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La mort

Publié le 27/02/2008

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 Question : La mort sera le thème de grands nombre de poèmes lyriques et sera la source d’inspiration première de nombreux auteurs qui immortalise leur vécu par les écritures de leur texte. A travers trois textes : « Demain, dès l’aube », de Victor Hugo, « Si je mourrai la bas » de Guillaume Apollinaire ou encore « Je n’ai plus que les os » de Pierre de Ronsard, on se demandera en quoi le mort concerne-t-elle chacun des locuteurs. On étudiera la situation d’énonciation de chaque poème pour un tirer une réponse.  Question : La mort sera le thème de grands nombre de poèmes lyriques et sera la source d’inspiration première de nombreux auteurs qui immortalise leur vécu par les écritures de leur texte. A travers trois textes : « Demain, dès l’aube », de Victor Hugo, « Si je mourrai la bas » de Guillaume Apollinaire ou encore « Je n’ai plus que les os » de Pierre de Ronsard, on se demandera en quoi le mort concerne-t-elle chacun des locuteurs. On étudiera la situation d’énonciation de chaque poème pour un tirer une réponse.  intro deja  A la veille du quatrième anniversaire de la mort de sa fille Léopoldine, Victor Hugo lui rédige un poème dans lequel il évoque sa future rencontre avec elle. Pour montrer au lecteur qu’il s’adresse à cette dernière, il emploi essentiellement le pronom sujet « tu » : « Vois-tu », « tu m’attends ». Il utilise aussi le pronom personnel « toi » : « toi plus longtemps ». Les pronoms « tu » sont précédés par « je ». « Je » et « tu » éclairent le lecteur sur l’amour que Victor Hugo porte sur sa progéniture.  premiere partie  Pendant la Première Guerre Mondiale, la mort est omniprésente. Guillaume Apollinaire participe à ce combat qui lui coutera la vie puisqu’il mourra affaibli par une maladie et une blessure grave. Lui aussi, se sert des pronoms sujets « tu » comme dans « Tu pleurerais un jour » ou « Tu ne vieillirais point » pour déterminer la personne visée. En effet, il s’adresse a sa femme « Lou » comme nous l’indique clairement les termes : « ô Lou ma bien aimée » et « Lou si je meurs ». De plus, les adjectifs possessifs tels que « tes », « ta » ou « ton », affirment que le poète parle à son épouse. Le texte est conclu par un dialogue qui est destiné à sa femme et un dernier vers « Ô mon unique amour et ma grande folie » évoquant la passion éprouvée pour l’être aimée. [b]W[/b]endy ;     [c=4]<[/c][b]3[/b] dit :  C'est ce que t'as fait toi et que t'as donné ça ? Florian dit :  d\"euxieme partie  oui  fait mm pas la dissertation hein  pck la question c le plus simple  si t'arrives pas la question pas la peine mdr  Quelques jours avant sa mort, Pierre de Ronsard rongé par une maladie qui le rend sourd rédige ses derniers textes comme « Je n’ai plus que les os… ». Les personnes visées dans ce dernier sont ses amis et compagnons. Les termes « chers compagnons », ou « chers amis » montrent que Pierre de Ronsard s’adresse à ses proches confidents. La mort concerne chacun des trois locuteurs car elle eu un impact pour chacun d’eux. Victor Hugo a perdu sa fille, Guillaume Apollinaire vit dans une situation où la mort est omniprésente et Pierre de Ronsard fait face à ses derniers jours  troisieme partie plus conclu

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