pas alliée à la connaissance de la vérité, la liberté peut même nous rendre esclaves : même s'il présente certaines conditions de réalisation et donc par là même une difficulté, un acte véritablement libre semble tout de même possible. Cependant, à un niveau plus ontologique, n'est-il pas possible de remettre en cause la réalité de la liberté du moins au niveau sensible ? De plus, les théories qui séparent totalement la liberté du domaine de l'action et de l'expérience, la restreignant à "un ordre intelligible des choses" sont-elles satisfaisantes ? La philosophie semble ici se trouver dans une impasse : cependant, la difficulté de concept de liberté ne provient-il pas du fait que justement, il remet en cause les méthodes mêmes de la recherche philosophique et plus particulièrement un outil tel que le langage ?    Le pouvoir de la volonté humaine étant très étendu, elle peut par là même se révéler dangereuse. Pour surmonter ces difficultés, la volonté doit s'allier avec l'entendement et la vérité afin d'atteindre la véritable liberté.  Dans la Méditation quatrième des Méditations Métaphysiques, Descartes exprime l'idée selon laquelle la volonté est une faculté au pouvoir infini et donc par la même l'endroit où l'homme ressemble le plus à Dieu. Cependant, c'est justement grâce à cette volonté qu'il peut se détourner de Dieu. Ainsi, St-Augustin dans le Libre arbitre explique que la volonté libre a été donnée pour bien agir mais que l'on peut aussi s'en servir pour aller à l'encontre de la volonté de Dieu. En effet, nous nous trouvons entre le néant et Dieu : nous pouvons choisir le néant c'est à dire nous tourner vers le mal qui est une déficience d'être. C'est notre propre volonté qui nous fait accomplir ce choix; St Augustin l'explique ainsi: ce qui se trouve au-dessus de nous pourrait nous soumettre aux réalités temporelles mais ne le fait pas justement car il s'agit de réalités éternelles, quant à ce qui se trouve en dessous de nous, cela ne peut nous soumettre. Notre propre volonté se tourne donc vers les réalités temporelles et s'en rend dépendante. En effet, en se détournant de Dieu, l'homme a brisé l'ordre parfait, il n'est jamais en paix et est obligé de se soumettre à des réalités extérieures à lui. Il n'est pas véritablement libre puisqu'il est attaché à des biens que l'on peut perdre contre son gré. La volonté semble donc être une faculté au pouvoir dangereux puisqu'elle peut même nous ôter notre liberté. Descartes se propose donc de l'associer à l'entendement. En effet, en recherchant la source de ses erreurs, il se rend compte que tandis que sa volonté est infinie, ce qui est la caractéristique de la volonté , l'entendement, lui, est fini. Nous utilisons donc bien souvent notre volonté pour juger d'objets que nous ne connaissons pas. Pour Descartes, la véritable liberté n'est pas celle qui consiste à se prononcer pour l'un ou l'autre de deux contraires, mais bien au contraire, loin de réduire notre liberté, la connaissance et la lumière divine la fortifient. il faut donc retenir notre volonté et attendre de connaître avant de juger. St-Augustin dans le Libre arbitre souligne lui aussi la nécessité d'allier la connaissance à la volonté mais il présente cette idée en d'autres termes. Il insiste ainsi sur la fait que seule la vérité peut nous rendre complètement libres. Il faut donc suivre la vérité que Dieu nous propose et , citant la Bible, "la Vérité vous libérera". Les conditions de la réalisation d'un acte véritablement libre sont donc ici exposées : ces auteurs sont certes d'accord sur les difficultés que présente la liberté, cependant, ils ne remettent jamais en cause la réalité même de la liberté. Un questionnement ontologique sur la réalité de la liberté nous la présente comme difficile voire impossible, en tout cas dans le monde sensible. Et même, la liberté intelligible ne serait-elle pas qu'une "fable" comme semble l'affirmer Nietzsche ? Dans le chapitre III de l'Essai sur les données immédiates de la conscience, Bergson expose les théories déterministes. Ainsi, pour le déterministe physique, le monde dans sa totalité est composé d'atomes qui subissent des mouvements. selon la loi de la conservation de la force, un mathématicien qui connaitrait les positions de tous les atomes de l'univers ainsi que ceux d'un être humain en particulier pourrait en déduire le moindre de ses actes futurs. De même pour le déterminisme psychologique, tous nos faits de conscience sont strictement déterminés par le fait précédent : ces théories laissent donc peu de place à la liberté. De son côté, Kant dans la Critique de la raison pratique, reconnait l'impossibilité de prouver la liberté dans le champ du monde sensible. En effet, toute action que je fais dans un temps donné est déterminée par les actions précédentes. Je ne suis donc jamais libre dans le temps où j'agis puisque j'agis selon des causes qui ne sont plus en mon pouvoir. Je m'inscris donc toujours dans une série d'actes et je ne suis jamais au commencement. Cependant, Kant n'en reste pas là et dans cette même Critique de la raison pratique, il admet certes qu'il n'y a pas de liberté dans le monde sensible mais que celle-ci se trouve dans un autre ordre, celui de l'ordre intelligible des choses. Il fait ainsi la distinction entre le Dasein, qui est la durée de vie d'un homme et l'Existenz qui est l'être en soi. En tant que Dasein, l'homme est soumis à la nécessité dans le monde sensible mais en tant qu'Existenz, l'homme est libre et il obéit à la loi morale. En effet, il n'obéit pas en fonction du sujet, de la matière de la loi qui le déterminerait empiriquement mais il obéit à la pure forme législatrice universelle. C'est d'ailleurs l'existence même de la loi morale (que Kant ne remet pas en cause) qui nous fait connaitre la liberté : la loi morale est la "ratio cognoscendi" de la liberté qui est elle-même la "ratio essendi" de la loi morale. Cette théorie de la liberté intelligible présente cependant de nombreuses difficultés que Kant est d'ailleurs le premier à reconnaitre au sein même de cette Critique. En effet, il est difficile de montrer que pour une même action un homme est à la fois libre d'un certain point de vue et soumis à la nécessité d'un autre point de vue. De plus, dans cette Critique de la raison pratique, Kant nous présente deux sortes de libertés : celle qui consiste à obéir à la loi morale et celle par laquelle nous nous donnons notre caractère et par laquelle nous pouvons au contraire nous opposer à la loi morale. Ferdinand Alquié dans la préface de la Critique reconnait la difficulté qu'il y a à concilier ces deux types de libertés. De manière beaucoup plus radicale, Nietzsche dans le paragraphe intitulé "La fable de la liberté intelligible" dans le tome I d'Humain, trop Humain récuse complètement cette idée de liberté intelligible. il étudie d'abord la thèse de Schopenhauer, qui comporte certaines similitudes avec celle de Kant, selon laquelle sous le mode de "l'operari", l'homme est soumis à la nécessité et sous le mode de l"esse" au contraire, c'est lui qui se donne son caractère. Pour prouver cela, Schopenhauer utilise l'argument du regret, argument utilisé par Kant sous la forme de la mauvaise conscience. Nietzsche récuse l'argumentation de Schopenhauer en affirmant qu'il est complètement absurde de justifier la liberté à partir du regret puisque ce regret vient justement de l'impression que l'on a d'être libres. De plus, la présence de ce regret est très variable : certains hommes peuvent l'éprouver après certains actes tandis que d'autres n'éprouveront rien et cela varie beaucoup selon les moeurs, les civilisations.... La philosophie semble donc se trouver dans une impasse: elle éprouve beaucoup de difficulté à prouver d'existence de la liberté et pourtant les hommes ont le sentiment confus qu'elle existe quand même. Pourquoi éprouve-t-on une telle difficulté à prouver la réalité de la liberté ? S'agirait-il de la "mauvaise foi" de Sartre qui nous invite à nier notre liberté ? L'analyse de ce concept dans l'histoire de la philosophie semble nous montrer de nombreuses difficultés et même une césure entre deux types de réflexions sur la liberté. Une remise en cause des méthodes traditionnelles de la philosophie n'est-elle pas nécessaire pour restituer au concept de liberté toute sa réalité ? Dans L'Etre et le Néant, Sartre définit la liberté comme "la possibilité pour un être humain de sécréter un néant qui l'isole". En effet à cause de la liberté, l'être humain se crée perpétuellement et cette création continuelle peut susciter de l'angoisse puisque cela signifie qu'il ne sait jamais qui il est car il n'y a pas de substrat qui ne changerait pas. Vis-à-vis de cette liberté, l'être humain peut donc mettre en place des stratégies d'évitement la "mauvaise foi" et préférer se dire victime de contraintes extérieures plutôt que responsable. Sartre fait ainsi référence à l'angoisse d'Abraham déjà développée par Kierkegaard : l'homme ne veut pas être responsable de ses actes devant les autres êtres humains. Il y aurait peut-être donc une raison psyquologique à notre fréquente négation de la liberté. Dans l'essai intitulé "Qu'est-ce que la liberté ?" dans la Crise de la culture, Hannah Arendt retrace l'histoire du concept de liberté dans la philosophie . Elle remarque que très tôt, il s'est opéré une césure entre deux types de réflexion sur la liberté : une réflexion plus politique où la liberté était liée à l'action et à la vie en société et une réflexion qui avait toutes les caractéristiques de la philosophie traditionnelle et qui assimilait la liberté au libre arbitre. Le libre arbitre était compris comme un conflit avec soi-même. A la limite, le fait que les actes de volonté ne se réalisent pas dans le monde sensible n'avait pas grande importance mais peut-on véritablement détacher la liberté de l'action ? En effet, les deux types de réflexions sur la liberté ne se sont jamais vraiment conciliées. Dans cet essai, Hannah Arendt lance l'hypothèse que si la problème de la liberté a été traité si tardivement dans l'histoire de la philosophie, c'est peut-être justement car la pensée elle-même ne peut expliquer la liberté. Dans le chapitre III de l'Essai sur les données immédiates de la conscience, Bergson remet en cause les argumentations des déterministes physiques et psychologiques qu'il vient juste d'énoncer. pour cela, il opère une remise en cause de leurs postulats et de leurs méthodes. En effet, il affirme que, d'une manière générale, nous avons tendance à nous observer par l'intermédiaire de modèles extérieurs. Ainsi, nous assimilons le temps extérieur des mécanismes scientifiques et notre durée intérieure qui s'apparente à un progrès non seulement quantitatif mais qualitatif. Pour Bergson, cette durée intérieure est complètement différente et il assimile notre conscience à un être vivant. De plus, avec la question de la liberté, nous éprouvons les limites du langage : en effet, en qualifiant les sentiments, nous les rendons complètement impersonnels. les qualifier s'avère cependant impossible puisque nos faits de conscience pénètrent les uns dans les autres et un sentiment par le fait même qu'il se répète n'est pas le même. Bergson récuse ainsi la possibilité de prédire avec une très grande précision ce qui peut arriver à quelqu'un d'autre puisque la seule façon de connaitre ses états de conscience serait de les vivre. Bergson affirme donc que nos difficultés à prouver la liberté viennent du fait que nous voulons représenter du temps par de l'espace, une succession par une simultanéité et surtout un progrès comme une chose. Essayer de définir la liberté donnera toujours gain de cause au déterminisme et c'est dans cette tentative de définition que se trouve l'erreur. L'analyse du concept de liberté se heurte à des difficultés à plusieurs niveaux de son étude : la difficulté est déjà présente pour l'être humain qui se sert de sa liberté. En effet, celle-ci recèle un pouvoir infini qui peut induire le sujet en erreur ou même le rendre dépendant. Mais cependant, de manière quelque peu paradoxale, la difficulté semble encore plus grande pour ceux qui analysent la réalité même de la liberté : ces analyses arrivent en effet bien souvent à la conclusion que nous ne sommes pas libres ou du moins que cette liberté ne s'exprime pas dans le monde sensible. Néanmoins, la difficulté du concept de liberté ne réside-t-elle pas dans sa singularité et dans le fait qu'il invite la philosophie à opérer un examen critique de ses méthodes habituelles et en particulier la validité d'utiliser un outil tel que le langage ?

« reconnaitre au sein même de cette Critique.

En effet, il est difficile de montrer que pour une même action un homme est à la foislibre d'un certain point de vue et soumis à la nécessité d'un autre point de vue.

De plus, dans cette Critique de la raison pratique,Kant nous présente deux sortes de libertés : celle qui consiste à obéir à la loi morale et celle par laquelle nous nous donnons notrecaractère et par laquelle nous pouvons au contraire nous opposer à la loi morale.

Ferdinand Alquié dans la préface de la Critiquereconnait la difficulté qu'il y a à concilier ces deux types de libertés.

De manière beaucoup plus radicale, Nietzsche dans leparagraphe intitulé "La fable de la liberté intelligible" dans le tome I d'Humain, trop Humain récuse complètement cette idée deliberté intelligible.

il étudie d'abord la thèse de Schopenhauer, qui comporte certaines similitudes avec celle de Kant, selon laquellesous le mode de "l'operari", l'homme est soumis à la nécessité et sous le mode de l"esse" au contraire, c'est lui qui se donne soncaractère.

Pour prouver cela, Schopenhauer utilise l'argument du regret, argument utilisé par Kant sous la forme de la mauvaiseconscience.

Nietzsche récuse l'argumentation de Schopenhauer en affirmant qu'il est complètement absurde de justifier la liberté àpartir du regret puisque ce regret vient justement de l'impression que l'on a d'être libres.

De plus, la présence de ce regret est trèsvariable : certains hommes peuvent l'éprouver après certains actes tandis que d'autres n'éprouveront rien et cela varie beaucoupselon les moeurs, les civilisations....

La philosophie semble donc se trouver dans une impasse: elle éprouve beaucoup de difficultéà prouver d'existence de la liberté et pourtant les hommes ont le sentiment confus qu'elle existe quand même.

Pourquoi éprouve-t-on une telle difficulté à prouver la réalité de la liberté ? S'agirait-il de la "mauvaise foi" de Sartre qui nous invite à nier notreliberté ? L'analyse de ce concept dans l'histoire de la philosophie semble nous montrer de nombreuses difficultés et même unecésure entre deux types de réflexions sur la liberté.

Une remise en cause des méthodes traditionnelles de la philosophie n'est-ellepas nécessaire pour restituer au concept de liberté toute sa réalité ? Dans L'Etre et le Néant, Sartre définit la liberté comme "lapossibilité pour un être humain de sécréter un néant qui l'isole".

En effet à cause de la liberté, l'être humain se créeperpétuellement et cette création continuelle peut susciter de l'angoisse puisque cela signifie qu'il ne sait jamais qui il est car il n'y apas de substrat qui ne changerait pas.

Vis-à-vis de cette liberté, l'être humain peut donc mettre en place des stratégiesd'évitement la "mauvaise foi" et préférer se dire victime de contraintes extérieures plutôt que responsable.

Sartre fait ainsiréférence à l'angoisse d'Abraham déjà développée par Kierkegaard : l'homme ne veut pas être responsable de ses actes devantles autres êtres humains.

Il y aurait peut-être donc une raison psyquologique à notre fréquente négation de la liberté.

Dans l'essaiintitulé "Qu'est-ce que la liberté ?" dans la Crise de la culture, Hannah Arendt retrace l'histoire du concept de liberté dans laphilosophie .

Elle remarque que très tôt, il s'est opéré une césure entre deux types de réflexion sur la liberté : une réflexion pluspolitique où la liberté était liée à l'action et à la vie en société et une réflexion qui avait toutes les caractéristiques de la philosophietraditionnelle et qui assimilait la liberté au libre arbitre.

Le libre arbitre était compris comme un conflit avec soi-même.

A la limite,le fait que les actes de volonté ne se réalisent pas dans le monde sensible n'avait pas grande importance mais peut-onvéritablement détacher la liberté de l'action ? En effet, les deux types de réflexions sur la liberté ne se sont jamais vraimentconciliées.

Dans cet essai, Hannah Arendt lance l'hypothèse que si la problème de la liberté a été traité si tardivement dansl'histoire de la philosophie, c'est peut-être justement car la pensée elle-même ne peut expliquer la liberté.

Dans le chapitre III del'Essai sur les données immédiates de la conscience, Bergson remet en cause les argumentations des déterministes physiques etpsychologiques qu'il vient juste d'énoncer.

pour cela, il opère une remise en cause de leurs postulats et de leurs méthodes.

Eneffet, il affirme que, d'une manière générale, nous avons tendance à nous observer par l'intermédiaire de modèles extérieurs.Ainsi, nous assimilons le temps extérieur des mécanismes scientifiques et notre durée intérieure qui s'apparente à un progrès nonseulement quantitatif mais qualitatif.

Pour Bergson, cette durée intérieure est complètement différente et il assimile notreconscience à un être vivant.

De plus, avec la question de la liberté, nous éprouvons les limites du langage : en effet, en qualifiantles sentiments, nous les rendons complètement impersonnels.

les qualifier s'avère cependant impossible puisque nos faits deconscience pénètrent les uns dans les autres et un sentiment par le fait même qu'il se répète n'est pas le même.

Bergson récuseainsi la possibilité de prédire avec une très grande précision ce qui peut arriver à quelqu'un d'autre puisque la seule façon deconnaitre ses états de conscience serait de les vivre.

Bergson affirme donc que nos difficultés à prouver la liberté viennent du faitque nous voulons représenter du temps par de l'espace, une succession par une simultanéité et surtout un progrès comme unechose.

Essayer de définir la liberté donnera toujours gain de cause au déterminisme et c'est dans cette tentative de définition quese trouve l'erreur.

L'analyse du concept de liberté se heurte à des difficultés à plusieurs niveaux de son étude : la difficulté est déjàprésente pour l'être humain qui se sert de sa liberté.

En effet, celle-ci recèle un pouvoir infini qui peut induire le sujet en erreur oumême le rendre dépendant.

Mais cependant, de manière quelque peu paradoxale, la difficulté semble encore plus grande pourceux qui analysent la réalité même de la liberté : ces analyses arrivent en effet bien souvent à la conclusion que nous ne sommespas libres ou du moins que cette liberté ne s'exprime pas dans le monde sensible.

Néanmoins, la difficulté du concept de liberténe réside-t-elle pas dans sa singularité et dans le fait qu'il invite la philosophie à opérer un examen critique de ses méthodeshabituelles et en particulier la validité d'utiliser un outil tel que le langage ?. »

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