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Cours Sur La Liberté

Publié le 17/01/2011

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La liberté, terme très usité à l'époque moderne: DDHC (Europe, EU) XVIIIème siècle. Il va devenir valeur suprême, idéal. MAIS confusion entre pleins choses: la liberté repose-t-elle sur pouvoir faire les choses? Alors 1) Moyen de réaliser une action ou 2) Puis-je me permettre par rapport au pouvoir.
Celui qui ne permet rien (manque de liberté) autre terme vouloir (Liberté, faire ce que l'on veut) MAIS pb peut être assimilé au désir (faire ce qu'il me plaît? ou faire ce qu'il faut. Aspect politique (liberté, individuelle, coll.). Y a-t-il une continuité avec liberté politique? Est-ce que la société ne représente pas une menace pour la liberté? Il faut structure politique pour garantir la liberté . On peut ignorer ceux qui nous incite à agir alors + savoir: cette liberté est en partie illusoire. (Spinoza).
Ex: On peut être déterminé par le groupe +valeurs+éducation: Est-ce que la société ne nous détermine pas? +liberté
Psychologie: On est déterminé à agir selon le profil, inconscient: L'Homme apprend qu'il n'est pas maître de lui-même.
Être libre: maîtrise, connaissance de soi donc responsabilité/liberté.
Qu'il porte en lui le principe de son action. Si extérieur à moi: problème pour liberté. Est-ce qu'il y a une notion de déterminisme?déterminisme pas liberté?
==> Univers fait de lois, l'homme appartient à l'Univers: ordre constant. Part de hasard (pas prévision de l'action) + part d'autodétermination (liberté). Est-ce qu'il échappe réellement au déterminisme? On est obligé d'avoir notion de responsabilité même si criminel (violence,...) : se reconnaître auteur de ses propres actes. Quelque soit la force d'une émotion comme la haine, on doit maintenir l'idée que l'Homme a toujours le choix, sinon action humaine comme pierre qui tombe (pas mathématiques).
Ex: on ne va pas punir un chien s'il renverse un cycliste mais irresponsable. Le maître possède ), on ne peut pas considérer que l'animal est un sujet de droit. Mais c'est à l'Homme de faire respecter ses droits (cs + libre arbitre). Idée reçue: devoir pas liberté? Connexion devoir + liberté mais en fonction de la société. Mais droit/ devoir: idée de justice. Déterminisme pas fatalisme (nécessité absolue des évènements, l'Homme est impuissant) repose sur une croyance. 
Déterminisme: lien cause/ effet selon une certaine loi. L'Homme connaissance possible, l'Homme peut contourner lois de la Nature, changer le cours des évènements. Modifier la nature: acte de liberté. Dans ce cas, liberté pas déterminisme.
Sus dicere (dire le droit).
La justice: garantir un bon emploi de la liberté, éviter ses mauvais usages (liberté mal employée, destruction raison d'être). Celui qui contrevient à la loi devra rendre des comptes.
-Lois naturelles: l'Homme n'échappe pas mais y échapper il pouvait maîtriser ses lois. Connaissance lien/ liberté.
Lois de la société: lois entre la volonté des individus, liberticide, annihilent la liberté + lois protection faibles/ fort comme Calliclès. Loi protège faibles, garantir des lois , elle en crée des nouveaux pour faire évoluer cette société. Obligation de faire respecter les lois, on peut se demander s'il n'y a pas de limites contre liberté?
Si nuit à la liberté, pas de reconnaissance. Forme d'hypocrisie vis à vis de l'alcool.
1)Être libre, est-ce faire ce qu'il nous plaît, nous désirons? (désir/plaisir)
-Alors liberté: pas de contraintes désir/plaisir pb: d'emblée, le résultat peut être inverse (déplaisir) (désir pas règles, changeants), les conséquences du désir ne sont pas forcément raisonnables. Les désirs reposent en partie sur l'inconscient, pas de lecture de notre désir (analyse différent) donc désirer, cela est une chose naturelle MAIS il faut se méfier de la réalité (offrir un démenti au désir): souffrance, déplaisir.
*Freud: l'inconscient fonctionne selon les principes du plaisir là où la conscience fonctionne selon le principe de réalité. Développement de la cs: voir la réalité telle qu'elle est là où l'enfant (voit les choses telle qu'il désire les voir). Sensation, liberté (sentiment) prouvent la liberté?
PB: idée, disjonction entre liberté imaginaire/ réel. Image de la liberté qu'il nous plaît,celle d'une toute puissance, l'ordre du réel.: ordre de nos désirs , rêve de liberté dans les grandes mythologies, liberté sans bornes , totale, désir d'immortalité, forme de toute puissance. Finitude humaine (limite physique, intellectuelle, proie au destin). D'où ce désir de pouvoir maîtriser le réel. Pb: proche du paradis, liberté de fantasmer. Mais réalité humaine pas cette liberté. Accepter la liberté telle qu'elle est, être cs de nos limites. Pas de fatalisme (renoncer à la liberté). L'idée de liberté: philosophie des Lumières.
-Accepter la réalité sachant que cette réalité pas toujours plaisante. Un état où l'Homme n'aurait aucune contrainte, plus plaisir: ÉTAT FICTIF. 
*Simone Veil apparente ça au caprice: être libre est une discipline, maîtrise de soi. Or ''il n'y a pas de maîtrise de soi sans discipline et il n'y a pas d'autre source de discipline pour l'Homme que l'effort demandé pour vaincre les obstacles extérieurs". Les obstacles, les contraintes sont normales, Réalité.
Distinction désirer/ vouloir. Être libre, agir volontairement? On avait dit que la logique de la volonté à l'encontre de son désir est plus conséquente.
Pour qu'une fin soit possible, il faut qu'elle ait une actualité pour soi. Il faut qu'elle soit réellement possible. A l'inverse, une fin qui ne possède aucune actualité n'est pas réellement possible, elle est donc impossible, elle ne peut siéger dans le désir. 
==> Le désir peut porter sur des choses, des fins impossibles, non la volonté. 
La volonté n'exclue pas le désir, la liberté humaine passe par la capacité à faire les choses parce qu'on doit les faire, mettre à distance l'instinct. Le désir ne porte pas à lui seul la garantie de l'action libre.
-L'Homme peut juger avant d'agir (cs) donc il peut avoir en lui la raison d'être de son action. Vouloir c'est aussi savoir pourquoi on agit. Savoir pourquoi: connaissance du réel, la connaissance doit être libératrice. On a sur cette réalité un pouvoir relatif, pouvoir de transformation. On a avec la volonté un indice de liberté, capable de se soumettre à des lois, capacité à se soumettre à des règles d'action.
*Rousseau: ''L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté''.
*La volonté: le mouvement durable et raisonné conçu par une cs pour réaliser une fin possible inscrite dans le temps.
==> C'est ce que Kant appellera l'autonomie de la volonté. Produire soi-même sa propre règle d'action. La volonté trouve sa règle d'action par la raison, elle se soumet à un devoir librement. Chez Kant, pas relatif à des circonstances, ce qui doit être toujours au-delà de notre désir, intérêt personnel. Je le fais car il doit être fait (raison). Le désir ne peut pas nous donner la règle de l'action morale. Pas en fonction du désir, pas de connexion morale/ désir . On doit faire quelque chose : on se soumet à une loi qu'on a nous même approuver. On décide par nous-même.
KANT: Courage d'être libre, c'est justement que j'ai le pouvoir d'y obéir à la loi. Pas de respect de la loi uniquement parce que l'on y est contraint. Alors devoir mal compris (seulement pour sanction) car pas réelle intelligence du devoir. Respecter la loi car elle juste.
Kant considère qu'à son époque pas de culture de liberté, peuple accepte la soumission à l'autorité, accepte société d'Ancien Régime. Le peuple n'est pas autonome (pas réfléchir, pas vouloir). Fatalisme (culture religieuse).
==> Critique du consensus libéral obligeant l'Homme à obéir sans réfléchir.
Heidegger: "Dictature du ON", existe partout, réfugier dans les actes du ''ON''. PB: liberté par procuration, fausse liberté. Pas de risque d'être calomnié.
Nous(force de chacun) n'est pas égal à on (liberté soustraite).
Or liberté (authenticité, homme être lui-même agir suivant ce qui lui semble juste).
MAIS: consensus commun.
PB: Plus moi qui agit, pas ''on''.
''On'' forme de passivité.
On a des règles qui s'appliquent à l'ensemble des groupes. Le refuge dans le ''on'' sentiment de sécurité mais sécurité illusoire car ''ON" n'est personne. Nous: personnel.
PB: ''On'' déresponsabilise.
''On'': troupeau (Kant + Heidegger)
n'agit pas, pas de réelle liberté
Kant: s'en remettre au consensus commun, c'est faire les choses en fonction de ce qu'on autorise. Or autorité capable de me rendre libre: moi-même. Liberté appartient au sujet. Faut utiliser liberté.
-ON ne peut pas agir (vouloir à sa place alors liberté par procuration).
Kant: On doit être nous-même, notre propre tuteur, individus qui sont autonomes. Quand culture n'est pas prête démocratie pas simple.
Être libre: ça s'apprend. Volonté, discipline.
Liberté: prendre des risques .
 
25/04
Jean Paul Sartre sur la liberté:
idée relativiste de la liberté, relatif à chaque sujet, ainsi il n'y a que des obstacles relatifs. Les projets des personnes recèlent des obstacles, être libre: choisir ses obstacles.
On a jamais dit que l'Homme pouvait tout savoir, pas de manque de liberté, il faut que le projet soit possible, basé sur la volonté, réflexion pas juste désir.
Il n'a pas d'obstacle absolu, on peut surmonter ou renoncer (choix libre). L'Homme a toujours le choix, fuir est un choix. 
Ces obstacles sont révélateurs de liberté (héros devient un héros car il a franchi des obstacles). La liberté: risquer ma vie pour un projet, idée. Si seulement instinct, désir pas risquer sa vie. Dépasser ses peurs, instincts. Le corps (responsabilité), philosophie du corps, liberté incarnée. L'obstacle me révèle mes limites (int, physiques). Elles peuvent être repoussées car liberté d'agir. Si pas de cs du rocher, pas d'existence. Conscience/liberté. Subjectivité dans le sens que c'est la cs qui me révèle ma réalité, le sens de cette réalité dépend de notre façon de voir les choses, responsable de la manière qu'on interprète. Interprétation. Choix de telle ou telle difficulté. Liberté incarnée: le sujet face au réel. Pas qu'une idée abstraite, quelque chose qui relève d'un pouvoir sur les choses. 
C'est une réalité, capacité à se positionner dans l'existence. Liberté pas forme de toute puissance. Si on pense le contraire (liberté risque de s'autodétruire), réel. Pas commencer d'ordre social. La liberté: manière dont l'Homme se positionne, il trouve sa place. Liée à un art de vivre. Si on ne choisit pas tout, on ne peut pas changer le réel, on pouvait choisir la manière dont on voit le réel. On s'y rapporte, sens à notre vie, de pouvoir changer le réel. (Éviter le conflit par ex). L'Homme malade n'est pas moins libre que l'Homme bien portant, liberté différente car elle se rapporte à un sujet qui n'a pas les mêmes capacités (conserve liberté). MAIS si on perd cs: perte la liberté. Faux de dire je manque de liberté car je ne peux pas voler comme un oiseau. Pour Sartre: liberté: lucidité, cs, savoir se projeter dans l'avenir. Être responsable. Liberté d'action+esprit. Certaine formation (éducation), former la cs, jugement, se former au savoir, la liberté s'acquiert. On ne naît pas libres, il faut que ça devienne une réalité. L'on doit appliquer, dans réalité on ne naît pas libres (dépend des autres). Être libre (pas faire ce que l'on veut), ce que l'on fait réalise notre liberté, ou manque notre liberté, peut avoir un mode de vie dicté par le ''on" mais Caverne. L'obligation (pas contrainte). Tutelle autrui: il se permet de penser à ma place.Parvenir à être autonome, choix. Prendre en compte l'existence des autres, être le seul à décider. Être autonome: assumer les conséquences de ses actions.Différence responsable/coupable (faute, faire quelque chose qu'on aurait dû éviter de faire telle ou telle chose) la société lui en tient rigueur. Faire différence entre être réel, possible et ce qu'il ne l'est pas pour éviter l'illusion + fautes.
C'est privilégier le devoir être, c'est devenir soi-même. Devenir ce que nous sommes appelés à être en fonction de notre expérience, idéal.
 
II) La liberté politique:
Serait liberté telle qu'on la vît en société, est-ce une entrave à la liberté du sujet? Ou est-ce qu'elle la garanti. Les deux sont possibles, dépend des conditions. Être libre en société, est-ce qu'on peut les conjuguer?
Texte: Rousseau, différence entre indépendance et liberté, indépendance (ne dépendre que de soi sans tenir compte de ce qui fait la vie en société), pas la liberté car agir en société, on véhicule image,valeurs, conséquences sur les autres. Contrat social. Quand chacun fait ce qui lui plait pas liberté. Plaisir/désir ne peuvent pas être liberté. Définition négative de la liberté, ne pas être soumis à autrui. Double négation, ne pas soumettre autrui, le contraindre, au niveau de la société principe de respect de la liberté (droit). Liberté:philosophie moderne, valeur importante. La volonté libre c'est celle qui n'est pas entravée par la volonté d'autrui. Dans la liberté commune, nul n'a droit de faire ce qu'il corrompt la liberté d'autrui (inviolable). La vraie liberté n'est jamais destructible. Au plan politique, c'est d'autant plus vrai. La liberté doit être universelle, elle ne peut pas tolérer que certains soient libres au détriment des autres Lumières: liberté doit trouver valeurs universelles, permettre à la société de fonctionner. Fait appel à une justice. Il faut une justice afin de garantir les libertés de chacun. les libertés ne vont alors jamais s'accorder entre elles, la vengeance n'est pas une véritable justice , manière qui ne répond pas au principe universel de la justice (ex: mafias). On essaye de mettre en place une justice rationnelle, basée sur une philosophie, rupture privilèges. Pas de règles arbitraires. Pour qu'il y est justice, les définir dans leurs formes, principes. XVIIIème: pas de justice social, on ne pense pas ce que l'on veut. Volonté d'instaurer une véritable justice. Personne est au dessus des lois. Il faut des règles, il faut que cette liberté soit réglée. Critique de l'AR, un peuple libre obéit à la loi, mais principe sensé sauvegarder la liberté, un peuple qui obéit à des lois, pas état d'esclavage. L'obéissance n'est pas la même chose que la soumission: affirmation de la liberté, acte de la liberté. Au plan politique devoir pour TOUS, et que ces devoirs permettent de sauvegarder liberté de chacun. Chef/ maître, chef est légitime. L'obéissance n'est pas l'esclavage. S'il faut loi + justice forte (pour éviter d'obéir aux principes des autres).
Texte de Bakounine:
La liberté d'autrui influe sur ma liberté. Autrui peut nuire à ma liberté, éviter que l'on nuise à ma propre liberté. Au plan social, il faut cette culture de la liberté. Les possibilités d'action doivent être les mêmes pour tous. C'est la notion d'esclavage qui me renvoi à mon manque de liberté. La liberté: respect de ce qui est plus digne de l'homme pas être dans l'esclavage, respecter l'homme c'est d'abord respecter sa liberté, sa dignité. L'Homme n'est pas une bête. On est pas digne de l'Homme, réduire l'autre en esclavage c'est se montrer indigne de l'homme lui même, je ne respecte pas l'humanité donc moi-même. Je nie ce qui fait de moi un homme, le principe de liberté, si l'esclavage existe, je nuis au principe de liberté. Au centre du droit. C'est leur bestialité qui est une négation de ma liberté. La liberté reconnaissance mutuelle, les autres me reconnaissent comme tel, nous partageons la même condition d'homme, le même droit, le droit à la liberté. De vivre sans être soumis par quelqu'un d'autre. Liberté personnelle s'étend à l'infini dans son principe. Une loi est faite pour protéger la liberté de tous même s'il y a des lois liberticides, contraire à la liberté mais pas loi du point de vue républicaine.
Réciprocité de la liberté: pas de fonctionnement unilatéral.
Textes de Spinoza:
Pourquoi les Hommes doivent-ils préférer l'État de société à l'état de société?
Dans ce droit naturel pour Spinoza, les hommes se nuisent les uns aux autres, il y a gain, l'association des hommes dans la république, la société civile est plus utile, avantageux de former une société avec règles de justice, vivre dans la société civile, c'est vivre selon raison PAS désir. Les relations de droit entre les personnes doivent être réglées selon la raison. L'appétit pour parler des désirs. Plus avantageux de se regrouper en société.
Ce qui est véritablement utile aux hommes= vivre selon des lois plus justice rationnelle c'est avantageux et permet d'atteindre la forme de la justice, la justice ne légifère pas sur ce que doit être la liberté humaine, elle garantit un minimum à l'Homme passant au plan politique par les respect de leur liberté. Respect de leur sécurité. L'État doit garantir une sécurité aux citoyens. Droit à la sécurité dans l'espace public. Droit du citoyen à la sécurité. La sécurité ne peut pas s'instaurer tant que chacun fait la justice lui-même, justice arbitraire. Justice basée sur des passions (haine, colère). Opposition passion raison.
Règles rationnelles, dans la passion la plus totale, pas de projets fiables, à LT, menacés par autrui. Règles de justice contre passion. Ils doivent se porter secours, solidarité entre les hommes qui passent par la raison, nécessaire. Différence charité (passion) solidarité (droit). Il faut être solidaire parce que c'est nécessaire. Sûreté, sécurité. Le droit naturel doit devenir un droit rationnel (possession des biens), droit à la propriété+faire des projets, déterminé par une rationalité commune. Volonté générale+communauté rationnelle qui doit s'emparer de la justice. Limiter le désir par la loi, +passions. Dans la mesure où les passions sont nuisibles à autrui. Ne pas lui nuire. Idée de contraindre la liberté d'autrui + principe du droit (on défend le droit d'autrui comme si c'était le sien, le droit doit triompher). On doit se plier aux décisions de justice. Respecter le droit d'autrui comme si c'était le sien. MAIS cas où l'obéissance fait de nous des esclaves, on pense que se plier aux lois c'est renoncer à la liberté mais pire des cas. Loi peut être aliénante. Toute obéissance à la loi n'est pas forcément une garantie de liberté mais pas forcément perte de la liberté. Distinction conceptuelle entre la contrainte (négation de la liberté), mais l'obligation de respecter la loi est possiblement un acte de la liberté (protéger les autres). L'obligation relève davantage du devoir mais aussi droits car sinon dictature. Là où le devoir nous oblige, le droit nous autorise. Comment loi/liberté sont-elles compatibles? Celui qui agit à sa guise peut être esclave de lui-même. Tyrannie des passions (Socrate). Pour les philosophes des Lumières: on réaffirme le rôle de la raison au plan politique. Toute obéissance n'est pas forcément un défaite de la liberté. Si la fin de l'action, pas pour mon propre intérêt, pas parce que cela est utile à la société mais pour satisfaire un tiers: esclave. La loi doit nous obliger à faire des choses parce que c'est de nos propres intérêts. Dans la république souveraine, on obéit à l'Etat parce que l'Etat garantit au peuple la liberté la sécurité, les lois sont faites pour le peuple. Pour harmoniser relations + échanges que la loi est faite. La justice est là même sur tout le territoire. Les états qui souscrivent aux droits de l'Homme: même principe, chaque état reste souverain. 
Textes de Hobbes, Locke et Rousseau
Penseurs des Lumières, mettre en place la notion de l'état de justice dès le XVIIème siècle, l'État a un devoir envers ses citoyens, devoir de garantir la paix et la sécurité, à faire en sorte que le citoyen puisse vaquer à ses activités librement, grâce à la sécurité, le citoyen (propriété privée). Sécurité. Il s'agit de prémunir le citoyen contre les attaques extérieures (physiques, morales, crapuleuse). Si l'État ne fait pas cela, chacun va vouloir assurer sa propre défense mais problème injustices se développent, risque d'avoir liberté bafouée. Surtout, il ne faut pas encourager le citoyen à faire justice lui-même. Pour se faire, il faut que le citoyen se dé saisisse de ce droit qu'il aurait à faire la justice lui-même. Il décide de confier ce droit à une assemblée mais il faut que tous les citoyens le fasse. Cette assemblée va représentée les citoyens selon une règle équitable (majorité absolue). Le plus grand nombre est alors représenté. Cela revient à dire ''désigner un homme ou une assemblée endossant les responsabilités de faire les lois et de les faire respecter. Mais pas de cumul des pouvoirs. Le pouvoir n'est pas concentré dans les mains d'un seul homme. Il s'agit d'une unité réelle. Le contrat social, chaque individu s'engage dans ce pacte engagement moral auquel souscrit tout citoyen. Majeur: on fait partie du pacte social, responsable de la société. Responsabilité effective au moment de la majorité, tous les actes peuvent être jugés. Il faut que ce soit réciproque, il faut que chacun reconnaisse à l'État cette possibilité de légiférer. La république: communauté de droits qui associe entre eux des citoyens. La république c'est cet état de droit qui confère à chacun un statut d'égalité dans la définition: statut de citoyen, dans laquelle le peuple est souverain, la république n'appartient à personne ou à tout le Monde: souveraineté du peuple. Il a plusieurs pouvoirs non centralisés (Leviathan) même si le véritable centre de ce pouvoir c'est l'État et ses institutions. Dieu à cette époque est au dessus des hommes. Paradoxe: république passe la religion au second plan, pas de constitution religieuse, grâce à Dieu.

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