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Publié le 02/01/2011

Extrait du document

Document 1 :

1)      Une politique conjoncturelle est une politique menée à court terme (≈ 1 an). Elle a pour objectif une croissance équilibrée.

En agissant sur la demande, les politiques budgétaire et monétaire permettent de relancer ou de freiner la croissance économique. Elle vise également le rétablissement des grands équilibres.

 

2)      Le « carré magique « de l’OCDE est une représentation graphique, imaginée par l’économiste Nicholas Kaldor, résumant la situation économique d’un pays à partir de quatre indicateurs : le taux de croissance du PIB, le taux de chômage, le taux d’inflation (ou le taux de croissance des prix à la consommation), le solde de la balance des  transactions courante (en pourcentage du PIB).

 

3)      Sur le schéma du « carré magique « du document 1, nous pouvons dire que la situation économique est en équilibre. En effet, nous pouvons constater une croissance estimée à environ 8 %, une balance commerciale à 0 %, les prix à 7 %, et un chômage à 13 %.

 

Document 2 :

1)      " Le taux de prélèvements obligatoires correspond à la somme des montants des prélèvements obligatoires par rapport aux revenus des ménages.

                    " Le déficit budgétaire est la situation dans laquelle les recettes du budget de l’État sont inférieures à ses dépenses.

2)      Pour relancer l’activité économique, l’État envisagerait d’augmenter les dépenses publiques, ou encore de diminuer les impôts.

 

3)      En période de récession, le déficit budgétaire s’accroît par l’augmentation du chômage, baisse de la consommation des ménages, une baisse de la productivité des entreprises due à cette baisse et à la diminution des exportations au niveau mondial (si la crise est mondiale).

Selon l’analyse keynésienne, le déficit budgétaire serait un moyen de soutenir ou d’accroître la demande et donc de stimuler la croissance économique. Elle préconiserait donc une politique budgétaire.

Selon l’analyse libérale, il faudrait maîtriser les finances publiques. Elle préconiserait donc une politique monétaire.

 

Document 3 :

1)      " Un taux directeur est un taux d'intérêt fixé par une Banque centrale (d'un pays ou d'une union monétaire), taux auquel cette banque centrale accorde des crédits à court terme aux banques commerciales.

2)      La politique monétaire peut influencer la situation économique d’un pays car c’est une politique conjoncturelle conduite par l’État et la Banque Centrale, et c’est donc en agissant sur la quantité de monnaie circulant dans un pays qu’elle peut influencer celui-ci.

3)      Sur le marché monétaire, la Banque Centrale peut faire varier le taux d’intérêt en empruntant ou en prêtant des liquidités aux banques. La confrontation de l’offre et de la demande de liquidités établit alors un taux d’intérêt.

Document 5 :

1)      Une politique de relance entraîne une hausse de la demande car elle consiste à développer les revenus des ménages par une politique des salaires souple et une extension des revenus de transfert. Par ailleurs, la demande publique qui tend à s’accroître, le déficit budgétaire est considéré comme favorable puisqu’il stimule la demande.

2)      La politique de relance peut favoriser les poussées inflationnistes et aboutir à une dégradation de l’équilibre extérieur (en raison du progrès des importations).

La politique de rigueur peut avoir des effets dépressifs sur l’emploi, sur le pouvoir d’achat des ménages et sur la production.

Document 6 :

1)      Une situation de stagflation correspond à l’association, dans une période donnée, de l’inflation, de la stagnation de l’activité et du chômage.

2)      En économie ouverte, la relance de la demande peut provoquer un déficit commercial car elle provoque une augmentation des importations, ce qui entraîne une dégradation de la balance commerciale.

Document 7 :

1)      L’objectif prioritaire d’une politique de désinflation compétitive est de lutter contre la contrainte extérieure et de gagner des parts du marché.

2)      Pour relancer l’activité économique, il suffit de réduire le taux d’inflation de manière à faire moins d’inflation que les autres pays, ce qui permet donc de devenir compétitif.

Document 8 :

1)      " Le solde de la balance courante est obtenu à partir de 3 soldes intermédiaires qui sont additionnés, ceux de la balance des biens et services, ceux de la balance des revenus et ceux de la balance des transferts courants.

3)   Plus le taux d’intérêt est élevé, plus les intérêts versés sur les emprunts publics sont forts et plus les poids du déficit public et de la dette publique augmentent, ce qui réduit les marges de manœuvre de la politique budgétaire. Ce qui explique l’évolution du poids de la dette publique dans le PIB depuis 1981.

4)   Une dette publique élevée réduit les marges de manœuvre de la politique budgétaire

 

 

 

Document 9 :

1)      Les politiques conjoncturelles keynésiennes sont efficaces à condition que récession et chômage soient provoqués par une baisse de la demande, que les économies soient peu ouvertes sur l’extérieur, mais aussi que l’investissement soit sensible à la baisse des taux d’intérêt.

2)      Les pouvoirs publics ont modifié les objectifs des politiques conjoncturelles à partir des années 1980 afin de

 

 

3)      Les politiques conjoncturelles, après les années 1980, n’ont pas permis de réduire le chômage elles sont restées concentrées sur l’inflation.

« La politique de rigueur peut avoir des effets dépressifs sur l'emploi, sur le pouvoir d'achat des ménages et sur la production. Document 6 : 1) Une situation de stagflation correspond à l'association, dans une période donnée, de l'inflation, de la stagnation de l'activité et duchômage. 2) En économie ouverte, la relance de la demande peut provoquer un déficit commercial car elle provoque une augmentation desimportations, ce qui entraîne une dégradation de la balance commerciale. Document 7 : 1) L'objectif prioritaire d'une politique de désinflation compétitive est de lutter contre la contrainte extérieure et de gagner des partsdu marché. 2) Pour relancer l'activité économique, il suffit de réduire le taux d'inflation de manière à faire moins d'inflation que les autres pays,ce qui permet donc de devenir compétitif. Document 8 : 1) " Le solde de la balance courante est obtenu à partir de 3 soldes intermédiaires qui sont additionnés, ceux de la balance des biens et services, ceux de la balance des revenus et ceux de la balance des transferts courants. 3) Plus le taux d'intérêt est élevé, plus les intérêts versés sur les emprunts publics sont forts et plus les poids du déficit publicet de la dette publique augmentent, ce qui réduit les marges de manœuvre de la politique budgétaire.

Ce qui expliquel'évolution du poids de la dette publique dans le PIB depuis 1981. 4) Une dette publique élevée réduit les marges de manœuvre de la politique budgétaire Document 9 : 1) Les politiques conjoncturelles keynésiennes sont efficaces à condition que récession et chômage soient provoqués par une baissede la demande, que les économies soient peu ouvertes sur l'extérieur, mais aussi que l'investissement soit sensible à la baisse destaux d'intérêt. 2) Les pouvoirs publics ont modifié les objectifs des politiques conjoncturelles à partir des années 1980 afin de 3) Les politiques conjoncturelles, après les années 1980, n'ont pas permis de réduire le chômage elles sont restées concentrées surl'inflation.. »

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