ORL L'ORTHOGRAPHE La phonétique impossible o l'écrit sert à transcrire les sons de
Publié le 05/04/2015
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« ORL Typologie Nina Catach ERREURS A DOMINANTE PHONÉTIQUE Omission ou adjonction Confusion Déplacement Dune lettre ou dune syllabe maitenant pour maintenant manman pour maman valfe pour valve quiller pour cuiller Dune lettre erxcusion pour excursion ERREURS A DOMINANTE PHONOGRAMMIQUE (ERREUR DANS LA CORRESPONDANCE PHONIE GRAPHIE ) Altérant la valeur phonique Naltérant pas la valeu r phonique · Omission ou adjonction : briler pour briller exciste pour existe sossie pour sosie · Confusion : né / nè paille / paye serai / serrai · Inversion : idoit pour idiot · Omission ou adjonction : sin pour sein éteau pour étau pensser pour penser · Confusion : licée pour lycée pharmatie pour pharmacie · Inversion : ciclyste pour ERREURS A DOMINANTE MORPHOGRAMMIQUE Les morphèmes grammaticaux Les morphèmes lexicaux · Relation mal établie entre : - Nom et déterminant la routes - Nom et complément un sac de bille - Adjectif et nom aucun hommes - Sujet et verbe je fait, je les voient - Participe passé et nom (ou pronom) ils sont venu, elle a chantée · Confusion : - Forme du pluriel chevaux - Catégorie des ombres passes - Mode ils vont joué, tu mangé - Groupe verbal / désinence il crit - Temps criai / criais - Non-reconnaissance des mots : un névier pour un évier bien veillance pour bienveillance pb de segmentation - Ignorance de la famille lexical inabité - Ignorance des préfixes ou suffixes anterrement - Ignorance du maintien ou non du radical nous vogons - Ignorance des lettres finales justifiables dun enseignement heureus ERREURS CONCERNANT LES HOMOPHONES Homophones de discours Homophones lexicaux Homophon es grammaticaux larme / larme encore sage / en corsage chant / champ voix / voie a / à ces / ses ou / où ERREURS CONCERNANT LES IDÉOGRAMMES Omission ou adjonction Confusion - Majuscule : nom propre / nom commun et en début de phrase - Apostrophe - Trait dunion - Ponctuation - Erreurs de signes ERREURS CONCERNANT LES LETTRES NON JUSTIFIABLES DU N ENSEIGNEMENT - Voyelles douçatre - Consonne finale non justifiable dun enseignement abrit, chaleure - Consonne grecque téâtre - Consonne latine sculter - Fausse étymologie domter - Consonne simple ou double injustifiable chariot / charriot. »
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- Josquin Des Prés par Charles Van den Borren Son nom s'écrit de différentes manières, suivant la coutume de l'époque, totalement insoucieuse de l'orthographe.
- BAUDELAIRE écrit dans son grand article sur Victor Hugo : Quand on se figure ce qu'était la poésie française avant qu'il apparût, et quel rajeunissement elle a subi depuis qu'il est venu, quand on imagine le peu qu'elle eût été s'il n'était pas venu, combien de sentiments mystérieux et profonds, qui ont été exprimés, seraient restés muets; combien d'intelligences il a accouchées, il est impossible de ne pas le considérer comme un de ces esprits rares et providentiels qui opèrent, dans
- Un critique contemporain, M. André Thérive, écrit : « La littérature dans son ensemble sert à faire mieux connaître l'homme. Au temps des classiques, la vérité générale, l'homme abstrait, suffisait encore. L'homme concret est une conquête de l'époque moderne ». Vous montrerez comment cette « conquête » a été préparée par les écrivains du XVIIIe siècle. ?
- Ferdinand Alquié vous semble-t-il avoir bien défini l'amour surréaliste quand il écrit : « L'amour, entendons l'amour passion, prend d'emblée, dans les préoccupations surréalistes, la première place. En lui se retrouvent tous les prestiges de l'Univers, tous les pouvoirs de la conscience, toute l'agitation du sentiment: par lui s'effectue la synthèse suprême du subjectif et de l'objectif, et nous est restitué le ravissement que les déchirements surréalistes semblaient rendre impossible
- Dans Sur Racine (1963), Roland Barthes écrit : « Le conflit est fondamental, chez Racine, on le trouve dans toutes ses tragédies. Il ne s'agit nullement d'un conflit d'amour (...) le rapport essentiel est un rapport d'autorité, l'amour ne sert qu'à le révéler. (...) C'est l'ensemble de cette situation que Racine appelle la vio¬lence ; son théâtre est un théâtre de la violence. »