Sénèque latin devoir

« Pour cela il choisit dans le paragraphe quatres de donner des exemples concrèt.

Ces exemples sont en fait demandé par Lucilius avec lequel Sénèque dialogue .

Le jeu de mots « animus »,« anima» souligne une opposition qui met d’un côté, l’esprit, l’intelligence ...etc de l’autre, le souffle primaire et incontournable.

Le verbe «perducere» avec le préfixe connotant l’achèvement souligne la notion de « cheminement vers...

» ,puisqu'il « ducerer »veut dire conduire ,et d'une évolution. La réponse se veux persuasive .

Et d'ailleurs , il fait des questions réthorique ,où un "non" qui est famillier , vient remplacer deux fois le "nonne" que le lecteur penserais avoir ("non vides" , "non putas").

Sénèque choisit ici de faire transparaître l'oral, les lettre deviennent donc un dilogue.

Et , grâce à au polyptote « contempnatur », il réfute tout arguments. « Contemnatur » est associé à l’expression « ex frivolis causis » de ce fait pour parvenir au bonheur l’homme ne doit pas avoir peur de mourir En outre , Sénèque fait suivre trois exemples marqué par « alius », pour montrer comment des hommes qui on connu la passion , sont tous passer par le suicider ( certain sont mort parce qu'ils aiment trop fort , l'autre à cause de son maitre … etc.

Ainsi est -il évident que de telles raisons sont méprisables car elle montre une certaine aliénéation .

En une seule phrase l'autreur donen au lecteur trois tableaux morbide qui ramène ce dernier au fait que la vie ne doit pas être prolonger puisqu'elle apporte du malheur , eil mentionne des détail sur le mort et comment elle se fait.

“laqueo”, “e tecto ”, “in viscera“ afin de prendre son lecteur par les sentiment et de l'effrayer d'avantage.

Ajoutez à cela le chiasme dans les classe de la société .

On constate en effet que l'esclave qui s'est enfui se tue de manière plus douloureuse que l'amant .

L'amour, la crainte et la colère d'autrui on pousser ces hommes à mourir.

Chez les Sotïcien , le suicide doit faire preuve d'une réfléxion et affirme plutot une libertation qu'une fin tragique.

Par vertu,la question oratoire (non putas) est en fait une affirmation qui oppose le présent « efficit » au futur « effecturam esse, » les différentes oppositions sont mise en valeur par l’emploi du chiasme quirtus/formido.

Pour finir , Scène achève se quatrième paragraphe par « Nulli potest secura vita contingere »le malum magnum qui désignait la mort au début du paragraphe est repris poru mépriser celui qui souhaite s'accrocher à la vie.

Pour conclure , Sénèque tente de persuader son ami à rejoindre le Stoïcisme et de lui montrer , à travers différents arguments de persuasion et en lui soumettant différent tableau qu'il est inutile de craindre la mort et qu'il faut mourir , car il serait ridicule de prolonger sa vie.. »