Devoir de Philosophie

XVII Quelqu'un qui rencontre une bonne chance Je n'ai pas pensé à

Publié le 15/12/2013

Extrait du document

XVII Quelqu'un qui rencontre une bonne chance Je n'ai pas pensé à parler de Peggotty depuis ma fuite, mais naturellement je lui avais écrit dès que j'avais été établi à Douvres, et une seconde lettre, plus longue que la première, lui avait fait connaître tous les détails de mes aventures, quand ma tante m'eut pris formellement sous sa protection. Une fois installé chez le docteur Strong, je lui écrivis de nouveau pour lui apprendre ma bonne situation et mes joyeuses espérances. Je n'aurais pu éprouver à dépenser l'argent que M. Dick m'avait donné, la moitié de la satisfaction que je ressentis à envoyer, dans cette dernière lettre, une pièce d'or de huit schellings à Peggotty en remboursement de la somme que je lui avais empruntée, et ce ne fut que dans cette épître que je fis mention de mon voleur avec son âne : jusqu'alors j'avais évité de lui en parler. Peggotty répondit à toutes ces communications avec la promptitude, si ce n'est avec la concision d'un commis aux écritures dans une maison de commerce ; elle épuisa tous ses talents de rédaction pour exprimer ce qu'elle éprouvait à propos de mon voyage. Quatre pages de phrases incohérentes parsemées d'interjections, le tout sans autre point d'arrêt que des taches sur le papier, ne suffisaient pas pour soulager son indignation. Mais les taches m'en disaient plus que la plus belle composition, car elles me prouvaient que Peggotty n'avait fait que pleurer tout du long en m'écrivant ; et que pouvais-je désirer de plus ? Je vis clairement qu'elle n'avait pas encore conçu beaucoup de goût pour ma tante, et je n'en fus pas étonné. Il y avait trop longtemps que toutes ses préventions lui étaient plutôt défavorables. « On ne pouvait jamais se flatter de bien connaître personne, disait-elle, mais de trouver miss Betsy si différente de ce qu'elle avait toujours semblé jusqu'alors, c'était une leçon contre les jugements précipités. » Telle était son expression. Elle avait évidemment encore un peu peur de miss Betsy, et elle ne lui faisait présenter ses respects qu'avec une certaine timidité ; elle avait l'air aussi d'être un peu inquiète sur mon compte, et supposait sans doute que je reprendrais bientôt la clef des champs, à en juger par ses assurances répétées que je n'avais qu'à lui demander l'argent nécessaire pour venir à Yarmouth, et que je le recevrais aussitôt. Elle m'apprit un événement qui me fit une grande impression : on avait vendu les meubles de notre ancienne habitation. M. et Miss Murdstone avaient quitté le pays : la maison était fermée, on l'avait mise à vendre ou à louer. Dieu sait que ma place dans la demeure de ma mère avait été petite depuis qu'ils y étaient entrés, cependant je pensais avec peine que cette demeure, qui m'avait été chère, était abandonnée, que les mauvaises herbes poussaient dans le jardin, et que les feuilles sèches encombraient les allées. Je m'imaginais entendre le vent d'hiver siffler tout autour, et la pluie glacée battre contre les fenêtres, tandis que la lune peuplait de fantômes les chambres inhabitées et veillait seule pendant la nuit sur cette solitude. Je me pris à songer au tombeau sous l'arbre du cimetière, et il me semblait que la maison était morte aussi, et que tout ce qui se rattachait à mon père et à ma mère s'était également évanoui. Les lettres de Peggotty ne contenaient point d'autres nouvelles. M. Barkis était un excellent mari, disait-elle, quoiqu'il fût toujours un peu serré ; mais chacun a ses défauts, et elle n'en manquait pas de son côté (je n'avais jamais pu les découvrir), il me faisait présenter ses respects, et me rappelait que ma petite chambre m'attendait toujours. M. Peggotty se portait bien, Ham aussi, mistress Gummidge allait cahin caha, et la petite Émilie n'avait pas voulu m'envoyer ses amitiés, mais elle avait dit que Peggotty pouvait s'en charger si elle voulait. Je communiquai toutes ces nouvelles à ma tante en neveu soumis, gardant seulement pour moi ce qui concernait la petite Émilie, par un sentiment instinctif que la tante Betsy n'aurait pas grand goût pour elle. Au commencement de mon séjour à Canterbury, elle vint plusieurs fois me voir, et toujours à des heures où je ne pouvais l'attendre, dans le but, je suppose, de me trouver en défaut. Mais comme elle me trouvait au contraire toujours occupé, et recevait de tous côtés l'assurance que j'avais bonne réputation et que je faisais des progrès dans mes études, elle renonça bientôt à ces visites imprévues. Je la voyais tous les mois quand j'allais à Douvres, le samedi, pour y passer le dimanche, et tous les quinze jours M. Dick m'arrivait le mercredi à midi, par la diligence, pour ne repartir que le lendemain matin. Dans ces occasions, M. Dick ne voyageait jamais sans un nécessaire contenant une provision de papeterie et le fameux mémoire, car il s'était mis dans l'idée que le temps pressait et qu'il fallait décidément terminer ce document. M. Dick était grand amateur de pain d'épice. Pour lui rendre ses visites plus agréables, ma tante m'avait chargé d'ouvrir pour lui un crédit chez un pâtissier, avec l'ordre de ne jamais lui en fournir par jour pour plus de dix pences. Cette règle stricte et le payement qu'elle se réservait de faire elle-même des comptes de l'hôtel où il couchait, me portèrent à croire qu'elle lui permettait de faire sonner son argent dans son gousset, mais non pas de le dépenser. Je découvris plus tard que c'était le cas, en effet, ou qu'au moins il était convenu, entre ma tante et lui, qu'il lui rendrait compte de toutes ses dépenses. Comme il n'avait pas l'idée de la tromper, et qu'il avait la plus grande envie de lui plaire, il y mettait une grande modération. Sur ce point comme sur tout autre, M. Dick était convaincu que ma tante était la plus sage et la plus admirable femme du monde, comme il me le confia plusieurs fois sous le sceau du secret et à l'oreille. « Trotwood, me dit M. Dick d'un air mystérieux après m'avoir fait cette confidence un mercredi, qui est cet homme qui se cache près de notre maison pour lui faire peur ? - Pour faire peur à ma tante, monsieur ? » M. Dick fit un signe d'assentiment. « Je croyais que rien au monde ne pouvait lui faire peur, dit-il, car c'est... Ici il baissa la voix ; c'est... ne le répétez pas... la plus sage et la plus admirable de toutes les femmes. » Après quoi il fit un pas en arrière pour voir l'effet que produisait sur moi cette définition de ma tante. « La première fois qu'il est venu, dit M. Dick, c'était... voyons donc : seize cent quarante-neuf est la date de l'exécution du roi Charles. Je crois que vous avez bien dit seize cent quarante-neuf ? - Oui, monsieur. - Je n'y comprends rien, dit M. Dick très troublé et secouant la tête ; je ne crois que je puisse être aussi vieux que cela. - Est-ce que c'est cette année-là que cet homme a paru, monsieur ? demandai-je. - En vérité, dit M. Dick, je ne vois pas trop comment cela peut se faire, Trotwood. Vous avez trouvé cette date-là dans l'histoire ? - Oui, monsieur. - Et l'histoire ne ment-elle jamais ? Qu'en dites-vous ? hasarda M. Dick avec un éclair d'espoir. - Oh ciel ! non, monsieur, certainement non, répondis-je du ton le plus positif. J'étais jeune et innocent alors, et je le croyais. - Je n'y comprends rien, reprit M. Dick en hochant la tête. Il y a quelque chose de travers je ne sais où. En tout cas, c'était peu de temps après qu'on avait eu la maladresse de verser dans ma tête un peu du trouble qui était dans celle du roi Charles que cet homme vint pour la première fois. Je me promenais avec miss Trotwood après avoir pris le thé, il faisait nuit lorsque je l'ai vu là tout près de la maison. - Est-ce qu'il se promenait ? demandai-je. - S'il se promenait ? répéta M. Dick. Voyons donc que je me souvienne. Non, non, il ne se promenait pas. » Je demandai, pour arriver plus vite au but, ce qu'il faisait. « Mais il n'était pas là du tout, dit M. Dick, jusqu'au moment où il s'est approché d'elle par derrière et lui a dit un mot à l'oreille. Alors elle s'est retournée, et puis elle s'est trouvée mal ; je me suis arrêté pour le regarder, et il est parti ; mais ce qu'il y a de plus extraordinaire, c'est qu'il faut qu'il soit resté caché depuis... dans la terre, je ne sais où. - Il est donc resté caché depuis lors ? demandai-je. - Certainement, répliqua M. Dick en secouant gravement la tête. Il n'a jamais reparu jusqu'à hier soir. Nous faisions un tour de promenade quand il s'est de nouveau approché d'elle par derrière, et je l'ai bien reconnu. - Et ma tante, est-ce qu'elle a encore eu peur ? - Elle s'est mise à trembler, dit M. Dick en imitant le mouvement et en faisant claquer ses dents ; elle s'est retenue contre la palissade ; elle a pleuré. Mais, Trotwood, venez ici. » Et il me fit approcher tout près de lui pour me parler très bas : « Pourquoi lui a-t-elle donné de l'argent au clair de la lune, mon garçon ? - C'était peut-être un mendiant. » M. Dick secoua la tête pour repousser absolument cette supposition, et, après avoir répété plusieurs fois du ton le plus positif : « Ce n'était pas un mendiant, ce n'était pas un mendiant », il finit par me raconter qu'il avait vu plus tard, de sa fenêtre, quand la soirée était très avancée, ma tante donner de l'argent, au clair de la lune, à cet homme qui était en dehors de la palissade du jardin, et qui s'était alors éloigné ; qu'il était peut-être rentré sous terre, c'était très probable, mais que ce qu'il y avait de sûr, c'est qu'on ne l'avait plus revu ; quant à ma tante, elle était revenue bien vite dans la maison à pas de loup ; et même le lendemain matin, elle n'était pas comme à l'ordinaire, ce qui troublait beaucoup l'esprit de M. Dick. Au début de l'histoire, je n'avais pas la moindre idée que cet inconnu fût autre chose qu'une création de l'imagination de M. Dick, tout comme ce malheureux prince qui lui causait tant de chagrins ; mais, après quelques réflexions, j'en vins à me demander si on n'avait pas fait la tentative ou la menace d'enlever le pauvre M. Dick à la protection de ma tante, et si, fidèle à cette affection pour lui dont elle m'avait entretenu elle-même, elle n'avait pas été obligée d'acheter à prix d'argent la paix, le repos de son protégé. Comme j'avais déjà un grand fond d'attachement pour M. Dick, et que je portais beaucoup d'intérêt à son bonheur, la crainte que j'avais moi-même de le perdre me fit accueillir plus volontiers cette supposition, et pendant bien longtemps, le mercredi où il devait venir me trouva inquiet de savoir si j'allais le voir sur l'impériale comme à l'ordinaire. Mais c'étaient de vaines alarmes, et j'apercevais toujours de loin ses cheveux gris, son visage joyeux, son gai sourire, et il n'eut jamais rien à m'apprendre de plus sur l'homme qui avait la faculté rare de faire peur à ma tante. Les mercredis étaient les jours les plus heureux de la vie de M. Dick, et n'étaient pas les moins heureux pour moi. Il fit bientôt connaissance avec tous mes camarades, et quoiqu'il ne prît jamais une part active dans tout autre jeu que celui du cerf-volant, il portait autant d'intérêt que nous à tous nos amusements. Que de fois je l'ai vu si absorbé dans une partie de billes ou de toupies, qu'il ne cessait de les regarder avec l'intérêt le plus profond, sans pouvoir même respirer dans les moments critiques ! Que de fois je l'ai vu, monté sur une petite éminence, surveiller de là tout le champ d'action où nous étions à jouer au cerf, et agiter son chapeau au-dessus de sa tête grise, oubliant entièrement la tête du roi Charles le martyr et toute son histoire malencontreuse ! Que d'heures je l'ai vu passer comme autant de bienheureuses minutes à regarder pendant l'été une grande partie de barres ! Que de fois je l'ai vu pendant l'hiver, le nez rougi par la neige et le vent d'est, rester près d'un étang à nous regarder patiner, pendant qu'il battait des mains dans son enthousiasme avec ses gants de tricot ! Tout le monde l'aimait, et son adresse pour les petites choses était incomparable, il savait découper des oranges de cent manières différentes ; il faisait un bateau avec les matériaux les plus étranges ; il savait faire des pions pour les échecs avec un os de côtelette, tailler des chars antiques dans de vieilles cartes, faire des roues avec une bobine, et des cages d'oiseaux avec de vieux morceaux de fil de fer ; mais il n'était jamais plus admirable que lorsqu'il exerçait son talent avec des bouts de paille ou de ficelle ; nous étions tous convaincus qu'il ne lui en fallait pas davantage pour exécuter tous les ouvrages que peut façonner la main de l'homme. Le renom de M. Dick s'étendit bientôt plus loin. Au bout de quelques visites, le docteur Strong lui-même me fit quelques questions sur son compte, et je lui dis tout ce que ma tante m'en avait raconté. Le docteur prit un tel intérêt à ces détails, qu'il me pria de lui faire faire la connaissance de M. Dick à sa première visite. Cette cérémonie accomplie, le docteur pria M. Dick de venir chez lui toutes les fois qu'il ne me trouverait pas au bureau de la diligence, et de s'y reposer en attendant que la classe du matin fût finie, M. Dick prit en conséquence l'habitude de venir tout droit à la pension, et quand nous étions en retard, ce qui arrivait quelquefois le mercredi, de se promener dans la cour en m'attendant. C'est là qu'il fit connaissance avec la jeune femme du docteur, plus pâle, moins gaie et plus retirée que par le passé, mais qui n'avait rien perdu de sa beauté, et peu à peu il se familiarisa au point d'entrer dans la classe pour m'attendre. Il s'asseyait toujours dans un certain coin, sur un certain tabouret qu'on appelait Dick comme lui, et il restait là, penchant en avant sa tête grise et écoutant attentivement les leçons avec une profonde admiration pour cette instruction qu'il n'avait jamais pu acquérir. M. Dick reportait une partie de cette vénération sur le docteur, qu'il regardait comme le philosophe le plus profond et le plus subtil de toute la suite des âges. Il se passa du temps avant qu'il pût se décider à lui parler autrement que la tête nue, et même lorsque le docteur eut contracté pour lui une véritable amitié et que leurs promenades duraient des heures entières, le long de la cour, d'un certain côté que nous appelions la promenade du docteur, M. Dick ôtait de temps en temps son chapeau pour témoigner de son respect pour tant de sagesse et de science. Je ne sais par quel hasard le docteur en vint à lire tout haut devant lui des fragments du fameux dictionnaire pendant ces promenades ; peut-être pensait-il d'abord que c'était la même chose que de les lire tout seul. En tous cas, cette habitude faisait le bonheur de M. Dick qui écoutait avec un visage rayonnant d'orgueil et de plaisir, et qui resta convaincu dans le fond de son coeur que le dictionnaire était bien le plus charmant livre du monde.

« fameux mémoire, carils’était misdans l’idée queletemps pressait etqu’il fallait décidément terminercedocument. M. Dick étaitgrand amateur depain d’épice.

Pourluirendre sesvisites plusagréables, matante m’avait chargé d’ouvrir pourluiun crédit chezunpâtissier, avecl’ordre denejamais luien fournir parjour pour plusdedix pences. Cette règlestricte etlepayement qu’elleseréservait defaire elle-même descomptes del’hôtel oùilcouchait, me portèrent àcroire qu’elle luipermettait defaire sonner sonargent danssongousset, maisnonpasdeledépenser.

Je découvris plustard quec’était lecas, eneffet, ouqu’au moins ilétait convenu, entrematante etlui, qu’il luirendrait compte detoutes sesdépenses.

Commeiln’avait pasl’idée delatromper, etqu’il avait laplus grande enviedelui plaire, ilymettait unegrande modération.

Surcepoint comme surtout autre, M. Dick étaitconvaincu quematante était laplus sage etlaplus admirable femmedumonde, commeilme leconfia plusieurs foissous lesceau dusecret et à l’oreille. « Trotwood, meditM. Dick d’unairmystérieux aprèsm’avoir faitcette confidence unmercredi, quiestcet homme qui secache prèsdenotre maison pourluifaire peur ? – Pour fairepeur àma tante, monsieur ? » M. Dick fitun signe d’assentiment. « Je croyais querien aumonde nepouvait luifaire peur, dit-il,carc’est...

Iciilbaissa lavoix ; c’est...

nelerépétez pas...

laplus sage etlaplus admirable detoutes lesfemmes. » Après quoiilfit un pas enarrière pourvoirl’effet queproduisait surmoi cette définition dema tante. « La première foisqu’il estvenu, ditM. Dick, c’était...

voyonsdonc :seizecentquarante-neuf estladate de l’exécution duroi Charles.

Jecrois quevous avezbienditseize centquarante-neuf ? – Oui, monsieur. – Je n’ycomprends rien,ditM. Dick trèstroublé etsecouant latête ; jene crois quejepuisse êtreaussi vieux que cela. – Est-ce quec’est cette année-là quecethomme aparu, monsieur ? demandai-je. – En vérité, ditM. Dick, jene vois pastrop comment celapeut sefaire, Trotwood.

Vousaveztrouvé cettedate-là dans l’histoire ? – Oui, monsieur. – Et l’histoire nement-elle jamais ?Qu’endites-vous ? hasardaM. Dickavecunéclair d’espoir. – Oh ciel ! non,monsieur, certainement non,répondis-je duton leplus positif.

J’étaisjeuneetinnocent alors,etje le croyais. – Je n’ycomprends rien,reprit M. Dick enhochant latête.

Ilya quelque chosedetravers jene sais où.Entout cas, c’était peudetemps aprèsqu’on avaiteulamaladresse deverser dansmatête unpeu dutrouble quiétait dans celle du roi Charles quecethomme vintpour lapremière fois.Jeme promenais avecmissTrotwood aprèsavoirprislethé, il faisait nuitlorsque jel’ai vulàtout près delamaison. – Est-ce qu’ilsepromenait ? demandai-je. – S’il sepromenait ? répétaM. Dick.

Voyonsdoncquejeme souvienne.

Non,non,ilne sepromenait pas. » Je demandai, pourarriver plusviteaubut, cequ’il faisait. « Mais iln’était paslàdu tout, ditM. Dick, jusqu’au moment oùils’est approché d’elleparderrière etlui adit un mot àl’oreille.

Alorselles’est retournée, etpuis elles’est trouvée mal ;jeme suis arrêté pourleregarder, etilest parti ; maiscequ’il ya de plus extraordinaire, c’estqu’ilfautqu’il soitresté caché depuis...

danslaterre, jene sais où. – Il est donc resté caché depuis lors ?demandai-je. – Certainement, répliquaM. Dickensecouant gravement latête.

Iln’a jamais reparu jusqu’à hiersoir.

Nous faisions un tour depromenade quandils’est denouveau approché d’elleparderrière, etjel’ai bien reconnu. – Et matante, est-ce qu’elle aencore eupeur ? – Elle s’estmise àtrembler, ditM. Dick enimitant lemouvement eten faisant claquer sesdents ; elles’est retenue contre lapalissade ; elleapleuré.

Mais,Trotwood, venezici. »Etilme fitapprocher toutprès deluipour meparler très bas : « Pourquoi luia-t-elle donnédel’argent auclair delalune, mongarçon ?. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles