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Preuve possible de l'existence du charme caractéristique particulière de certaines particules élémentaires

Publié le 16/12/2011

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Un colloque international consacré à « la physique auprès des anneaux de collision « a réuni du 22 au 28 février à Flaine, dans la Haute-Savoie, une centaine de spécialistes dont les deux tiers étaient des savants étrangers. A ce colloque furent beaucoup débattues les expériences concernant les particules élémentaires constitutives de la matière et notamment la possibilité d'existence d'une particule dite « charmée «. En effet, après les expériences américaines de Brookbaven (New York) et de Stanford (Californie) effectuées au printemps 1975, les physiciens du C.E.R.N. de. Genève (Organisation .européenne de recherche nucléaire) ont confirmé à la fin de l'année 1975 qu'à la suite de l'examen de plus de cent mille photographies de collisions de particules réalisées dans la chambre à bulles « Gargamelle « du C.E.R.N., les particules élémentaires étaient composées d'éléments encore plus petits qu'elles : les « quarlis «.

« Pour leur part, les Américains sont réso­ lument optimistes.

Ils pensent qu'en l'an 2000, sur le territoiœ des Etats-Unis, le soleil pour­ ra fournir 5 à 7 % de l'électricité, du chauffage et du conditionnement pour les habitants de ce pays et atteindr.e 25 % vers l'an 2025.

Systèmes de production de l'électricité à partir des rayons solaires - Un premier système consiste à chauffer de l'eau par le soleil jusqu'à ce qu'elle soit transformée en vapeur et puisse actionner un turbo-alternateur.

Une centrale est alors, théo­ riquement, constituée par des milliers de mi­ roirs mobiles légèrement cintrés qui peuvent être en permanence orientés pour envoyer les rayons solaires sur une chaudière .

formée de tuyauteries oit l'eau circule.

Placé.e au som­ met d'une tour en ciment pouvant atteindre 100 rn ou même 150 rn de hauteur, cette chau­ dière, si elle reçoit les rayons· de quelques 1250 miroirs disposant chacun d'une surface de 50 m2, peut porter l'eau jusqu'à 500 degrés pour sa transformation .en vapeur.

La France, l'Allemagne et les Etats-Unis établissent des projets de centrales solaires de 10 mégawatts basées sur le principe ci-dessus.

L'étude de la centrale français.e pourrait être terminée à la fin de l'année.

- Un second système consiste à transformer la lumière solaire en courant électrique par de petites cellules solaires au silicium ou au sulfure de cadmium.

C'est ainsi que depuis de nombreuses années déjà, ont été réalisées des cellules solaires pour la fourniture du courant aux engins spatiaux.

Difficultés de stockage On ne doit pas oublier qu'une centrale so­ laire ne reçoit l'ensoleillement que deux à trois mille heures par an en moyenne, alors que toute centrale utilisant une autr.e forme d'énergie peut fonctionner plus du double de temps dans l'année.

Il faudrait donc pouvoir stocker l'énergie solaire, mais les difficultés de stockage sont grandes puisque, d'une part, l'importance de l'énergie solaire varie avec les heures (jour et nuit) et avec les saisons, et que, d'autre part, de grand.es surfaces de cap­ tation sont nécessaires.

Ceci est un problème auquel les organismes compétents de recher­ ches ont prévu de s'attacher dans les anné.es qui viennent.

Réalisations obtenues jusqu'ici à partir de l'énergie solaire Nous ne pouvons citer ici que les princi­ pales réalisations obtenues : - cellules solaires pour convertir sur les engins spatiaux l'énergie du soleil 'en éner­ gie électrique; - rhauffe-eau solaires par capteur installé sur le toit de la maison, qui sont déjà réa­ lisés en grand nombre au Japon, en Israël et en Australie, la France commençant à aborder cette fabrication; - moteurs solaires installés par une société française, la SOFRETES (société française d'é­ tudes thermiques et d'énergie solaire) pour le pompage de l'eau dans les régions tropica­ les de l'Afrique et du Mexique; -- centrales solaires expérimentales, parmi lesquelles en France les fours de Mont-Louis et d'Odeillo, près de Font-Romeu dans les Pyrénées.

Le Four Solaire d'Odeillo (Document Saint-Gobain Industries.

Photo J.-P.

Banal).. »

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