Devoir de Philosophie

Le cinéma égyptien, premier cinéma du monde arabe

Publié le 18/03/2014

Extrait du document

 

Au lendemain de la guerre, l'Égypte renforce sa position de leader du cinéma de langue arabe. Des réalisateurs tels que Salah Abou Sayf ou Yous¬sef Chahine se font une réputation dans les grands festivals, tandis que des vedettes comme Omar Sharif acquièrent une renommée interna¬tionale.

« par un producteur hollywoo­ dien, elle accepte le soir mê­ me de jouer la doublure de Rita Hayworth dans La Terre des pharaons que s'apprête à tourner Howard Hawks.

Avant de s'envoler pour Louxor, où se déroule le tour- nage, Dalida , car c'est d'elle qu'il s'agit, tourne Une ciga­ rette et un verre de Niazi Mostafa.

Après quoi elle en­ chaîne avec Le Masque de Toutânkhamon, coproduc­ tipn franco-égypt ienne de Marc de Gastyne .

Venue à Paris pour la promotion du film, la jeune vedette ne quittera plus la France .

Les années cinquante et soixante voient non seule­ ment des vedettes égyptien­ nes acquérir le statut de stars internationales, mais l' Égyp­ te même devenir une terre bénie pour les superproduc­ tions .

Hawks tourne La Terre des pharaons sur un scénario de William Faulkner et Noel Howard qui en tirera un cé­ lèbre récit, Hollywood sur Nil.

Certaines séquences de Quo vadis ? ou des Dix Com­ mandements sont également tournées en Égypte.

Chahine, chef de file du nouveau cinéma égyptien A vant de devenir le plus célèbre des cinéastes égyptiens , Youssef Chahine aborde avec le même en­ thousiasme tous les genres cinématographiques.

Mais c'est Gare centrale (1958), où il tient le rôle principal, qui. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles