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La vie de Leibniz

Publié le 16/01/2020

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leibniz

En 1667 (il voyagera de 1666 à 1676), il est devenu secrétaire du baron de Boinebourg. Pendant qu’il occupe cette fonction, il rencontre des savants, des hommes d’affaires et le pasteur piétiste Spener 1 2. En même temps, il rédige un traité de droit dans lequel il préconise l’élaboration d’une philosophie et d’une mathématique du Droit.

En 1670, il est conseiller à la Cour suprême de l’Electeur de Mayence, et compose un traité sur la sécurité publique.

De 1672 à 1676, il s’établit à Paris, et réfléchit aux conditions d’une monarchie universelle.

Déçu par le droit et la politique, il renoue avec les savants : mathématiciens, physiciens, chimistes.

En 1675, il découvre le calcul différentiel et infinitésimal. Il veut rivaliser avec Newton : leur correspondance dure jusqu’en 1677.

Jusqu’à sa mort, en 1716, il est Conservateur de la bibliothèque de Hanovre. Il est chargé d’écrire l’histoire de la maison de Brunswick. Pendant la même période, il rédige ses grandes œuvres philosophiques :

1686 : Discours de Métaphysique.

1693 : Code diplomatique du droit des gens.

1697 : Sur l’origine radicale des choses.

1703 : Nouveaux essais sur l’entendement humain. (contre Locke).

1710 : Essais de Théodicée.

1710 : La cause de Dieu, défendue par sa justice.

1714 : Les principes de la nature et de la grâce fondés

en raison.

1714 : La monadologie.

leibniz

« membre des Rose-Croix 1, « pour rencontrer des savants », dit-il.

Il étudie aussi la chimie.

En 1667 (il voyagera de 1666 à 1676), il est devenu secrétaire du baron de Boinebourg.

Pendant qu'il occupe cette fonction, il rencontre des savants, des hommes d'affaires et le pasteur piétiste Speher 2• En même temps, il rédige un traité de droit dans lequel il préconise l'élaboration d'une philosophie et d'une mathématique du Droit.

En 1670, il est conseiller à la Cour suprême de !'Électeur de Mayence, et compose un traité sur la sécurité publique.

De 1672 à 1676, il s'établit à Paris, et réfléchit aux conditions d'une monarchie universelle.

Déçu par le droit et la politique, il renoue avec les savants : mathématiciens, physiciens, chimistes.

En 1675, il découvre le calcul différentiel et infi­ nitésimal.

Il veut rivaliser avec Newton : leur corres­ pondance dure jusqu'en 1677.

Jusqu'à sa mort, en 1716, il est Conservateur de la bibliothèque de Hanovre.

Il est chargé d'écrire l'his­ toire de la maison de Brunswick.

Pendant la même période, il rédige ses grandes œuvres philosophiques : • 1686 : Discours de Métaphysique.

• 1693 : Code diplomatique du droit des gens.

• 1697 : Sur l'origine radicale des choses.

• 1703 : Nouveaux essais sur l'entendement humain.

(contre Locke).

• 1710 : Essais de Théodicée.

• 1710 : La cause de Dieu, défendue par sajustice.

• 1714 : Les principes de la nature et de la grâce fondés en raison.

• 1714 : La monadologie.

1.

Société d'initiés adonnés aux sciences occultes, ainsi appelés en référence à leur fondateur Rosen­ kreuz.

4 2.

Spener : adepte d'une doctrine liée au protestantisme, qui tend à l'ascé­ tisme et au sacerdoce universel de tous les croyants.. »

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