Résultats pour "pensé"
- La pensée conceptuelle est une pensée potentielle. La pensée par images est une pensée actuelle.
- Pensée
- PENSÉE
- "La technique (...) est une pensée des mains et de l'outil. On voudrait presque dire que c'est une pensée qui craint la pensée. Cette précaution est belle à saisir dans le geste ouvrier ; mais elle enferme une terrible promesse d'esclavage. " Alain. Commentez. ?
- Langage et pensée : Les mots nous apprennent-ils notre propre pensée ?
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Historique de intuitif, adjectif
Étymologie
De intuit(ion) et -if ; du latin médiéval intuitio, 'action de se représenter par la
pensée' ; du latin classique intuitus signifiant 'représenté par la pensée',
participe passé de intueri, 'se représenter par la pensée'.
Du jugement, et de la connoissance intuïtive . — Jean-Baptiste Robinet , De la nature XIX e intuitif La scolastique avait admis, comme Locke, l’évidence intuitive et l’évidence démonstrative… — Victor Cousin ,Cours d’histoire de la philosophie morale au dix-huitième siècle... Présent à lui-même par la vision intuitive , il découvrait par la vision idéale les choses qu’il devait un jour créer. — Henri Lacordaire , Conférences de Notre-Dame de Paris XX e C’est par les recherches d...
- La pensée philosophique contredit-elle la pensee traditionnelle ?
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Le langage précède-t-il la pensée ? La pensée précède-t-elle le langage ?
Introduction: le langage, une épreuve pour la pensée ? Il est d'usage de définir le langage par l'homme, et même l'homme par le langage : l'homme est le vivant qui parle. Pourtant le langage n'apparaît pas au premier abord comme une spécificité humaine. On parle en effet de langage des signes, et même de langage des animaux ou de langage infor matique. Qu'y a-t-il de commun à tous ces langages? Il s'agit de systèmes constitués de communicati...
- Le langage ne traduit-il qu'une faible partie de notre pensée, ou faut-il dire avec un philosophe contemporain « Toute pensée est inséparable de son expression et ne vaut que ce que vaut cette expression elle-même. » ?
- Le langage est-il antérieur à la pensée ou la pensée est-elle antérieure au langage ?
- Influence de la pensée sur le langage et du langage sur la pensée. — Montrer comment cette influence a été exagérée, au xviiie siècle, par Condillac et son école.
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Ordre, méthode et pensée: Qu'est-ce qu'une pensée méthodique et ordonnée ?
les uns et les autres. Bien souvent, le même mot désigne à la fois l'acte et le résultat; par exemple, le mot réflexion convient tantôt à l'acte de réfléchir, tantôt au résultat de cet acte; de même pour le mot méditation. Mais, la plupart du temps, l'acte s'exprime par un verbe, le résultat, par un nom : par exemple, rêver - rêverie, raisonner -raisonnement. Vous aurez intérêt à essayer de faire, de ces différents modes de pensée, une liste a...
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Une pensée cohérence est-elle une pensée vraie ?
certaines expériences mal comprises, ou que l'on porte des jugements à la légère et sans fondement."Arithmétique et géométrie sont les seules sciences qui traitent d'un objet simple et pur et qui n'admettent riend'incertain : leur travail ne consiste qu'à tirer des conséquences par voie de déduction rationnelle. Leurserreurs ne peuvent procéder que de l'étourderie. Elles doivent par conséquent constituer l'idéal des sciencespour leur rigueur, leur clarté et leur certitude. La cohérence est...
- « L'esprit de l'homme est naturellement plein d'un nombre infini d'idées confuses du vrai, que souvent il n'entrevoit qu'à demi; et rien ne lui est plus agréable que lorsqu'on lui offre quelqu'une de ces idées bien éclaircie et mise dans un beau jour. Qu'est-ce qu'une pensée neuve, brillante, extraordinaire ? Ce n'est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n'a jamais eue, ni dû avoir. C'est au contraire une pensée qui a dû venir à tout le monde, et que quelqu'un s'avise le premier d'exprimer. » Que pensez-vous de cette réflexion de Boileau ?
- Pascal, les pensées, « Toute notre dignité consiste en la pensée »
- pensée (botanique).
- Gabriel Rey écrit dans Humanisme et surhumanisme (1951): «Dire que la littérature classique est le fait d'une élite pour une élite est sans doute plus exact historiquement qu'en soi. Rien n'empêche de concevoir un classicisme de masse ; c'est une simple question d'éducation et de pensée régnante, de mode enfin. [...] Prétendre que le «peuple» - entité d'ailleurs plus mythique que réelle - est voué à jamais à sa vie intellectuelle et artistique actuelle, à la pensée (si l'on peut dire) radiophonique et journalistique, à la morale cinématographique, à la musique gargouillée, au roman populaire, à la littérature populiste, à la poésie pour tous, à l'art d'Uniprix, c'est douter de l'homme, c'est l'insulter. C'est une insulte au sens commun, à ce bon sens toujours d'accord avec la pensée humaniste la plus haute, enfin à cet adage profond, véridique et sacré : «Vox populi, vox dei.» A la lumière de ce texte, vous vous demanderez dans quelle mesure le classicisme est, ou n'est pas, d'esprit populaire.
- PENSÉE (psychanalyse)
- Jean-Claude Tournand écrit : «Il a fallu que s'élaborent au moyen d'une longue expérience les règles de chaque genre, que les écrivains apprennent à en dominer les contraintes et à conquérir à travers elles l'art de communiquer leurs plus intimes pensées. L'idéal classique exige à la fois une idée suffisamment claire pour être totalement communicable, et un langage suffisamment précis pour communiquer cette idée et elle seule : l'idée ne doit pas échapper au langage, mais le langage doit rendre toute la singularité de l'idée. Cet accord profond qui supprime toute dualité entre la vérité d'une pensée et la justesse de son expression ne se distingue pas de la beauté. (...) C'est déjà par le moyen d'un discours bien lié que Descartes prétendait devenir «maître et possesseur de la nature», et il est bien, en cela, le premier des classiques. Sa méthode ne consiste-t-elle pas à réduire toute difficulté en un langage clair qui est analyse, mise en ordre, de telle sorte que la vérité apparaisse comme d'elle-même ? Aucune idée n'est admise pour vraie ni aucune œuvre admise pour belle si le langage n'élimine pas toutes les ombres, de manière à garantir que l'on n'a pas triché avec la réalité. Les Pensées de Pascal témoignent d'un vaste effort pour expliciter la mystérieuse action de la foi, et, lorsqu'on veut désavouer la raison, c'est à la raison que l'on demande ce désaveu. L'art de plaire lui-même doit pouvoir s'exprimer logiquement. Toute l'esthétique classique se réduit à chercher, toujours plus loin dans la complexité vivante d'une réalité - visage, idée, sentiment -, l'ordre qui permet de la saisir, à inventer entre les ressources du langage l'équilibre qui correspond seul à cette réalité-là, et à n'admettre dans l'œuvre aucun élément qui ne participe pas à cette correspondance.» (Introduction à la vie littéraire du XVIIe siècle, Bordas, 1970.) Acceptez-vous cette vision du classicisme ?
- pensée.
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La pensée
tandis que lorsqu'il se reveille il fait "non" de la tête il se met alors d éjà à douter des informations qu'il a re çu. Cet exemple nous permet d' établir une premi ère constatation : l'homme est dot é d'une conscience. Descartes, un c élèbre philosophe du XVIIe si ècle, avait dit "Je penses donc je suis" ce qui nous prouve que l'homme est une subtance pensante. A travers ce cogito Descartes nous prouve que l'homme a conscience de soiet est dot é d'une pens ée qui lui est pr...
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A. Gide voit dans toute la littérature française un dialogue entre deux formes de pensée dont tout jeune esprit serait faussé s'il n'écoutait ou si on ne lui laissait entendre que l'une des deux voix. Il écrit notamment : « Le dialogue reprend avec Pascal contre Montaigne. Il n'y a pas d'échange de propos entre eux, puisque Montaigne est mort lorsque Pascal commence à parler; mais c'est pourtant à lui qu'il s'adresse — et pas seulement dans l'illustre Entretien avec M. de Sacy. C'est aux Essais de Montaigne que le livre des Pensées s'oppose, et contre lequel, pourrait-on dire, il s'appuie ». Commentez ce jugement à la lumière des textes de ces deux auteurs que vous connaissez.
condition : passages empruntés pour la plupart à l'Apologie de Raymond Sebond et qui tendent à nous faire sentirnotre misère.Il faudrait rapprocher ici les textes pour mesurer exactement ce que Pascal doit à Montaigne, comment il modifie laforme et parfois la pensée. Faute de pouvoir citer nous donnerons les références essentielles.Évoquant l'homme perdu au sein de l'univers (II, 72. Hat. 9), Pascal se souvient. d'un passage de I, 25; mais si l'idéedes deux infinis ne s'y trouve pas, dans l'Apol...
- Pensées. Pascal
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Les pensées de la classe dominante sont aussi, à toutes les époques, les pensées dominantes Marx et Engels
Idéologie 1 129 le vocabulaire du philosophe allemand. Le problème est d'autant plus complexe que c'est dans un sens large ment nouveau que le mot est utilisé. Qu'est-ce que l'idéologie? Les réponses peuvent varier selon les textes sur lesquels on se fonde, et plus encore selon les lectures qu'on en propose. Si l'on ne retient comme point de départ que L'Idéolo gie allemande, on ne peut définir l'idéologie qu'en défi nissant la place que Marx e...
- La pensée
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« Agir selon sa pensée est ce qu'il y a au monde de plus difficile. » Expliquez et commentez cette pensée de Goethe. ?
La volonté collective oppose d'ailleurs parfois sa terrible puissance à notre désir. Celui qui pense le vrai ou le juste dans l'hérésie en fait l'expérience. Aussi bien Socrate quand il affronte ses juges que Galilée quand il s'inclinemomentanément devant les siens, que Blandine quand elle fait face aux lions dans l'arène; aussi bien Robespierre le9 thermidor que Jeanne d'Arc au cours de son procès et les communards de 1871 devant l'armée de répressiontriomphante. Il n'est vraiment p...
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La pensée positive.
La pensée positive Nous sommes ce que nous pensons L'action de la pensée positive repose sur 1' au tosugges ti on. Des formules, ou affirma ti ons, que le patient garde présentes à l'esprit, lit à haute voix ou écoute l'aident à adop ter une nouvelle atti tud e et condi tionnent l'inconscient pour lui faire prendre une nouvelle orientation. Les affirmations doivent permettre de remplacer toutes les réflexions dévalorisantes...
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Dugas a opposé la Pensée conceptuelle tenue par lui comme « verbale » ou « potentielle » à la pensée « par images » tenue par lui comme « actuelle ». Qu'en pensez-vous ?
par les sapins de Saint-Laurent-du-Jura ou les brousailles qui dominent le lac d'Annecy. Tout cela convient à la forêtet tout cela ne nous donne pas la forêt. Nous saurons seulement que nous pourrions changer indéfiniment d'imagessans avoir à changer de mot. Les images particulières apparaissent donc ici comme autant d'exemples susceptiblesde s'adapter à un certain objet mais incapables de le constituer. Ainsi quel que soit l'élément actuel choisi, leconcept l'acceptera en le débordant, n...
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Langage et pensée
existence la plus haute et la plus vraie. » 1. La thèse est examinée en chacun de ses éléments. D'abord la pensée. Penser c'est avoir conscience de penser,ce qui implique un dédoublement. Si naïvement toute pensée, en tant que personnelle (« nos pensées »), est cruede l'ordre de notre intériorité (et strictement seulement de cet ordre), philosophiquement, elle est aussi de l'ordre del'extériorité (et donc différenciée de l'intériorité). Penser est une activité (« donner » à nos pensées) qui assu...
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Langage et pensée
Yves Coppens associe la fabrication d'outils et l'aptitude à en diversifier les formes (cf. texte 3). De fait, tailler une pierre pour obtenir une extrémité tranchante, ce n'est pas la même chose que travailler un morceau de bois pour en faire une flèche pointue. La destination des deux outils n'est pas la même, leur forme doit se prêter au mieux à l'usage requis. Une part essentielle de l'activité technique a donc lieu ava...
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PASCAL: Pensées sur L'esprit humain et sur le style. — Pensées sur la misère de l'homme. (Sections I et II de l'édition de M. Bruuschvicg.)
une voix secrète s'élève en eux qui plaide pour la vie large, joyeuse, pour la liberté de la « débauche ». Déjà ces libertins, au sens intellectuel du xvne siècle (incrédules), le sont au sens actuel du mot. Bien d'autres n'ont jamais raisonn é et se con tentent de suivre cette « bonne loi naturelle '' qui les mène tout droit à la liberté du vice. Une princesse Palatine, un prince de Conti, une demoiselle de Lionne, une dame de Villedieu, n'ont...
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Pensée et société ?
même hiver à vaincre». - B - Il faut déjà avoir l'intelligence pour donner un sens au langage On ne peut nier sans doute que le langage, institution sociale, soit la condition de la pensée. Même si l'on admet,avec Bergson, l'existence d'une pensée intuitive, qui serait inexprimable, ii reste que cette forme de pensée estréservée à quelques privilégiés et que la pensée commune est conceptuelle. Mais si nos idées s'expriment par desmots, cela ne signifie pas que le mot par lui-même soit une idée....
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Mes pensées m'appartiennent-elles ?
Il arrive que ma langue "fourche", il arrive que je ne sache plus trés bien "ce que je dis", il arrive aussi que mapensée puisse me dépasser en prenant un pouvoir tel que je ne puis en être le maître: en ce sens mes pansées nem'appartiennent plus. II. Des pensées qui ne m'appartiennent : des pensées, volantes, aveugles et sourdes qui semblent ne plusémaner de moi-même 1. die fliegende Gedanken : les pensées qui passent sans que je puisse les saisir, les tenir, des pensées volantes quisemblent n'...
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«L'histoire humaine peut bien dans ses passions, dans ses préjugés, dans tout ce qui relève de ses impulsions immédiates être un éternel recommencement, mais il y a des pensées qui ne recommencent pas, ce sont les pensées qui ont été rectifiées, élargies, complétées». (Bachelard). Appréciez.
jamais tout à fait à la nature des choses: «Le rapport de l'idée au fait, disait Alain, est en ceci que l'idée ne suffitjamais». Du moins nous approchons-nous sans cesse de la vérité, saisissant la nature à travers un réseau d'idéesqui est à la fois de plus en plus souple et de plus en plus serré. - C - Nature et esprit : les âges de l'intelligence. Ainsi le progrès humain ne se situe pas au niveau des passions et des actes mais au niveau des connaissances. Lanotion même de «découverte» implique...
- Pensée gréco romaine
- Alain: La pensée technicienne
- La pensée préexiste-t-elle au langage ?
- Apprenons-nous notre pensée en parlant ?
- Pascal, Pensées, « Le Divertissement»
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Sommes-nous maître de nos pensées ?
Pour la psychanalyse, nous agissons parfois et nous avons certaines pensées, non pas en en contrôlant consciemment les causes mais sous l'influence de notre inconscient. Freud, Métapsychologie : « On nous conteste de tout côté le droit d'admettre un psychisme inconscient et de travaillerscientifiquement avec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l'hypothèse de l'inconscient estnécessaire et légitime, et que nous possédons de multiples preuv...
- Pensée et action
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La pensée peut-elle être silencieuse ?
d'expression). · Mais, si la pensée se fait dans le silence, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle est dialogue de l'âme avec elle-même. On ne voit pas ce que peut être une pensée sanslangage, puisque la pensée ne se présente jamais autrement que comme un dialogue del'âme avec elle-même ( Platon , Sophiste, 263 e). La pensée n'est donc pas autre chose qu'un langage intérieur, s'exerçant avec des mots, même si ceux-ci ne sont pasextérieurement proférés. Le silence de la...
- Le langage trahit-il la pensée ?
- Rapports du langage et de la pensée. PLAN.
- Pensées sur la religion
- Blaise Pascal, Pensées
- La pensée peut-elle etre entierement libre ?
- PENSEE (La) de Maurice Blondel
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Nos pensées sont-elles bien les nôtres ?
pouvoir, de la valeur qu'elle apporte en venant en nous », c'est reconnaître l'existence de la Raison(Entretiens, I, 1).Ce qui ne dépend pas de nous, ce sont le corps « et ses parties, les biens, les parents, les frères, les enfants,la patrie et en général tous les membres de notre communauté » (Épictète, Entretiens, I, 22, 10). Plusgénéralement, l'ensemble des événements, qui, comme le nom l'indique, sont extérieurs à nous-mêmes. Leschoses qui ne dépendent pas de nous ne sont...
- Le jugement est-il dans la pensée ou la pensée dans le jugement ?