« Aucun tableau ne tient devant une tache de sang. » André Malraux

En dernier lieu, il est judicieux de se demander si une certaine gradation de la violence ne peut entrer en ligne de compte dans le but de mieux expliciter notre citation. En effet, à partir de quelle « quantité « de violence ou de sang, pourrait-on considérer l’assertion de Malraux comme étant vraie ? Autrement dit, est-il juste de penser qu’une simple goutte de sang, signifiant une violence même minime, serait suffisante pour justifier d’invalider toute forme d’art ? Certes, pour les raisons que nous avons déjà énoncées, d’un point de vue moral, il n’y a pas de « petites « violences.