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histoire relation international

Publié le 23/12/2021

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histoire

REVISION HRI

 

Première partie : histoire des relations internationales        

Chapitre premier : la mondialisation 

notion permet de désigner sous un mot unique une multitude de phénomènes qui affectent les représentations d’un ordre politique relativement stable.

Paragraphe premier :  Le processus de création d’une société-monde : Un phénomène ancien

Le capitalisme est un système à l’échelle de la planète, organisant ses diverses zones, c'est-à-dire essentiellement les centres et les périphéries.

L’économie-monde européenne s’unifie autour du 16ème siècle en fonction des contraintes de distance et de temps. Mais également en fonction de la hiérarchie des espaces entre des centres et des périphéries selon leur positionnement et leur rayonnement dans l’économie-monde.

Les stratégies nouvelles des firmes multinationales ont eu des conséquences majeures aussi bien dans le domaine de la réglementation financière internationale que dans celui du développement des nouvelles technologies de l’information

L’informatisation des marchés financiers, le développement des réseaux d’information a transformé la division internationale du travail

Paragraphe deuxième : les territoires de la mondialisation

La compétence des populations, leur formation, leur fiabilité constituent un avantage concurrentiel dans la course globale aux marchés et non plus le contrôle des matières premières. Le territoire devient donc un élément relativement secondaire dans l’économie mondiale. Une firme mondiale peut choisir d’ouvrir ou de fermer certaines de ses activités en tout point du globe selon les opportunités

Paragraphe troisième : les enjeux de la régulation   

La mondialisation soulève plusieurs types de problèmes qui posent la question de la nécessité d’inventer des formes de régulation. Dans tous les cas, il convient de souligner que la mondialisation n’est pas le fruit d’un néolibéralisme sans entraves. En effet, les nombreux acteurs de la mondialisation ne cessent de s’adapter aux législations et aux contraintes qui influencent leur cadre d’action.

Section première : La mondialisation et l’explosion des flux  

 

 

Paragraphe premier :  les flux migratoires

De la seconde moitié du 19ème siècle à la crise de 1930 se font les grandes migrations européennes vers l’ouest des Etats-Unis et l’Australie. La conjoncture est particulière : poussée démographique de l’Europe, besoin de certaines puissances de coloniser des espaces par des hommes. En l’an 2000, la moitié de l’humanité habite des villes. Cette urbanisation est spectaculaire et s’accélère. A titre d’exemple, Pékin, 1 million d’habitants en 1900 et 10 millions aujourd’hui. Ce phénomène n’est plus limité aux pays industrialisés. Il est actuellement planétaire. Actuellement, la forme de migration la plus répandue est la migration Sud -Nord. Dans cet univers l’homme est déraciné et isolé. D’où la recréation de tissus sociaux précaires. Cette anarchie a accouché de mouvements politiques

Paragraphe deuxième : L’échange des biens et des services

La mondialisation a transformé la terre entière en un espace commercial  unique. De 1950 à 1990 la production  industrielle mondiale est multipliée par plus de sept. Depuis la seconde moitié des années 1980, la quasi-totalité des pays en développement ayant choisi un modèle fermé s’ouvrent de leur propre initiative. Il s’agit notamment de la Chine, de l’Inde du brésil et la Russie.  

Paragraphe troisième -La circulation des richesses

a)- L’enrichissement du monde et l’internationalisation des acteurs

Cette poussée de la mondialisation naît d’abord de la croissance des trente glorieuses  (1945-1975). De nouveaux besoins prennent corps.

Depuis le début des années 1970, d’abord aux Etats-Unis, c’est  le développement spectaculaire des fonds de pension qui gèrent des sommes colossales.

Ces institutions deviennent des acteurs financiers internationaux majeurs.

  A partir de 1985 l’internationalisation ne se fait plus seulement par le commerce car l’investissement direct émerge comme un moteur majeur. Les flux financiers deviennent beaucoup plus importants que les mouvements commerciaux.   

b)- La dislocation des règles et des contrôles 

Dans les années 1970, le régime des parités  fixes ( le régime de change fixe) entre les monnaies est abandonné pour celui des taux de change flottants. Désormais la valeur des monnaies est établie par les marchés et donc ne cesse de varier en fonction de l’offre et de la demande.

- Dans un régime de change fixe, le cours d’une devise est fixe par rapport à un étalon. Souvent une monnaie. Il est déterminé par la Banque Centrale qui émet cette monnaie. Le cours ainsi fixé est appelé cours pivot (ou parité fixe) et constitue le taux de change de référence autour duquel une certaine marge de fluctuation peut être autorisée. Les autorités monétaires sont tenues de défendre le cours pivot.

- Dans un régime de change flexible ou flottant aucun engagement n’est pris au sujet du taux de change qui évolue librement en fonction de l’offre et de la demande

histoire

« Paragraphe premier : les flux migr atoires De la seconde moitié du 19 ème siècle à la crise de 1930 se font les grandes migrations européennes vers l’ouest des Etats -Unis et l’Australie.

La conjoncture est particulière : poussée démographique de l’Europe, besoin de certaines puissances de coloniser des espaces par des hommes.

En l’an 2000, la moitié de l’humanité habite des villes.

Cette urbanisation est spectaculaire et s’accélère.

A titre d’exemple, Pékin, 1 million d’habitants en 1900 et 10 millions aujourd’hui.

Ce phénomène n’est plus limité aux pays industrialisés.

Il est actuellement planétaire .

Actuellement, la forme de migration la plus répandue e st la migration Sud -Nord.

Dans cet univers l’homme est déraciné et isolé.

D’où la recréation de tissus sociaux précaires.

Cette anarchie a accouché de mouvements politiques Para graphe deuxième : L’échange des biens et des services La mondialisation a transformé la terre entière en un espace commercial unique.

De 1950 à 1990 la production industrielle mondiale est multipliée par plus de sept.

Depuis la seconde moitié des années 1980, la quasi -totalité des pays en développement ayant choisi un modèle fermé s’ouvrent de leur propre initiative. Il s’agit notamment de la Chine, de l’Inde du brésil et la Russie.

Paragraphe troisième -La circulation des richesses a)- L’enrichissemen t du monde et l’internationalisation des acteurs Cette poussée de la mondialisation naît d’abord de la croissance des trente glorieuses (1945 -1975).

De nouveaux besoins prennent corps.

Depuis le début des années 1970, d’abord aux Etats -Unis, c’est le développement spectaculaire des fonds de pension qui gèrent des sommes colossales.

Ces institutions deviennent des acteurs financiers internationaux majeurs.

A partir de 1985 l’internat ionalisation ne se fait plus seulement par le commerce car l’investissement direct émerge comme un moteur majeur.

Les flux financiers deviennent beaucoup plus importants que l es mouvements commerciaux.

b) - La dislocation des règles et des contrôles Dans les années 1970, le régime des parités fixes ( le régime de change fixe) entre les monnaies est abandonné pour celui des taux de change flottants.

Désormais la valeur des monnaies est établie par les marchés et donc ne cesse de varier en fonction de l’offre et de la demande. - Dans un régime de change fixe, le cours d’une devise est fixe par rapport à un étalon.

Souvent une monnaie.

Il est déterminé par la Banque Centrale qui émet cette monnaie.

Le cours ainsi fixé est appelé cours pivot (ou parité f ixe) et constitue le taux de change de référence autour duquel une certaine marge de fluctuation peut être autorisée.

Les autorités monétaires sont tenues de défendre le cours pivot.

- Dans un régime de change flexible ou flottant aucun engagement n’est p ris au sujet du taux de change qui évolue librement en fonction de l’offre et de la demande. »

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