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HISTOIRE DE L'EXPLORATION SOUS-MARINE

Publié le 02/05/2019

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À ces éléments fondamentaux s'ajoutent toutefois d'autres équipements importants pour la sécurité et le bien-être du plongeur : le masque, évidemment, est fondamental pour une vision correcte sous l'eau ; le gilet stabilisateur peut être gonflé, relié aux bouteilles, et le plongeur peut ainsi modifier son état de flottement (rester à une profondeur désirée, varier la vitesse de montée en pression, etc.) ; les palmes, en outre, en augmentant la surface de la plante des pieds, permettent de donner une plus forte poussée ; les combinaisons sont indispensables pour protéger le plongeur contre la faible température de l’eau. Enfin, la montée en pression peut être gérée à l'aide d'un ordinateur sous-marin, qui enregistre les paramètres importants de la plongée (pression, profondeur, temps de plongée) et calcule, par conséquent, la procédure de décompression la plus sûre (durée et profondeur des paliers à respecter).

Les systèmes à atmosphère propre évitent le problème de la haute pression sous-marine ambiante. Il s'agit de combinaisons rigides à l'intérieur desquelles la pression est égale à la pression atmosphérique : une sorte de mini-submersible qui entoure le plongeur. Les plongeurs sont équipés de propulseurs pour se mouvoir, de pinces préhensiles, de systèmes d'aération pour éliminer le gaz carbonique. Les sous-marins et les submersibles contiennent de grands espaces à pression atmosphérique, en mesure d'abriter un grand nombre de personnes, avec une autonomie de plusieurs semaines. Pour produire l'oxygène nécessaire à la respiration, on a généralement recours à l'électrolyse. Les molécules d'eau sont divisées en molécules d'oxygène (qu'il faut emmagasiner dans des bouteilles à pression) et d'hydrogène (qui est évacué à l’extérieur). La propulsion peut être obtenue au moyen de moteurs diesel ou électriques, mais les modèles d'usage militaire se servent souvent de la propulsion nucléaire qui permet d'obtenir une vitesse et une autonomie importantes.

Les submersibles pouvant atteindre de très grandes profondeurs s'appellent bathyscaphes. Ils doivent résister à des pressions de centaines d'atmosphères, et en même temps, être très légers et faciles à récupérer. C'est pourquoi leur élaboration exige des matériaux très coûteux et des techniques sophistiquées. Les bathyscaphes ont une autonomie de quelques heures. Ils doivent donc être faciles à manœuvrer.

 

Le record de profondeur en submersible a été obtenu dans la fosse océanique des Mariannes en 1960. Jacques Piccard et Don Walsh atteignirent, à bord du bathyscaphe Trieste, 11 521 mètres de profondeur.

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« 2 contiennent de l'air atmosphérique normal pour les plongées à basse profondeur, ou bien des mélanges de gaz (Nitrox, Heliox, Trimix, etc.), et sont conçues pour réduire au minimum les problèmes liés à l'effet de narcose ou à la décompression. À ces éléments fondamentaux s'ajoutent toutefois d'autres équipements importants pour la sécurité et le bien-être du plongeur : le masque, évidemment, est fondamental pour une vision correcte sous l'eau ; le gilet stabilisateur peut être gonflé, relié aux bouteilles, et le plongeur peut ainsi modifier son état de flottement (rester à une profondeur désirée, varier la vitesse de montée en pression, etc.) ; les palmes, en outre, en augmentant la surface de la plante des pieds, permettent de donner une plus forte poussée ; les combinaisons sont indispensables pour protéger le plongeur contre la faible température de l’eau.

Enfin, la montée en pression peut être gérée à l'aide d'un ordinateur sous-marin, qui enregistre les paramètres importants de la plongée (pression, profondeur, temps de plongée) et calcule, par conséquent, la procédure de décompression la plus sûre (durée et profondeur des paliers à respecter). Les systèmes à atmosphère propre évitent le problème de la haute pression sous- marine ambiante.

Il s'agit de combinaisons rigides à l'intérieur desquelles la pression est égale à la pression atmosphérique : une sorte de mini-submersible qui entoure le plongeur.

Les plongeurs sont équipés de propulseurs pour se mouvoir, de pinces préhensiles, de systèmes d'aération pour éliminer le gaz carbonique.

Les sous-marins et les submersibles contiennent de grands espaces à pression atmosphérique, en mesure d'abriter un grand nombre de personnes, avec une autonomie de plusieurs semaines.

Pour produire l'oxygène nécessaire à la respiration, on a généralement recours à l'électrolyse.

Les molécules d'eau sont divisées en molécules d'oxygène (qu'il faut emmagasiner dans des bouteilles à pression) et d'hydrogène (qui est évacué à l’extérieur).

La propulsion peut être obtenue au moyen de moteurs diesel ou électriques, mais les modèles d'usage militaire se servent souvent de la propulsion nucléaire qui permet d'obtenir une vitesse et une autonomie importantes. Les submersibles pouvant atteindre de très grandes profondeurs s'appellent bathyscaphes.

Ils doivent résister à des pressions de centaines d'atmosphères, et en même temps, être très légers et faciles à récupérer.

C'est pourquoi leur élaboration exige des matériaux très coûteux et des techniques sophistiquées.

Les bathyscaphes ont une autonomie de quelques heures.

Ils doivent donc être faciles à man œ uvrer. Le record de profondeur en submersible a été obtenu dans la fosse océanique des Mariannes en 1960.

Jacques Piccard et Don Walsh atteignirent, à bord du bathyscaphe Trieste, 11 521 mètres de profondeur.. »

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